• UN PARFUM DE CÈDRE

    UN PARFUM DE CÈDRE

    Traduit de l’anglais (Canada) par Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    « Une famille hors du commun : mère morte trop jeune, ne laissant derrière elle qu’un tenace parfum de cèdre, père conduit aux pires excès par un amour débordant et quatre enfants, de la sainte nitouche à la fille perdue, liées entre elles par des secrets qui se dévoileront un à un. Ce roman est aussi le portrait inoubliable de l’île du Cap-Breton, en Nouvelle-Écosse, durant les premières décennies du siècle. Ann-Marie MacDonald possède à fond l’art des dialogues qui sonnent juste et des rebondissements spectaculaires. Son roman renferme la vie tout entière, de l’horreur à la douceur, de l’humour à la poésie, de l’opéra au jazz. Tantôt endiablée, tantôt lyrique, son écriture nous étonne et nous émeut sans fin. Saga familiale, chronique sociale, ode à la passion et à tous les autres visages qu’emprunte l’amour, Un parfum de cèdre a valu à son auteur de nombreuses récompenses et a recueilli un concert d’éloges. Dès les premières phrases, on comprend pourquoi. » Les traducteurs, Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    Format poche

    Prix du Gouverneur général pour la traduction

    Choix du Oprah’s Book Club

    Sur la liste des incontournables de Radio-Canada « 100 livres d’ici à lire une fois dans sa vie »

    Ce qu’on en dit

    « Un roman envoûtant » Monique Roy, Châtelaine

    « Le roman de MacDonald allie remarquablement bien le mélodrame et un rythme endiablé à une profondeur de recherche historique. Ici, on a affaire pas seulement à une conteuse habile, mais à une romancière qui sait utiliser le passé. » David Homel, La Presse

    « Un roman qui m’a laissé une impression de coup de cœur et de coup de poing. » Sophie-Andrée Blondin, Radio-Canada, La liste des 100 :livres d’ici incontournables

    Prix

    • Commonwealth Prize for Best First Fiction

    • People’s Choice Award

    • Libris Award de la Canadian Booksellers Association

    $19.95
  • UN PARFUM DE CÈDRE

    UN PARFUM DE CÈDRE

    Traduit de l’anglais (Canada) par Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    « Une famille hors du commun : mère morte trop jeune, ne laissant derrière elle qu’un tenace parfum de cèdre, père conduit aux pires excès par un amour débordant et quatre enfants, de la sainte nitouche à la fille perdue, liées entre elles par des secrets qui se dévoileront un à un. Ce roman est aussi le portrait inoubliable de l’île du Cap-Breton, en Nouvelle-Écosse, durant les premières décennies du siècle. Ann-Marie MacDonald possède à fond l’art des dialogues qui sonnent juste et des rebondissements spectaculaires. Son roman renferme la vie tout entière, de l’horreur à la douceur, de l’humour à la poésie, de l’opéra au jazz. Tantôt endiablée, tantôt lyrique, son écriture nous étonne et nous émeut sans fin. Saga familiale, chronique sociale, ode à la passion et à tous les autres visages qu’emprunte l’amour, Un parfum de cèdre a valu à son auteur de nombreuses récompenses et a recueilli un concert d’éloges. Dès les premières phrases, on comprend pourquoi. » Les traducteurs, Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    Format semi-poche

    Prix du Gouverneur général pour la traduction

    Choix du Oprah’s Book Club

    Sur la liste des incontournables de Radio-Canada « 100 livres d’ici à lire une fois dans sa vie »

    Ce qu’on en dit

    « Un roman envoûtant. » Monique Roy, Châtelaine

    « Le roman de MacDonald allie remarquablement bien le mélodrame et un rythme endiablé à une profondeur de recherche historique. Ici, on a affaire pas seulement à une conteuse habile, mais à une romancière qui sait utiliser le passé. » David Homel, La Presse

    « Un roman qui m’a laissé une impression de coup de cœur et de coup de poing. » Sophie-Andrée Blondin, Radio-Canada, La liste des 100 livres d’ici incontournables

    Prix

    • Commonwealth Prize for Best First Fiction

    • People’s Choice Award

    • Libris Award de la Canadian Booksellers Association

    $22.95
  • LA FAILLE EN TOUTE CHOSE

    LA FAILLE EN TOUTE CHOSE

    Traduit de l’anglais (Canada) par Claire Chabalier et Louise Chabalier

    Noël approche, mais l’inspecteur-chef Armand Gamache n’a pas le cœur à la fête. Ses meilleurs agents ont quitté la section des homicides et Jean-Guy Beauvoir, son fidèle lieutenant, travaille désormais pour son pire ennemi, le directeur général Francœur. Aussi saisit-il l’occasion de se réfugier à Three Pines quand Myrna lui demande son aide pour retrouver une amie disparue. Cette piste l’entraîne jusqu’à la naissance quasi miraculeuse de quintuplées dans le noir Québec des années 1930. Aujourd’hui, d’autres ombres menacent la province et Gamache doit combattre sur plusieurs fronts, car un complot sordide se trame à la Sûreté.

    Ce qu’on en dit

    « Un polar magnifique qui fait appel à l’intelligence, mais aussi au cœur et à l’âme. » The Washington Post

    « On y retrouve la signature de Louise Penny : maîtrise de l’écriture, densité psychologique, intérêt pour les tréfonds de l’âme. » Normand Cazelais, Lettres québécoises

    Prix

    Left Coast Crime – Meilleur roman (hors États-Unis)

    $34.95
  • L'AUTRE MOITIÉ DE SOI

    L’AUTRE MOITIÉ DE SOI

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Karine Lalechère

    Peut-on renoncer à une partie de soi-même à tout jamais ?

    Depuis un siècle, les Noirs de Mallard, dans le nord de la Louisiane, s’échinent à éclaircir la couleur de leur peau par des mariages métissés. Quatorze ans après la disparition des jumelles Vignes, l’une d’elles réapparaît. Pourquoi est-elle revenue avec sa fille dans cette communauté qu’elle a toujours voulu fuir ? Retrouvera-t-elle sa sœur, disparue sans laisser de traces ?

    Brit Bennett dresse le portrait de trois générations de femmes à travers une intrigue forte. Bien au-delà de la question raciale, le roman explore l’influence du passé sur les désirs, les attentes et le destin de chacun, et la façon dont on est poussé à s’en libérer malgré les contraintes de classe et de genre.

    Dans ce roman magistral sur l’identité, l’autrice interroge les mailles fragiles dont sont tissés les individus, entre la filiation, le besoin dévorant de trouver sa place et le rêve de devenir quelqu’un d’autre.

    Ce qu’on en dit

    « […] Son roman aborde de façon magistrale la complexité des mailles qui tissent les multiples facettes de l’identité raciale, de classe et de genre… » Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, Le Devoir

    Prix

    Sur la liste des livres préférés de 2020 de Barack Obama.

    $29.95
  • MAISONS DE VERRE

    MAISONS DE VERRE

    Traduit de l’anglais (Canada) par Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    Au lendemain d’Halloween, une silhouette masquée et drapée de noir apparaît à Three Pines, mettant tout le village mal à l’aise. Comme les autres, Armand Gamache voudrait la voir disparaître, mais le directeur de la Sûreté ne dispose d’aucun motif pour l’appréhender. Quelques jours plus tard, un cadavre est trouvé dans l’église. Le meurtre serait-il lié à la crise des opioïdes qui frappe tout le Québec, même ce hameau oublié aux abords de la frontière américaine ? Gamache et ses collègues s’efforcent de délier les langues et, au terme d’un procès retentissant, l’assassin ne sera pas le seul à devoir rendre des comptes. En alternant les vifs échanges d’une salle d’audience avec les événements dramatiques, Louise Penny tisse un brillant jeu d’ellipses, l’œuvre d’une grande romancière.

    Ce qu’on en dit

    « Une aimable auteure canadienne avec un penchant pour le meurtre. » Dan Bilefsky, The New York Times (portrait du samedi)

    « Louise Penny, extrêmement habile et méticuleuse dans sa manière de mener le suspense, a exploré pour la première fois un procédé par ellipses dans ce roman qui s’est hissé à la première position du palmarès du New York Times. » Marie-France Bornais, Le Journal de Québec

    « Alternant prestement les intrigues, le passé et le présent, [Louise Penny] tisse son récit de manière impressionniste et emporte ainsi le lecteur dans le tourbillon de l’action jusqu’à ce qu’elle dénoue mine de rien tous les fils du mystère. » Manon Dumais, Le Devoir

    « [Louise Penny] a fait des dilemmes moraux et de la conscience le cœur du 13e livre de sa série. » Janie Gosselin, La Presse

    « La tension n’a jamais été aussi élevée. Un roman méticuleusement construit qui se déploie jusqu’à un point de non-retour et vous laissera le souffle coupé. » Kirkus Review

    « Ses livres font du bien, pourtant ils parlent de crimes policiers. » Aline Pinxteren, Le Bel Âge

    Prix

    Agatha

    $29.95
  • LE MOIS LE PLUS CRUEL (poche)

    LE MOIS LE PLUS CRUEL (poche)

    Traduit de l’anglais (Canada) par Michel Saint-Germain avec la collaboration de Louise Chabalier

    À Three Pines, durant le week-end de Pâques, tout le monde rajeunit le temps d’une grande chasse aux œufs. Lorsqu’une étrangère qui communique avec les esprits s’arrête au village, les habitants n’y voient encore qu’une occasion de se divertir. Une séance de spiritisme est organisée dans la vieille maison des Hadley, abandonnée en haut de la colline. L’exercice destiné à libérer la demeure du mal qu’elle recèle est tragiquement interrompu par la mort d’une participante. Morte de peur, vraiment ? C’est ce qu’Armand Gamache, l’inspecteur-chef de la Sûreté du Québec, va devoir découvrir en revenant dans les Cantons-de-l’Est avec son équipe. Une chose est sûre : Gamache sait que le mal reste toujours près de nous, tapi dans l’ombre, et qu’en avril l’explosion de vie du printemps fait à tous coups des victimes…

    Ce qu’on en dit :

    « Je suis tombée sous le charme de ce village en apparence idyllique. » Hélène de Billy, Châtelaine

    « Me voici conquise. Par Three Pines et sa communauté anglophone. Par Gamache et ses acolytes. Par la poésie qui règne. Par les considérations sur le genre humain qui parsèment le récit. Par les réflexions senties sur la mort, la vie, l’amour, l’amitié, l’art, le désir de pouvoir. Par l’humour, aussi. Et par l’habileté de la construction, l’entrelacement des fils narratifs. » Danielle Laurin, Le Devoir

    « Le 3e roman de Louise Penny, Le mois le plus cruel, est tout juste sorti du four. Je l’attendais impatiemment et je l’ai dévoré comme un bon cupcake maison. […] Quel est le secret de Louise Penny pour nous garder dans un tel état de dépendance ? » Marie-Claude Veilleux, La Tribune

    Prix

    Prix Agatha

    $18.95
  • LE MOIS LE PLUS CRUEL

    LE MOIS LE PLUS CRUEL

    Traduit de l’anglais (Canada) par Michel Saint-Germain avec la collaboration de Louise Chabalier

    Durant le week-end de Pâques, le village de Three Pines s’anime le temps d’une grande chasse aux œufs. Lorsqu’une étrangère ayant le don de communiquer avec les esprits s’installe au gîte d’Olivier, sa présence éveille la curiosité. Une soirée de spiritisme est organisée dans la vieille maison abandonnée des Hadley. La séance destinée à libérer la demeure du mal qu’elle recèle est tragiquement interrompue par la mort d’une participante. Morte de peur, vraiment ? C’est ce qu’Armand Gamache, l’inspecteur-chef de la Sûreté du Québec, va devoir découvrir en revenant dans les Cantons-de-l’Est avec son équipe. Alors que le printemps explose de vie, le mal, lui, reste tapi dans l’ombre et Gamache le sait mieux que quiconque.

    Ce qu’on en dit

    « Je suis tombée sous le charme de ce village en apparence idyllique. » Hélène de Billy, Châtelaine

    « Me voici conquise. Par Three Pines et sa communauté anglophone. Par Gamache et ses acolytes. Par la poésie qui règne. Par les considérations sur le genre humain qui parsèment le récit. Par les réflexions senties sur la mort, la vie, l’amour, l’amitié, l’art, le désir de pouvoir. Par l’humour, aussi. Et par l’habileté de la construction, l’entrelacement des fils narratifs. » Danielle Laurin, Le Devoir

    « Le 3e roman de Louise Penny, Le mois le plus cruel, est tout juste sorti du four. Je l’attendais impatiemment et je l’ai dévoré comme un bon cupcake maison. […] Quel est le secret de Louise Penny pour nous garder dans un tel état de dépendance ? » Marie-Claude Veilleux, La Tribune

    Prix

    Agatha

    $28.95