Traduit de l’anglais (Canada) par Paul Gagné
Des appels téléphoniques incessants perturbent la tranquillité d’une chaude matinée d’août à Three Pines. Armand Gamache s’obstine à ne pas répondre, bien qu’il sache qui est à l’autre bout du fil. Et lorsqu’il répond enfin, sa colère gâche pour de bon l’ambiance de ce dimanche matin. Ce n’est que le premier d’une série d’événements insolites qui mènent le chef des homicides de la Sûreté et son équipe vers une terrifiante évidence : quelque chose de bien plus tragique que n’importe quel meurtre se prépare. Pour dénouer l’imbroglio, Armand Gamache, Jean-Guy Beauvoir, son gendre et second, et l’inspectrice Isabelle Lacoste ne peuvent que se fier l’un à l’autre. De vieux amis agissent comme des ennemis, tandis que des ennemis de longue date apportent leur aide. Déterminés à débusquer la menace, ils parcourent le Québec et traversent même les frontières. Leur chasse est de plus en plus désespérée, voire frénétique, à mesure que le danger devient imminent. S’ils échouent, les conséquences dévastatrices se feront sentir dans les plus grandes cités comme dans les plus petits villages. Y compris à Three Pines.
Ce qu’on en dit :
« L’un des meilleurs de la série. […] Penny réussit avec aisance un style épique inusité, troquant la trame habituelle de ses énigmes contre des moments de suspense palpitants, sans pour autant sacrifier les scènes intimes entre ses personnages. Les inconditionnels de Gamache seront impatients de découvrir la suite de ses aventures. » Publishers Weekly
« Penny se joue de nos peurs en lançant un nouvel arc narratif qui, bien que s’achevant dans ce volet, nous laisse avec un suspense. Un roman terrifiant sur la dualité, la notion du bien et du mal, dans un récit bien ancré dans le monde actuel, comme seule Penny sait le faire. » Library Journal
« L’histoire est complexe, passionnante et, comme toujours, admirablement construite et livrée avec lyrisme. […] Penny conclut sur une révélation qui fait froid dans le dos. » American Library Association
« L’un de ces rares livres à multiples niveaux qui vaut chaque page lue, chaque détail complexe, chaque goutte de sueur. » Kirkus
« Parmi les 30 livres recommandés à l’automne 2024. […] Une histoire riche et complexe, à lire absolument. » Los Angeles Times
Ce qu’on en dit
« Fayne allie l’érudition de Marguerite Yourcenar et le caractère épique de Victor Hugo. Si ces deux grands écrivains avaient eu une enfant, elle s’appellerait Ann-Marie MacDonald.. » Marie-Christine Blais, journaliste culturelle
« En esquissant un univers aussi ensorcelant que perfide, Ann-Marie MacDonald se joue des codes de la société victorienne pour remettre en question le monde d’aujourd’hui, sa relation à la nature et sa construction binaire du genre. Comptez 800 captivantes pages » Anne-Frédérique Hébert-Dolbec, Le Devoir
« Captivant, magnifique, drôle. » The Globe and Mail
« Splendide. Dans cette œuvre qui honore la nature, [MacDonald] marie avec talent le mystique et le scientifique, et l’illumine d’éclairs d’humour. Elle explore des thèmes intemporels tels que la confiance et la tromperie en amour et en amitié, tout en abordant les questions de genre et de sexe avec beaucoup de profondeur et de sensibilité. Au centre de tout cela, dans un décor digne d’un conte de fées, la touchante Charlotte tient les lecteurs en haleine tandis qu’elle démêle des secrets de famille enfouis au cœur des blessures intergénérationnelles […] Grâce au dénouement émouvant et poétique, l’inoubliable Fayne se glisse sous la peau comme par enchantement. » Montreal Review of Books
« Une histoire complexe de pouvoir étouffant et de normes contraignantes. […] Fayne questionne et se moque de certains fondements de la fin de l’ère victorienne : la sexualité, le genre, la classe sociale, la science. » Toronto Star
« Les sœurs Brontë, Bugs Bunny et les Beatles : On ne dirait pas que ces influences mènent à un chef-d’œuvre gothique, mais c’est pourtant ce que propose le nouveau roman d’Ann-Marie MacDonald. » The Irish Times