Au palais de Sépahan, Sévrina s’apprête à tuer le shah. La plus douée des agneaux de Dame Marceline attend ce moment depuis cinq ans. Mais le destin l’oblige à saborder sa mission et à repartir en quête de poison avec un Assarbâd prêt à tout pour survivre.
Au même moment, dans la lointaine vallée du Réal, Florie assiste impuissante au départ de sa sœur. La douce Jélina serait, elle aussi, un agneau qu’on doit mettre à l’abri au Protectoriuil. Intrépide bergère du Dagrab, Florie n’a que faire des ordres ; elle s’élance à la suite de l’escorte dans un périlleux voyage qui la conduit jusqu’à l’abbaye de Marceline. S’agit-il d’un refuge, comme le prétend l’abbesse, ou d’une prison comme le craint Florie ?
Plus sombre que jamais, l’avenir semble lié à l’ineffable pouvoir des agneaux karakuls. Au cœur des conspirations, victimes de la guerre que mijote le shah, qui pourra leur insuffler la force nouvelle de ramener la lumière en Tessila ?
Ce qu’on en dit
« C’est une très bonne conteuse. […] J’ai dévoré le livre en quelques heures. Une plume simple, efficace et entraînante. […] Une série facile à recommander parce qu’elle se lit bien et est bien réalisée. » Raphaëlle B. Adam, Le Cochaux Show
Ce qu’on en dit
« L’auteur canadien Trevor Cole signe une satire décoiffante à l’humour noir, très noir. » Monique Roy, Châtelaine
« Un roman canadien dont l’humour noir est absolument irrésistible. » Coup de pouce
« Coup de génie ! L’Eugénie pratique est d’une effroyable lucidité. Le courage d’Eugénie nous trouble et, heureusement pour nos amies, peu d’entre nous saurons manifester autant d’altruisme. […] Accro, on ne peut se détacher du fil du suspense. » Nathalie Thibault, Club de lecture Châtelaine
« Le style est vivant, le rythme, soutenu, admirablement rendu par la traductrice. Quand on a l’impression que l’ouvrage a été écrit directement en français, qu’aucune fausse note ne gâche notre plaisir, c’est que la traduction est réussie, et Rachel Martinez a fait ici de l’excellent travail. » Hélène Rioux, Lettres québécoises