• LE MOIS LE PLUS CRUEL (poche)

    Traduit de l’anglais (Canada) par Michel Saint-Germain avec la collaboration de Louise Chabalier

    À Three Pines, durant le week-end de Pâques, tout le monde rajeunit le temps d’une grande chasse aux œufs. Lorsqu’une étrangère qui communique avec les esprits s’arrête au village, les habitants n’y voient encore qu’une occasion de se divertir. Une séance de spiritisme est organisée dans la vieille maison des Hadley, abandonnée en haut de la colline. L’exercice destiné à libérer la demeure du mal qu’elle recèle est tragiquement interrompu par la mort d’une participante. Morte de peur, vraiment ? C’est ce qu’Armand Gamache, l’inspecteur-chef de la Sûreté du Québec, va devoir découvrir en revenant dans les Cantons-de-l’Est avec son équipe. Une chose est sûre : Gamache sait que le mal reste toujours près de nous, tapi dans l’ombre, et qu’en avril l’explosion de vie du printemps fait à tous coups des victimes…

    Ce qu’on en dit :

    « Je suis tombée sous le charme de ce village en apparence idyllique. » Hélène de Billy, Châtelaine

    « Me voici conquise. Par Three Pines et sa communauté anglophone. Par Gamache et ses acolytes. Par la poésie qui règne. Par les considérations sur le genre humain qui parsèment le récit. Par les réflexions senties sur la mort, la vie, l’amour, l’amitié, l’art, le désir de pouvoir. Par l’humour, aussi. Et par l’habileté de la construction, l’entrelacement des fils narratifs. » Danielle Laurin, Le Devoir

    « Le 3e roman de Louise Penny, Le mois le plus cruel, est tout juste sorti du four. Je l’attendais impatiemment et je l’ai dévoré comme un bon cupcake maison. […] Quel est le secret de Louise Penny pour nous garder dans un tel état de dépendance ? » Marie-Claude Veilleux, La Tribune

    Prix

    Prix Agatha

    $18.95
  • LE MOIS LE PLUS CRUEL

    Traduit de l’anglais (Canada) par Michel Saint-Germain avec la collaboration de Louise Chabalier

    Durant le week-end de Pâques, le village de Three Pines s’anime le temps d’une grande chasse aux œufs. Lorsqu’une étrangère ayant le don de communiquer avec les esprits s’installe au gîte d’Olivier, sa présence éveille la curiosité. Une soirée de spiritisme est organisée dans la vieille maison abandonnée des Hadley. La séance destinée à libérer la demeure du mal qu’elle recèle est tragiquement interrompue par la mort d’une participante. Morte de peur, vraiment ? C’est ce qu’Armand Gamache, l’inspecteur-chef de la Sûreté du Québec, va devoir découvrir en revenant dans les Cantons-de-l’Est avec son équipe. Alors que le printemps explose de vie, le mal, lui, reste tapi dans l’ombre et Gamache le sait mieux que quiconque.

    Ce qu’on en dit

    « Je suis tombée sous le charme de ce village en apparence idyllique. » Hélène de Billy, Châtelaine

    « Me voici conquise. Par Three Pines et sa communauté anglophone. Par Gamache et ses acolytes. Par la poésie qui règne. Par les considérations sur le genre humain qui parsèment le récit. Par les réflexions senties sur la mort, la vie, l’amour, l’amitié, l’art, le désir de pouvoir. Par l’humour, aussi. Et par l’habileté de la construction, l’entrelacement des fils narratifs. » Danielle Laurin, Le Devoir

    « Le 3e roman de Louise Penny, Le mois le plus cruel, est tout juste sorti du four. Je l’attendais impatiemment et je l’ai dévoré comme un bon cupcake maison. […] Quel est le secret de Louise Penny pour nous garder dans un tel état de dépendance ? » Marie-Claude Veilleux, La Tribune

    Prix

    Agatha

    $28.95