• UNE PEINE D’EXCEPTION

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Andrea H. Japp

    Une enquête de Kay Scarpetta

    Richmond, Virginie, un soir de décembre : le meurtrier Ronnie Joe Waddell va être exécuté sur la chaise électrique. À la morgue le médecin légiste Kay Scarpetta se prépare à recevoir le corps pour l’autopsier. Mais une surprise désagréable l’attend par cette nuit glacée : le corps d’un garçon de treize ans affreusement martyrisé est découvert dans une benne à ordures. Parmi les indices retrouvés sur les lieux du crime, des empreintes impossibles : celles du condamné à mort.

    Ce qu’on en dit

    « Une nouvelle Agatha Christie à l’ère de l’ADN. » Express

    Semi-poche

    $21.95
  • ET IL NE RESTERA QUE POUSSIÈRE

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Andrea H. Japp

    Une enquête de Kay Scarpetta

    Ce qu’on en dit

    « Une action qui ne faiblit jamais ! » The New York Times

    Quatre couples de jeunes amoureux disparaissent, abandonnant leurs véhicules en rase campagne. Les corps ne sont retrouvés que bien plus tard et dans un état tel que le DKay Scarpetta, qui dirige l’enquête médicale, doit renoncer à déterminer la cause de leur mort. Mais lorsqu’un cinquième couple manque à l’appel, l’affaire prend un tour nouveau. La disparue n’est autre que la fille de la responsable du programme de lutte contre la drogue, l’une des femmes les plus puissantes du pays. Cette dernière est bien décidée à remuer ciel et terre pour retrouver sa fille vivante. Les intérêts politiques s’affrontent sur fond de rigueur scientifique.

    Semi-poche

    $21.95
  • SIGNE SUSPECT

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Andrea H. Japp

    Une enquête de Kay Scarpetta

    Kay Scarpetta est de retour à Richmond où son ancienne équipe compte sur elle pour élucider les causes du décès d’une adolescente de quatorze ans. Sur place, des surprises désagréables les attendent, elle et son acolyte Pete Marino. Le médecin-légiste expert qui lui a succédé est un total incompétent, l’assistant en chef est plongé dans des problèmes personnels et l’intervention du FBI laisse soupçonner des enjeux politiques. Depuis son départ, il y a cinq ans, Scarpetta s’est installée en Floride et a abandonné la médecine légale institutionnelle pour l’expertise privée. Sans l’assistance de Wesley et de sa nièce Lucy, eux-mêmes aux prises avec une affaire d’effraction et de menaces, Kay Scarpetta doit démêler l’écheveau des pistes, traquer des signes suspects afin de révéler une vérité qu’elle ne parviendra peut-être pas à tolérer.

    $29.95
  • L’AUTRUCHE CÉLESTE… CINQ ANS PLUS TARD

    Cinq années après qu’elle eut terminé – en des mots fort sereins – la rédaction de L’Autruche Céleste, le ciel tombait sur la tête de l’auteur. Affirmer avec autant de conviction être arrivée à s’affranchir de toute forme de drames était sans doute trop ambitieux au goût de son karma qui s’est chargé de la ramener sur terre, la faisant piquer du nez sur un sol complètement gelé. Ne restait plus qu’un tas de plumes inutiles. L’Autruche étant devenue incapable de faire appel à son sens de l’autodérision salvateur, ses enfants, à peine sortis d’une bruyante adolescence, se retrouvaient du jour au lendemain avec une maman inconnue dont l’activité principale se résumait à pleurer en regardant le plafond. Comme pour une dinde arrosée aux vingt minutes, ils se sont relayés afin de s’assurer que leur mère n’aurait pas l’idée subite de se mettre la tête dans le four… Et puis, tout doucement, les plumes ont repoussé, l’Autruche profitant de cette période hors service pour comprendre un peu plus la vie, faire la paix avec son karma (et autres irritants), réapprendre l’autodérision et, surtout, renouer avec l’inconscience, son alliée la plus précieuse.

    Ce qu’on en dit

    « Un livre plus grave […] où, encore une fois, l’humour tient lieu de véritable bouée de sauvetage. Marie-Claude Fortin, La Presse

    « Doclin risque de connaître le succès grâce à son humour tranchant et son sens de l’observation aiguisé. » Antoine Tanguay, Le Soleil

    $24.95
  • L’AUTRUCHE CÉLESTE

    Postface de Jocelyne Brousseau

    L’Autruche Céleste est une sémillante quadragénaire ayant réalisé que le drame n’est pas génétique, contrairement à ce que son père, l’Ex-Comte Transylvanien, affirmait. Fort de cette faculté de ne plus prendre au sérieux les aléas professionnels, amoureux, financiers, canins, ménagers ou plombiers, l’auteur nous entraîne dans un quotidien truffé d’éclats de rire derrière lesquels transparaît une grande profondeur. Ce récit-Prozac nous rappelle que, si on ne choisit pas ce qui arrive, on peut choisir comment y faire face. On ne s’embête pas avec la Mère Volaille et ses deux ados : Miss Vitriol qui claque les portes et Don Boutons, grand prédateur du garde-manger. Vierge selon les astres, divorcée de l’Ex-époux Clown Célèbre, propriétaire d’un duplex très, très hypothèqué, elle n’a plus peur de rien, car elle est devenue une autruche et adore la vie.

    Édition de poche

    Ce qu’on en dit

    « Un livre formidablement drôle et triste, touchant et tonique, aérien et libérateur. […] À lire impérativement. Bien-être garanti. » Monique Roy, Châtelaine

    « À la fois tonique et tragique, le parcours drôlement émouvant d’une fille pas banale. » Geneviève St-Germain

    « On ne peut s’empêcher de trouver cette autruche sympathique, de compatir à ses malheurs, de louer son courage et de rire non pas à ses dépens, mais avec elle. » Chantal Guy

    $13.95
  • LE TEMPS DES AVANTS

    Du fils d’immigrés arméniens qu’il est toujours, qui a fait ses preuves dans la rue et gravi une à une les marches du succès, à l’artiste international qu’il est devenu, Charles Aznavour, le chanteur, l’acteur, l’auteur, mais aussi le frère, le mari, l’ami, se dévoile avec simplicité et tendresse.

    « Je ne voulais pas écrire les mémoires d’un chanteur évoquant les bons et mauvais moments de sa carrière ou les détails de sa vie privée. Mon intention était de traiter, en quelques tableaux, mon enfance, mes débuts difficiles ou les femmes de ma vie, et de consacrer l’essentiel du livre à des moments insolites, souriants, parfois dramatiques, dont je ne suis pas forcément le protagoniste essentiel. »

    Cahier photo de 32 pages

    Ce qu’on en dit

    « Charles Aznavour témoigne, délivrant des souvenirs inédits et multipliant commentaires, précisions ou réflexions sur une vie riche notamment en rencontres de toutes sortes, ajoutant ainsi à cet ouvrage une formidable dimension humaine. » Associated Press

    $29.95
  • UN PARFUM DE CÈDRE

    Traduit de l’anglais (Canada) par Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    « Une famille hors du commun : mère morte trop jeune, ne laissant derrière elle qu’un tenace parfum de cèdre, père conduit aux pires excès par un amour débordant et quatre enfants, de la sainte nitouche à la fille perdue, liées entre elles par des secrets qui se dévoileront un à un. Ce roman est aussi le portrait inoubliable de l’île du Cap-Breton, en Nouvelle-Écosse, durant les premières décennies du siècle. Ann-Marie MacDonald possède à fond l’art des dialogues qui sonnent juste et des rebondissements spectaculaires. Son roman renferme la vie tout entière, de l’horreur à la douceur, de l’humour à la poésie, de l’opéra au jazz. Tantôt endiablée, tantôt lyrique, son écriture nous étonne et nous émeut sans fin. Saga familiale, chronique sociale, ode à la passion et à tous les autres visages qu’emprunte l’amour, Un parfum de cèdre a valu à son auteur de nombreuses récompenses et a recueilli un concert d’éloges. Dès les premières phrases, on comprend pourquoi. » Les traducteurs, Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    Format poche

    Prix du Gouverneur général pour la traduction

    Choix du Oprah’s Book Club

    Sur la liste des incontournables de Radio-Canada « 100 livres d’ici à lire une fois dans sa vie »

    Ce qu’on en dit

    « Un roman envoûtant » Monique Roy, Châtelaine

    « Le roman de MacDonald allie remarquablement bien le mélodrame et un rythme endiablé à une profondeur de recherche historique. Ici, on a affaire pas seulement à une conteuse habile, mais à une romancière qui sait utiliser le passé. » David Homel, La Presse

    « Un roman qui m’a laissé une impression de coup de cœur et de coup de poing. » Sophie-Andrée Blondin, Radio-Canada, La liste des 100 :livres d’ici incontournables

    Prix

    • Commonwealth Prize for Best First Fiction

    • People’s Choice Award

    • Libris Award de la Canadian Booksellers Association

    $19.95
  • UN PARFUM DE CÈDRE

    Traduit de l’anglais (Canada) par Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    « Une famille hors du commun : mère morte trop jeune, ne laissant derrière elle qu’un tenace parfum de cèdre, père conduit aux pires excès par un amour débordant et quatre enfants, de la sainte nitouche à la fille perdue, liées entre elles par des secrets qui se dévoileront un à un. Ce roman est aussi le portrait inoubliable de l’île du Cap-Breton, en Nouvelle-Écosse, durant les premières décennies du siècle. Ann-Marie MacDonald possède à fond l’art des dialogues qui sonnent juste et des rebondissements spectaculaires. Son roman renferme la vie tout entière, de l’horreur à la douceur, de l’humour à la poésie, de l’opéra au jazz. Tantôt endiablée, tantôt lyrique, son écriture nous étonne et nous émeut sans fin. Saga familiale, chronique sociale, ode à la passion et à tous les autres visages qu’emprunte l’amour, Un parfum de cèdre a valu à son auteur de nombreuses récompenses et a recueilli un concert d’éloges. Dès les premières phrases, on comprend pourquoi. » Les traducteurs, Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    Format semi-poche

    Prix du Gouverneur général pour la traduction

    Choix du Oprah’s Book Club

    Sur la liste des incontournables de Radio-Canada « 100 livres d’ici à lire une fois dans sa vie »

    Ce qu’on en dit

    « Un roman envoûtant. » Monique Roy, Châtelaine

    « Le roman de MacDonald allie remarquablement bien le mélodrame et un rythme endiablé à une profondeur de recherche historique. Ici, on a affaire pas seulement à une conteuse habile, mais à une romancière qui sait utiliser le passé. » David Homel, La Presse

    « Un roman qui m’a laissé une impression de coup de cœur et de coup de poing. » Sophie-Andrée Blondin, Radio-Canada, La liste des 100 livres d’ici incontournables

    Prix

    • Commonwealth Prize for Best First Fiction

    • People’s Choice Award

    • Libris Award de la Canadian Booksellers Association

    $22.95
  • UN HOMME MEILLEUR (poche)

    Alors qu’une crue printanière place toute la province sous la menace de terribles inondations, n’épargnant ni Three Pines ni la rivière Bella Bella, Armand Gamache affronte une tempête médiatique. De retour d’une suspension de neuf mois à la suite de décisions « désastreuses », il est rétrogradé à la section des homicides de la Sûreté du Québec, sous la direction de son gendre et ancien lieutenant, Jean-Guy Beauvoir. Au cœur de ce tumulte, un père fou d’inquiétude sollicite l’inspecteur-chef pour retrouver Vivienne, sa fille disparue. Gamache ne peut que s’associer à la douleur d’Homer Godin et se répéter cette question : comment réagirait-il, lui, s’il devait craindre de n’avoir pas su protéger sa propre enfant d’un conjoint violent ?

    Ce qu’on en dit

    « Un homme meilleur, avec son mélange de suspense météo, d’observation psychologique et de traque criminelle, est sans doute le meilleur titre à ce jour dans toute cette œuvre époustouflante et originale. » Tom Nolan, The Wall Street Journal

    « Un homme meilleur, c’est Louise Penny à son meilleur. Stephen King adore sa plume, des légions de lecteurs aussi. » Natalia Wysocka, Le Devoir

    « *** ½ Un homme meilleur : Louise Penny, toujours égale à elle-même. L’univers de Louise Penny est paradoxalement une mer calme et apaisante. Un lieu sûr où l’on se réfugie à la recherche de réconfort au bout d’une intrigue dont on est certain de ressortir avec l’assurance que l’ordre des choses a été rétabli et la justice, rendue. » Laila Maalouf, La Presse+

    « Avec tout le talent qu’on lui connaît, Louise Penny ne ménage pas Gamache dans ce nouveau roman explosif et très addictif. » Marie-France Bornais, Le Journal de Montréal

    « Intrigues politiques et dynamiques familiales compliquent une affaire qui explore la distinction entre justice légale et justice naturelle. » The Times

    « L’une des plus édifiantes missions de Gamache. », Marilyn Stasio, The New York Times

    $18.95
  • AU ROYAUME DES AVEUGLES (poche)

    Traduit de l’anglais (Canada) par Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    Convoqué dans une ferme abandonnée, Armand Gamache apprend qu’une parfaite inconnue l’a choisi comme exécuteur testamentaire avec Myrna Landers, la libraire de Three Pines, et Benedict Pouliot, un jeune entrepreneur. Intrigués, tous trois acceptent ce rôle et découvrent des clauses si insolites qu’ils doutent de la santé mentale de la défunte. À moins qu’elle ne soit, au contraire, particulièrement lucide et consciente du danger qui pèse sur ses héritiers. Telle est l’intuition de Gamache, qui se méfie des évidences depuis que le piège qu’il a tendu aux cartels a libéré le pire opiacé qui soit dans les rues de Montréal… Pour résoudre ces deux affaires, l’ancien chef de la Sûreté n’a d’autre choix que de se lancer dans une course contre la montre et contre la mort.

    Édition poche

    Ce qu’on en dit

    «  Ensorcelant. […] Une autre aventure de Gamache exceptionnelle… ingénieuse. […] Qu’est-ce qu’un lecteur de polar – ou tout autre lecteur – pourrait désirer de plus ? » Maureen Corrigan, The Washington Post

    « Une série qui ne cesse de surprendre, qui s’approfondit et s’assombrit au fur et à mesure de son évolution. » Marilyn Stasio, The New York Times

    « Un roman aux images saisissantes, aux personnages aussi riches qu’originaux, aux rebondissements étonnants, graves mais lumineux, insolites, séduisants. » Chrystine Brouillet, Salut Bonjour, TVA

    **** « Avec ce nouvel opus tout en profondeur, l’auteure montre qu’elle est assurément maîtresse de son royaume. […] Une toile touffue, sombre par moments, dont les différentes ramifications finissent bien sûr par se compléter. […] Un récit fascinant et palpitant… » Sophie Ouimet, La Presse+

    « Louise Penny fait maintenant partie du groupe sélect des grandes pointures du polar grâce aux enquêtes d’Armand Gamache. » Michel Bélair, Le Devoir

    « On retrouve le souffle et la voix de Louise Penny que l’on aime tant. […] Un duo de traducteurs qui fait un travail de feu. » Claudia Larochelle, La matinale d’été, ICI Première

    « Frissons garantis. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

    $18.95
  • LA FAILLE EN TOUTE CHOSE

    Traduit de l’anglais (Canada) par Claire Chabalier et Louise Chabalier

    Noël approche, mais l’inspecteur-chef Armand Gamache n’a pas le cœur à la fête. Ses meilleurs agents ont quitté la section des homicides et Jean-Guy Beauvoir, son fidèle lieutenant, travaille désormais pour son pire ennemi, le directeur général Francœur. Aussi saisit-il l’occasion de se réfugier à Three Pines quand Myrna lui demande son aide pour retrouver une amie disparue. Cette piste l’entraîne jusqu’à la naissance quasi miraculeuse de quintuplées dans le noir Québec des années 1930. Aujourd’hui, d’autres ombres menacent la province et Gamache doit combattre sur plusieurs fronts, car un complot sordide se trame à la Sûreté.

    Ce qu’on en dit

    « Un polar magnifique qui fait appel à l’intelligence, mais aussi au cœur et à l’âme. » The Washington Post

    « On y retrouve la signature de Louise Penny : maîtrise de l’écriture, densité psychologique, intérêt pour les tréfonds de l’âme. » Normand Cazelais, Lettres québécoises

    Prix

    Left Coast Crime – Meilleur roman (hors États-Unis)

    $34.95
  • L’AUTRE MOITIÉ DE SOI

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Karine Lalechère

    Peut-on renoncer à une partie de soi-même à tout jamais ?

    Depuis un siècle, les Noirs de Mallard, dans le nord de la Louisiane, s’échinent à éclaircir la couleur de leur peau par des mariages métissés. Quatorze ans après la disparition des jumelles Vignes, l’une d’elles réapparaît. Pourquoi est-elle revenue avec sa fille dans cette communauté qu’elle a toujours voulu fuir ? Retrouvera-t-elle sa sœur, disparue sans laisser de traces ?

    Brit Bennett dresse le portrait de trois générations de femmes à travers une intrigue forte. Bien au-delà de la question raciale, le roman explore l’influence du passé sur les désirs, les attentes et le destin de chacun, et la façon dont on est poussé à s’en libérer malgré les contraintes de classe et de genre.

    Dans ce roman magistral sur l’identité, l’autrice interroge les mailles fragiles dont sont tissés les individus, entre la filiation, le besoin dévorant de trouver sa place et le rêve de devenir quelqu’un d’autre.

    Ce qu’on en dit

    « […] Son roman aborde de façon magistrale la complexité des mailles qui tissent les multiples facettes de l’identité raciale, de classe et de genre… » Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, Le Devoir

    Prix

    Sur la liste des livres préférés de 2020 de Barack Obama.

    $29.95
  • UN HOMME MEILLEUR

    Alors qu’une crue printanière place toute la province sous la menace de terribles inondations, n’épargnant ni Three Pines ni la rivière Bella Bella, Armand Gamache affronte une tempête médiatique. De retour d’une suspension de neuf mois à la suite de décisions « désastreuses », il est rétrogradé à la section des homicides de la Sûreté du Québec, sous la direction de son gendre et ancien lieutenant, Jean-Guy Beauvoir. Au cœur de ce tumulte, un père fou d’inquiétude sollicite l’inspecteur-chef pour retrouver Vivienne Godin, sa fille disparue. Gamache ne peut que s’associer à la douleur d’Homer Godin et se répéter cette question : comment réagirait-il, lui, s’il devait craindre de n’avoir pas su protéger sa propre enfant d’un conjoint violent ?

    Ce qu’on en dit

    « Un homme meilleur, c’est Louise Penny à son meilleur. Stephen King adore sa plume, des légions de lecteurs aussi. » Natalia Wysocka, Le Devoir

    « *** ½ Un homme meilleur : Louise Penny, toujours égale à elle-même. L’univers de Louise Penny est paradoxalement une mer calme et apaisante. Un lieu sûr où l’on se réfugie à la recherche de réconfort au bout d’une intrigue dont on est certain de ressortir avec l’assurance que l’ordre des choses a été rétabli et la justice, rendue. » Laila Maalouf, La Presse+

    « Avec tout le talent qu’on lui connaît, Louise Penny ne ménage pas Gamache dans ce nouveau roman explosif et très addictif. » Marie-France Bornais, Le Journal de Montréal

    « Un homme meilleur, avec son mélange de suspense météo, d’observation psychologique et de traque criminelle, est sans doute le meilleur titre à ce jour dans toute cette œuvre époustouflante et originale. » Tom Nolan, The Wall Street Journal

    $31.95
  • MAISONS DE VERRE

    Traduit de l’anglais (Canada) par Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    Au lendemain d’Halloween, une silhouette masquée et drapée de noir apparaît à Three Pines, mettant tout le village mal à l’aise. Comme les autres, Armand Gamache voudrait la voir disparaître, mais le directeur de la Sûreté ne dispose d’aucun motif pour l’appréhender. Quelques jours plus tard, un cadavre est trouvé dans l’église. Le meurtre serait-il lié à la crise des opioïdes qui frappe tout le Québec, même ce hameau oublié aux abords de la frontière américaine ? Gamache et ses collègues s’efforcent de délier les langues et, au terme d’un procès retentissant, l’assassin ne sera pas le seul à devoir rendre des comptes. En alternant les vifs échanges d’une salle d’audience avec les événements dramatiques, Louise Penny tisse un brillant jeu d’ellipses, l’œuvre d’une grande romancière.

    Ce qu’on en dit

    « Une aimable auteure canadienne avec un penchant pour le meurtre. » Dan Bilefsky, The New York Times (portrait du samedi)

    « Louise Penny, extrêmement habile et méticuleuse dans sa manière de mener le suspense, a exploré pour la première fois un procédé par ellipses dans ce roman qui s’est hissé à la première position du palmarès du New York Times. » Marie-France Bornais, Le Journal de Québec

    « Alternant prestement les intrigues, le passé et le présent, [Louise Penny] tisse son récit de manière impressionniste et emporte ainsi le lecteur dans le tourbillon de l’action jusqu’à ce qu’elle dénoue mine de rien tous les fils du mystère. » Manon Dumais, Le Devoir

    « [Louise Penny] a fait des dilemmes moraux et de la conscience le cœur du 13e livre de sa série. » Janie Gosselin, La Presse

    « La tension n’a jamais été aussi élevée. Un roman méticuleusement construit qui se déploie jusqu’à un point de non-retour et vous laissera le souffle coupé. » Kirkus Review

    « Ses livres font du bien, pourtant ils parlent de crimes policiers. » Aline Pinxteren, Le Bel Âge

    Prix

    Agatha

    $29.95
  • LE MOIS LE PLUS CRUEL (poche)

    Traduit de l’anglais (Canada) par Michel Saint-Germain avec la collaboration de Louise Chabalier

    À Three Pines, durant le week-end de Pâques, tout le monde rajeunit le temps d’une grande chasse aux œufs. Lorsqu’une étrangère qui communique avec les esprits s’arrête au village, les habitants n’y voient encore qu’une occasion de se divertir. Une séance de spiritisme est organisée dans la vieille maison des Hadley, abandonnée en haut de la colline. L’exercice destiné à libérer la demeure du mal qu’elle recèle est tragiquement interrompu par la mort d’une participante. Morte de peur, vraiment ? C’est ce qu’Armand Gamache, l’inspecteur-chef de la Sûreté du Québec, va devoir découvrir en revenant dans les Cantons-de-l’Est avec son équipe. Une chose est sûre : Gamache sait que le mal reste toujours près de nous, tapi dans l’ombre, et qu’en avril l’explosion de vie du printemps fait à tous coups des victimes…

    Ce qu’on en dit :

    « Je suis tombée sous le charme de ce village en apparence idyllique. » Hélène de Billy, Châtelaine

    « Me voici conquise. Par Three Pines et sa communauté anglophone. Par Gamache et ses acolytes. Par la poésie qui règne. Par les considérations sur le genre humain qui parsèment le récit. Par les réflexions senties sur la mort, la vie, l’amour, l’amitié, l’art, le désir de pouvoir. Par l’humour, aussi. Et par l’habileté de la construction, l’entrelacement des fils narratifs. » Danielle Laurin, Le Devoir

    « Le 3e roman de Louise Penny, Le mois le plus cruel, est tout juste sorti du four. Je l’attendais impatiemment et je l’ai dévoré comme un bon cupcake maison. […] Quel est le secret de Louise Penny pour nous garder dans un tel état de dépendance ? » Marie-Claude Veilleux, La Tribune

    Prix

    Prix Agatha

    $18.95
  • LE MOIS LE PLUS CRUEL

    Traduit de l’anglais (Canada) par Michel Saint-Germain avec la collaboration de Louise Chabalier

    Durant le week-end de Pâques, le village de Three Pines s’anime le temps d’une grande chasse aux œufs. Lorsqu’une étrangère ayant le don de communiquer avec les esprits s’installe au gîte d’Olivier, sa présence éveille la curiosité. Une soirée de spiritisme est organisée dans la vieille maison abandonnée des Hadley. La séance destinée à libérer la demeure du mal qu’elle recèle est tragiquement interrompue par la mort d’une participante. Morte de peur, vraiment ? C’est ce qu’Armand Gamache, l’inspecteur-chef de la Sûreté du Québec, va devoir découvrir en revenant dans les Cantons-de-l’Est avec son équipe. Alors que le printemps explose de vie, le mal, lui, reste tapi dans l’ombre et Gamache le sait mieux que quiconque.

    Ce qu’on en dit

    « Je suis tombée sous le charme de ce village en apparence idyllique. » Hélène de Billy, Châtelaine

    « Me voici conquise. Par Three Pines et sa communauté anglophone. Par Gamache et ses acolytes. Par la poésie qui règne. Par les considérations sur le genre humain qui parsèment le récit. Par les réflexions senties sur la mort, la vie, l’amour, l’amitié, l’art, le désir de pouvoir. Par l’humour, aussi. Et par l’habileté de la construction, l’entrelacement des fils narratifs. » Danielle Laurin, Le Devoir

    « Le 3e roman de Louise Penny, Le mois le plus cruel, est tout juste sorti du four. Je l’attendais impatiemment et je l’ai dévoré comme un bon cupcake maison. […] Quel est le secret de Louise Penny pour nous garder dans un tel état de dépendance ? » Marie-Claude Veilleux, La Tribune

    Prix

    Agatha

    $28.95