• LÉGENDES

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Natalie Zimmermann

    Qui est vraiment Martin Odum ? Ancien de la CIA devenu détective privé, il est engagé par une jeune femme pour retrouver la trace de son beau-frère, russe émigré en Israël, sans la présence duquel, selon la loi religieuse juive, sa sœur ne peut pas divorcer. Mais au cours de sa recherche de ce personnage insaisissable et menaçant, Odum sera revisité par plusieurs de ses anciennes identités (« légendes », selon le jargon de la CIA), comme celles de Dante Pippen, expert en explosifs de l’armée républicaine irlandaise, et de Lincoln Dittmann, chercheur spécialiste de la Guerre de Sécession.

    D’un continent à l’autre, Odum s’expose à des dangers mortels sur un terrain qui se dérobe constamment sous ses pieds. Son labyrinthe intérieur se révélera aussi périlleux que le monde cruel de l’espionnage international. Sur un grand canevas et un rythme trépidant, Robert Littell déploie encore une fois tous ses talents de conteur inégalé.

    Ce qu’on en dit

    « Dans la foulée de l’extraordinaire Compagnie, monument autour du fonctionnement de la CIA, voilà [Robert Littell] qui reprend du service avec le savoureux Légendes. […] Vissé à son fauteuil, le lecteur n’en perd pas une miette. » Livres Hebdo

    « Littell nous livre une foule d’informations d’initié sur le monde des services secrets dans son superbe nouveau thriller, en y ajoutant une facette résolument comique. » Publishers Weekly

    « Dans cette double enquête, on s’égare avec le même plaisir que Littell a mis de virtuosité à bâtir ce labytinthe à la fois haletant et tragique » Paris Match

    * * * * * « Avec des auteurs comme Littell, le roman d’espionnage a encore de beaux jours devant lui. » Norbert Spehner, La Presse

    $29.95
  • L’AUTRE HOMME DE MA VIE

    Traduit de l’anglais (États-Unis) pas Françoise Jaoüen

    Richard Rossi connaît tous les subterfuges pour dissimuler les passions parallèles qui font le piquant de certaines existences. Bien qu’il partage déjà sa vie avec quelqu’un, ce cadre bostonien entretient une relation adultère épisodique mouvementée. Entre péripéties professionnelles, séances à la salle de sport et rendez-vous à l’abri des regards, Richard navigue à vue jusqu’au jour jeux de Taxi jeux de Camion jeux de Parking jeux de Moto où il se rend compte que l’objet de son affection conjugale passe de plus en plus de temps dans l’Ohio… Peuplée d’une savoureuse bande d’amis, de collègues et de coachs personnels, cette comédie de mœurs s’inscrit dans la veine ironique des précédents romans de Stephen McCauley. Si l’on retrouve avec plaisir la fine psychologie et les subtiles reparties de ce maître du comique, L’(autre) homme de ma vie témoigne également d’une inflexion nouvelle de l’œuvre de McCauley, la satire se faisant plus grinçante.

    Ce qu’on en dit

    « Un vif plaisir que cette lecture. » Didier Fessou, Le Soleil

    « Si vous ne connaissez pas Stephen McCauley, vous avez tort ! […] Un roman d’actualité avec beaucoup d’humour, qui pose un regard plein d’empathie sur notre monde. » Jean Fugère, Radio-Canada

    « L’auteur de L’objet de mon affection est à son meilleur avec ce livre drôle et cruel. » Courrier international

    $26.95
  • SEXE ET DÉPENDANCES

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Françoise Jaoüen

    William Collins, agent immobilier à Boston, est adepte des rencontres par Internet. Lassé de cette vie sentimentale dominée par les contacts anonymes, il décide de faire vœu de chasteté. Résolution difficile à tenir, tant les tentations se multiplient pour le détourner de loisirs plus sages comme lire enfin dans son intégralité l’œuvre d’une certaine Simone de Beauvoir… Contacté par Charlotte et Samuel, de nouveaux clients en quête d’un bel appartement en centre-ville, il tente de prendre quelques leçons de bonheur auprès de ce couple qui le fascine. Lorsqu’il commencera à mieux les connaître, la façade ne tardera pas à se lézarder. Dans cette chronique hilarante et touchante de la vie quotidienne d’une Amérique moins sûre d’elle après le 11 septembre, Stephen McCauley utilise astucieusement le thème de l’immobilier comme métaphore du désir de changer de vie. Aussi grand humoriste que fin moraliste, il nous offre une galerie de portraits d’une rare lucidité et nous entraîne une nouvelle fois dans son univers d’une originalité et d’une drôlerie infinies.

    Ce qu’on en dit

    « Ce qui vous fera succomber : l’humour, l’auto-dérision, le ton pas du tout politiquement correct. » Danielle Laurin, Elle Québec

    « On ne doit pas rire avec n’importe qui, avec McCauley, c’est du sérieux. » Libération (France)

    « Dans ses portraits d’une rare lucidité et d’une grande drôlerie, Stephen McCauley met en évidence les failles de la vie de couple et les tiraillements entre l’envie de faire le bien et toutes les autres tentations. » Manon Guilbert, Le Journal de Montréal

    $26.95
  • PHILBY

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Cécile Arnaud

    1933. Hitler a commencé son ascension, et l’Europe tremble. Quelques mois après l’incendie du Reichstag, un jeune Anglais, tout juste sorti de Cambridge, part pour Vienne où il s’engage dans la lutte contre le fascisme. Face à la montée des périls, il épouse Litzi Friedman, juive et communiste, et la ramène en sécurité en Angleterre. À Londres, il est recruté par les services secrets soviétiques et puis, plus tard, par les Britanniques. Mais de quel côté vont vraiment ses sympathies ?

    Dans ce roman, on assiste aux débuts fascinants du maître espion Harold Adrian Russell Philby, dit Kim, le plus énigmatique, le plus insondable de ceux qu’on a appelés « les Cinq de Cambridge », qui seront démasqués comme agents soviétiques. Au sein d’une Europe envahie par le spectre de la guerre, c’est un Philby idéaliste qui pose cette interrogation lancinante : du communisme ou du fascisme, quel est le plus grand mal à combattre ? Avec son talent inimitable pour conjuguer Histoire et fiction, mêlant avec art figures historiques et personnages inventés, Robert Littell évoque ces heures critiques du XXe siècle.

    Ce qu’on en dit

    « Une lecture aussi réjouissante que divertissante. » Livres Hebdo

    « Dans un récit fort habilement mené […], Robert Littell avance une hypothèse audacieuse, mais pas totalement invraisemblable. Un agent double ne peut-il pas être en réalité un agent triple ? » Louis-Bernard Robitaille, La Presse

    $29.95