• PARFUM D’AUTOMNE

    L’autrice figurant au palmarès du New York Times nous offre une série pétillante, pleine d’humour et de sensualité !

    Lillian et Daisy Bowman sont deux riches héritières américaines qui, malgré leurs millions de dollars, peinent à trouver un noble anglais avec qui se marier. Dans cette société corsetée aux règles strictes, aucun ne semble assez fort pour dompter la volonté farouche de Lillian, l’aînée au caractère bien trempé. Sauf peut-être le puissant et prétentieux comte de Westcliff, un homme que la jeune femme méprise plus que quiconque. Célèbre pour sa réserve glaciale et sa parfaite maîtrise de lui, ce dernier se voit désarçonné par l’audace de Lillian. Chaque fois que ces deux-là se trouvent en présence l’un de l’autre, ils ne peuvent s’empêcher de s’affronter furieusement. Mais, un après-midi, une rencontre d’une sensualité stupéfiante change tout… Derrière cette façade de froideur, se pourrait-il que Lillian découvre l’amant passionné dont elle rêve ?

    Les « laissées-pour-compte », c’est ainsi que se définissent non sans ironie Annabelle, Lillian, Évangeline et Daisy. Ces quatre jeunes femmes entrent dans la société londonienne avec un seul objectif : épouser un aristocrate. La tâche s’annonce toutefois ardue et le temps presse pour ces demoiselles aux espoirs déçus. Bien que radicalement différentes, celles-ci décident d’unir leurs forces pour défier le destin. Que les gentlemen se le tiennent pour dit : un pacte est signé, la chasse au mari est commencée !

    Ce qu’on en dit

    « Je suis la plus grande fan de Lisa Kleypas ! » – Julia Quinn

    $26.95
  • SECRETS D’UNE NUIT D’ÉTÉ

    L’autrice figurant au palmarès du New York Times nous offre une série pétillante, pleine d’humour et de sensualité !

    La magnifique et fière Annabelle Peyton pourrait avoir le choix de ses prétendants, si seulement elle avait une dot. Sa famille est au bord du désastre et l’unique moyen de la sauver est que la jeune femme se marie avec un riche noble. Malheureusement, son admirateur le plus tenace est l’effronté Simon Hunt, un entrepreneur séduisant et ambitieux bien déterminé à la faire sienne. Annabelle résiste aux continuelles avances de ce roturier arrogant, mais elle ne peut nier son attirance pour ce solide gaillard aux manières audacieuses, pas plus qu’elle ne peut oublier le baiser envoûtant qu’il lui a volé jadis. Alors qu’ils n’ont de cesse de déjouer leurs plans respectifs, lequel des deux emportera la partie ? Et si c’était l’amour ?

    Les « laissées-pour-compte », c’est ainsi que se définissent non sans ironie Annabelle, Lillian, Évangeline et Daisy. Ces quatre jeunes femmes entrent dans la société londonienne avec un seul objectif : épouser un aristocrate. La tâche s’annonce toutefois ardue et le temps presse pour ces demoiselles aux espoirs déçus. Bien que radicalement différentes, celles-ci décident d’unir leurs forces pour défier le destin. Que les gentlemen se le tiennent pour dit : un pacte est signé, la chasse au mari est commencée !

    Ce qu’on en dit

    « Je suis la plus grande fan de Lisa Kleypas ! » – Julia Quinn

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  • LE PARFUM DE LA BALEINE

    Un couple tente de raviver la flamme en s’offrant un séjour dans un tout-inclus de luxe. Mais les vacances de Judith et Hugo seront vite gâchées par une baleine bleue échouée sur la plage. La carcasse en putréfaction dégage une odeur nauséabonde que la brise tropicale charrie jusqu’aux narines des touristes. La puanteur s’emmêle à différents destins et les imprègne. Et plus elle stagne dans l’air, plus l’illusion du paradis se dissipe.

    Dans ce roman olfactif aux accents allégoriques, Paul Ruban sonde avec humour et tendresse les malaises qui s’installent, en douce, et s’amplifient jusqu’à devenir impossibles à masquer.

    Ce qu’on en dit

    « Vous aimerez votre séjour à l’hôtel Nuevo Gran Palacio, où les personnages sont pittoresques – parfois névrosés – et les rebondissements savoureux. La plume de Paul Ruban est portée par une imagination débridée et un talent fou. » Neil Smith, auteur de Boo et Jones

    « Une approche narrative rafraîchissante et audacieuse. » Laurent Poliquin, Culture et Confiture, Radio-Canada Première

    « Ruban vise juste dès le départ […], sans tomber dans la caricature. […] Ce ne sont pas tous les pots cassés qui sont faits pour être recollés. Ce sympathique roman le démontre avec finesse. » Josée Boileau, Le Journal de Montréal

    « À lire sans faute pour découvrir un écrivain manitobain plutôt créatif ! » Julie Roy, L’Actualité 

    L’un des « titres incontournables » de 2023, selon La Presse :
    « Après un premier recueil de nouvelles qui avait remporté le prix Trillium en 2020, […] Paul Ruban revient cette fois-ci avec un roman à l’humour tout aussi décapant. Et si la littérature est bel et bien une forme de divertissement comme il le croit, on peut dire sans hésiter qu’il a de nouveau réussi son coup avec Le parfum de la baleine… » Laila Maalouf, La Presse

    « Un ouvrage à la fois délicieux et drôle. Un livre qui, sans être moralisateur, sait nous faire réfléchir… » Léa Harvey, Le Soleil

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  • CREVAISON EN CORBILLARD

    Dans les trente nouvelles de ce recueil, ce ne sont pas seulement les pneus qui éclatent, mais la vie tout entière. Partout, le vernis craque, les visages se défont, les favoris d’un faux Elvis décollent et l’univers mental d’un astronaute explose en une cascade d’expériences plus comiques que cosmiques. C’est là tout le talent de Paul Ruban : inventer des personnages atypiques qui possèdent un sens de l’humour noir, pince-sans-rire, frisant l’absurde, mais où perce un certain désarroi, voire une profonde détresse. La finesse d’esprit de l’auteur illumine aussi les faits divers qui, sous sa plume, prennent parfois un ton impertinent. Au-delà des exercices de style, ces nouvelles d’une grande inventivité nous rassurent sur la bonté et la malice délicieuse de la nature humaine.

    Lisez une nouvelle.

    Extrait du commentaire du jury – Prix Trillium 2020
    « Crevaison en corbillard est un recueil de nouvelles riche en rebondissements, rempli de vérités et de détresses feutrées, dont le ton oscille entre le commencement et le recommencement, entre la débâcle et la réussite, entre la vie et la mort. L’auteur nous offre des personnages vivants, drôles et plus vrais que nature évoluant dans des intrigues farfelues, insolites et délicieuses dont la frénésie littéraire surprend. Le lecteur sans cesse diverti est témoin d’un foisonnement absolu de l’imagination. »

    Ce qu’on en dit

    « Une diversité fascinante… C’est très, très vivant. » Marie-Christine Blais, Radio-Canada Première

    * * * ½ « Voilà un recueil de nouvelles à savourer à tout moment, premier titre d’un auteur franco-canadien qui, on le souhaite, ne tardera pas à nous régaler à nouveau de ce trait d’esprit. […] À découvrir. » Laila Maalouf, La Presse +

    « Une vive intelligence. » David Bélanger, revue XYZ

    « [Paul Ruban] jongle habilement avec des touches d’humour tour à tour ironique, irrévérencieux, noir ou carrément loufoque. » Valérie Lessard, Radio-Canada Ottawa-Gatineau

    « Des histoires aussi surprenantes les unes que les autres. [Un livre] très réussi. » Patricia Bitu Tshikudi, Radio-Canada Manitoba

    « Une collection de petits plaisirs bien tordus. […] Lisez une de ces nouvelles tous les jours et vous passerez un mois à vous sentir moins seul dans vos propres moments ridicules et difficiles. » Magali Desjardins Potvin, Les libraires

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  • L’AUTRE HOMME DE MA VIE

    Traduit de l’anglais (États-Unis) pas Françoise Jaoüen

    Richard Rossi connaît tous les subterfuges pour dissimuler les passions parallèles qui font le piquant de certaines existences. Bien qu’il partage déjà sa vie avec quelqu’un, ce cadre bostonien entretient une relation adultère épisodique mouvementée. Entre péripéties professionnelles, séances à la salle de sport et rendez-vous à l’abri des regards, Richard navigue à vue jusqu’au jour jeux de Taxi jeux de Camion jeux de Parking jeux de Moto où il se rend compte que l’objet de son affection conjugale passe de plus en plus de temps dans l’Ohio… Peuplée d’une savoureuse bande d’amis, de collègues et de coachs personnels, cette comédie de mœurs s’inscrit dans la veine ironique des précédents romans de Stephen McCauley. Si l’on retrouve avec plaisir la fine psychologie et les subtiles reparties de ce maître du comique, L’(autre) homme de ma vie témoigne également d’une inflexion nouvelle de l’œuvre de McCauley, la satire se faisant plus grinçante.

    Ce qu’on en dit

    « Un vif plaisir que cette lecture. » Didier Fessou, Le Soleil

    « Si vous ne connaissez pas Stephen McCauley, vous avez tort ! […] Un roman d’actualité avec beaucoup d’humour, qui pose un regard plein d’empathie sur notre monde. » Jean Fugère, Radio-Canada

    « L’auteur de L’objet de mon affection est à son meilleur avec ce livre drôle et cruel. » Courrier international

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  • SEXE ET DÉPENDANCES

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Françoise Jaoüen

    William Collins, agent immobilier à Boston, est adepte des rencontres par Internet. Lassé de cette vie sentimentale dominée par les contacts anonymes, il décide de faire vœu de chasteté. Résolution difficile à tenir, tant les tentations se multiplient pour le détourner de loisirs plus sages comme lire enfin dans son intégralité l’œuvre d’une certaine Simone de Beauvoir… Contacté par Charlotte et Samuel, de nouveaux clients en quête d’un bel appartement en centre-ville, il tente de prendre quelques leçons de bonheur auprès de ce couple qui le fascine. Lorsqu’il commencera à mieux les connaître, la façade ne tardera pas à se lézarder. Dans cette chronique hilarante et touchante de la vie quotidienne d’une Amérique moins sûre d’elle après le 11 septembre, Stephen McCauley utilise astucieusement le thème de l’immobilier comme métaphore du désir de changer de vie. Aussi grand humoriste que fin moraliste, il nous offre une galerie de portraits d’une rare lucidité et nous entraîne une nouvelle fois dans son univers d’une originalité et d’une drôlerie infinies.

    Ce qu’on en dit

    « Ce qui vous fera succomber : l’humour, l’auto-dérision, le ton pas du tout politiquement correct. » Danielle Laurin, Elle Québec

    « On ne doit pas rire avec n’importe qui, avec McCauley, c’est du sérieux. » Libération (France)

    « Dans ses portraits d’une rare lucidité et d’une grande drôlerie, Stephen McCauley met en évidence les failles de la vie de couple et les tiraillements entre l’envie de faire le bien et toutes les autres tentations. » Manon Guilbert, Le Journal de Montréal

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