Traduit de l’anglais (États-Unis) par Julie Sibony
Tout va mal dans la vie de Joseph Geist. Il est fauché, sa thèse de philosophie patine depuis des lustres et sa petite amie vient de le mettre à la porte. Alors qu’il frôle le désespoir, une annonce dans un journal retient son attention : « Cherche quelqu’un pour heures de conversation. » Un boulot de rêve pour Joseph ! Parler, c’est ce qu’il fait le mieux et Alma Spielmann s’avère l’employeuse idéale : vieille dame raffinée, érudite et généreuse qui l’invite même à loger dans sa somptueuse demeure. Seule ombre au tableau, Eric, son neveu bien-aimé, un jeune homme paumé, énigmatique et manipulateur que Joseph prend en grippe instantanément. Pourtant, il est loin de se douter des conséquences néfastes que les manigances d’Eric auront sur le restant de ses jours.
Ce qu’on en dit
« Éblouissant ! » The New York Times
« Très, très bon. Jesse Kellerman a beaucoup de talent. […] On est toujours dans l’histoire et on a vraiment envie de se rendre à la fin. » René-Homier-Roy, Radio-Canada
« Un polar philosophique et cérébral, vraiment atypique, sur le libre arbitre et la corruption de conscience. » Lisanne Rheault-Leblanc, 7 Jours
Ce qu’on en dit
« L’auteur canadien Trevor Cole signe une satire décoiffante à l’humour noir, très noir. » Monique Roy, Châtelaine
« Un roman canadien dont l’humour noir est absolument irrésistible. » Coup de pouce
« Coup de génie ! L’Eugénie pratique est d’une effroyable lucidité. Le courage d’Eugénie nous trouble et, heureusement pour nos amies, peu d’entre nous saurons manifester autant d’altruisme. […] Accro, on ne peut se détacher du fil du suspense. » Nathalie Thibault, Club de lecture Châtelaine
« Le style est vivant, le rythme, soutenu, admirablement rendu par la traductrice. Quand on a l’impression que l’ouvrage a été écrit directement en français, qu’aucune fausse note ne gâche notre plaisir, c’est que la traduction est réussie, et Rachel Martinez a fait ici de l’excellent travail. » Hélène Rioux, Lettres québécoises