• UN HOMME MEILLEUR (poche)

    Alors qu’une crue printanière place toute la province sous la menace de terribles inondations, n’épargnant ni Three Pines ni la rivière Bella Bella, Armand Gamache affronte une tempête médiatique. De retour d’une suspension de neuf mois à la suite de décisions « désastreuses », il est rétrogradé à la section des homicides de la Sûreté du Québec, sous la direction de son gendre et ancien lieutenant, Jean-Guy Beauvoir. Au cœur de ce tumulte, un père fou d’inquiétude sollicite l’inspecteur-chef pour retrouver Vivienne, sa fille disparue. Gamache ne peut que s’associer à la douleur d’Homer Godin et se répéter cette question : comment réagirait-il, lui, s’il devait craindre de n’avoir pas su protéger sa propre enfant d’un conjoint violent ?

    Ce qu’on en dit

    « Un homme meilleur, avec son mélange de suspense météo, d’observation psychologique et de traque criminelle, est sans doute le meilleur titre à ce jour dans toute cette œuvre époustouflante et originale. » Tom Nolan, The Wall Street Journal

    « Un homme meilleur, c’est Louise Penny à son meilleur. Stephen King adore sa plume, des légions de lecteurs aussi. » Natalia Wysocka, Le Devoir

    « *** ½ Un homme meilleur : Louise Penny, toujours égale à elle-même. L’univers de Louise Penny est paradoxalement une mer calme et apaisante. Un lieu sûr où l’on se réfugie à la recherche de réconfort au bout d’une intrigue dont on est certain de ressortir avec l’assurance que l’ordre des choses a été rétabli et la justice, rendue. » Laila Maalouf, La Presse+

    « Avec tout le talent qu’on lui connaît, Louise Penny ne ménage pas Gamache dans ce nouveau roman explosif et très addictif. » Marie-France Bornais, Le Journal de Montréal

    « Intrigues politiques et dynamiques familiales compliquent une affaire qui explore la distinction entre justice légale et justice naturelle. » The Times

    « L’une des plus édifiantes missions de Gamache. », Marilyn Stasio, The New York Times

    $18.95
  • AU ROYAUME DES AVEUGLES (poche)

    Traduit de l’anglais (Canada) par Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    Convoqué dans une ferme abandonnée, Armand Gamache apprend qu’une parfaite inconnue l’a choisi comme exécuteur testamentaire avec Myrna Landers, la libraire de Three Pines, et Benedict Pouliot, un jeune entrepreneur. Intrigués, tous trois acceptent ce rôle et découvrent des clauses si insolites qu’ils doutent de la santé mentale de la défunte. À moins qu’elle ne soit, au contraire, particulièrement lucide et consciente du danger qui pèse sur ses héritiers. Telle est l’intuition de Gamache, qui se méfie des évidences depuis que le piège qu’il a tendu aux cartels a libéré le pire opiacé qui soit dans les rues de Montréal… Pour résoudre ces deux affaires, l’ancien chef de la Sûreté n’a d’autre choix que de se lancer dans une course contre la montre et contre la mort.

    Édition poche

    Ce qu’on en dit

    «  Ensorcelant. […] Une autre aventure de Gamache exceptionnelle… ingénieuse. […] Qu’est-ce qu’un lecteur de polar – ou tout autre lecteur – pourrait désirer de plus ? » Maureen Corrigan, The Washington Post

    « Une série qui ne cesse de surprendre, qui s’approfondit et s’assombrit au fur et à mesure de son évolution. » Marilyn Stasio, The New York Times

    « Un roman aux images saisissantes, aux personnages aussi riches qu’originaux, aux rebondissements étonnants, graves mais lumineux, insolites, séduisants. » Chrystine Brouillet, Salut Bonjour, TVA

    **** « Avec ce nouvel opus tout en profondeur, l’auteure montre qu’elle est assurément maîtresse de son royaume. […] Une toile touffue, sombre par moments, dont les différentes ramifications finissent bien sûr par se compléter. […] Un récit fascinant et palpitant… » Sophie Ouimet, La Presse+

    « Louise Penny fait maintenant partie du groupe sélect des grandes pointures du polar grâce aux enquêtes d’Armand Gamache. » Michel Bélair, Le Devoir

    « On retrouve le souffle et la voix de Louise Penny que l’on aime tant. […] Un duo de traducteurs qui fait un travail de feu. » Claudia Larochelle, La matinale d’été, ICI Première

    « Frissons garantis. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

    $18.95
  • LA FAILLE EN TOUTE CHOSE

    Traduit de l’anglais (Canada) par Claire Chabalier et Louise Chabalier

    Noël approche, mais l’inspecteur-chef Armand Gamache n’a pas le cœur à la fête. Ses meilleurs agents ont quitté la section des homicides et Jean-Guy Beauvoir, son fidèle lieutenant, travaille désormais pour son pire ennemi, le directeur général Francœur. Aussi saisit-il l’occasion de se réfugier à Three Pines quand Myrna lui demande son aide pour retrouver une amie disparue. Cette piste l’entraîne jusqu’à la naissance quasi miraculeuse de quintuplées dans le noir Québec des années 1930. Aujourd’hui, d’autres ombres menacent la province et Gamache doit combattre sur plusieurs fronts, car un complot sordide se trame à la Sûreté.

    Ce qu’on en dit

    « Un polar magnifique qui fait appel à l’intelligence, mais aussi au cœur et à l’âme. » The Washington Post

    « On y retrouve la signature de Louise Penny : maîtrise de l’écriture, densité psychologique, intérêt pour les tréfonds de l’âme. » Normand Cazelais, Lettres québécoises

    Prix

    Left Coast Crime – Meilleur roman (hors États-Unis)

    $34.95
  • UN HOMME MEILLEUR

    Alors qu’une crue printanière place toute la province sous la menace de terribles inondations, n’épargnant ni Three Pines ni la rivière Bella Bella, Armand Gamache affronte une tempête médiatique. De retour d’une suspension de neuf mois à la suite de décisions « désastreuses », il est rétrogradé à la section des homicides de la Sûreté du Québec, sous la direction de son gendre et ancien lieutenant, Jean-Guy Beauvoir. Au cœur de ce tumulte, un père fou d’inquiétude sollicite l’inspecteur-chef pour retrouver Vivienne Godin, sa fille disparue. Gamache ne peut que s’associer à la douleur d’Homer Godin et se répéter cette question : comment réagirait-il, lui, s’il devait craindre de n’avoir pas su protéger sa propre enfant d’un conjoint violent ?

    Ce qu’on en dit

    « Un homme meilleur, c’est Louise Penny à son meilleur. Stephen King adore sa plume, des légions de lecteurs aussi. » Natalia Wysocka, Le Devoir

    « *** ½ Un homme meilleur : Louise Penny, toujours égale à elle-même. L’univers de Louise Penny est paradoxalement une mer calme et apaisante. Un lieu sûr où l’on se réfugie à la recherche de réconfort au bout d’une intrigue dont on est certain de ressortir avec l’assurance que l’ordre des choses a été rétabli et la justice, rendue. » Laila Maalouf, La Presse+

    « Avec tout le talent qu’on lui connaît, Louise Penny ne ménage pas Gamache dans ce nouveau roman explosif et très addictif. » Marie-France Bornais, Le Journal de Montréal

    « Un homme meilleur, avec son mélange de suspense météo, d’observation psychologique et de traque criminelle, est sans doute le meilleur titre à ce jour dans toute cette œuvre époustouflante et originale. » Tom Nolan, The Wall Street Journal

    $31.95
  • MAISONS DE VERRE

    Traduit de l’anglais (Canada) par Lori Saint-Martin et Paul Gagné

    Au lendemain d’Halloween, une silhouette masquée et drapée de noir apparaît à Three Pines, mettant tout le village mal à l’aise. Comme les autres, Armand Gamache voudrait la voir disparaître, mais le directeur de la Sûreté ne dispose d’aucun motif pour l’appréhender. Quelques jours plus tard, un cadavre est trouvé dans l’église. Le meurtre serait-il lié à la crise des opioïdes qui frappe tout le Québec, même ce hameau oublié aux abords de la frontière américaine ? Gamache et ses collègues s’efforcent de délier les langues et, au terme d’un procès retentissant, l’assassin ne sera pas le seul à devoir rendre des comptes. En alternant les vifs échanges d’une salle d’audience avec les événements dramatiques, Louise Penny tisse un brillant jeu d’ellipses, l’œuvre d’une grande romancière.

    Ce qu’on en dit

    « Une aimable auteure canadienne avec un penchant pour le meurtre. » Dan Bilefsky, The New York Times (portrait du samedi)

    « Louise Penny, extrêmement habile et méticuleuse dans sa manière de mener le suspense, a exploré pour la première fois un procédé par ellipses dans ce roman qui s’est hissé à la première position du palmarès du New York Times. » Marie-France Bornais, Le Journal de Québec

    « Alternant prestement les intrigues, le passé et le présent, [Louise Penny] tisse son récit de manière impressionniste et emporte ainsi le lecteur dans le tourbillon de l’action jusqu’à ce qu’elle dénoue mine de rien tous les fils du mystère. » Manon Dumais, Le Devoir

    « [Louise Penny] a fait des dilemmes moraux et de la conscience le cœur du 13e livre de sa série. » Janie Gosselin, La Presse

    « La tension n’a jamais été aussi élevée. Un roman méticuleusement construit qui se déploie jusqu’à un point de non-retour et vous laissera le souffle coupé. » Kirkus Review

    « Ses livres font du bien, pourtant ils parlent de crimes policiers. » Aline Pinxteren, Le Bel Âge

    Prix

    Agatha

    $29.95
  • LE MOIS LE PLUS CRUEL (poche)

    Traduit de l’anglais (Canada) par Michel Saint-Germain avec la collaboration de Louise Chabalier

    À Three Pines, durant le week-end de Pâques, tout le monde rajeunit le temps d’une grande chasse aux œufs. Lorsqu’une étrangère qui communique avec les esprits s’arrête au village, les habitants n’y voient encore qu’une occasion de se divertir. Une séance de spiritisme est organisée dans la vieille maison des Hadley, abandonnée en haut de la colline. L’exercice destiné à libérer la demeure du mal qu’elle recèle est tragiquement interrompu par la mort d’une participante. Morte de peur, vraiment ? C’est ce qu’Armand Gamache, l’inspecteur-chef de la Sûreté du Québec, va devoir découvrir en revenant dans les Cantons-de-l’Est avec son équipe. Une chose est sûre : Gamache sait que le mal reste toujours près de nous, tapi dans l’ombre, et qu’en avril l’explosion de vie du printemps fait à tous coups des victimes…

    Ce qu’on en dit :

    « Je suis tombée sous le charme de ce village en apparence idyllique. » Hélène de Billy, Châtelaine

    « Me voici conquise. Par Three Pines et sa communauté anglophone. Par Gamache et ses acolytes. Par la poésie qui règne. Par les considérations sur le genre humain qui parsèment le récit. Par les réflexions senties sur la mort, la vie, l’amour, l’amitié, l’art, le désir de pouvoir. Par l’humour, aussi. Et par l’habileté de la construction, l’entrelacement des fils narratifs. » Danielle Laurin, Le Devoir

    « Le 3e roman de Louise Penny, Le mois le plus cruel, est tout juste sorti du four. Je l’attendais impatiemment et je l’ai dévoré comme un bon cupcake maison. […] Quel est le secret de Louise Penny pour nous garder dans un tel état de dépendance ? » Marie-Claude Veilleux, La Tribune

    Prix

    Prix Agatha

    $18.95
  • LE MOIS LE PLUS CRUEL

    Traduit de l’anglais (Canada) par Michel Saint-Germain avec la collaboration de Louise Chabalier

    Durant le week-end de Pâques, le village de Three Pines s’anime le temps d’une grande chasse aux œufs. Lorsqu’une étrangère ayant le don de communiquer avec les esprits s’installe au gîte d’Olivier, sa présence éveille la curiosité. Une soirée de spiritisme est organisée dans la vieille maison abandonnée des Hadley. La séance destinée à libérer la demeure du mal qu’elle recèle est tragiquement interrompue par la mort d’une participante. Morte de peur, vraiment ? C’est ce qu’Armand Gamache, l’inspecteur-chef de la Sûreté du Québec, va devoir découvrir en revenant dans les Cantons-de-l’Est avec son équipe. Alors que le printemps explose de vie, le mal, lui, reste tapi dans l’ombre et Gamache le sait mieux que quiconque.

    Ce qu’on en dit

    « Je suis tombée sous le charme de ce village en apparence idyllique. » Hélène de Billy, Châtelaine

    « Me voici conquise. Par Three Pines et sa communauté anglophone. Par Gamache et ses acolytes. Par la poésie qui règne. Par les considérations sur le genre humain qui parsèment le récit. Par les réflexions senties sur la mort, la vie, l’amour, l’amitié, l’art, le désir de pouvoir. Par l’humour, aussi. Et par l’habileté de la construction, l’entrelacement des fils narratifs. » Danielle Laurin, Le Devoir

    « Le 3e roman de Louise Penny, Le mois le plus cruel, est tout juste sorti du four. Je l’attendais impatiemment et je l’ai dévoré comme un bon cupcake maison. […] Quel est le secret de Louise Penny pour nous garder dans un tel état de dépendance ? » Marie-Claude Veilleux, La Tribune

    Prix

    Agatha

    $28.95