• AU NOM DU FRÈRE

    Le lieutenant Owen Hayden du SPCUM cherche sans répit quelle organisation criminelle a osé faire exploser sa maison et s’attaquer aux siens. Sa soif de vérité est teintée de colère quand on lui annonce qu’il fait l’objet d’une enquête externe. La SQ veut connaître les détails de la nuit durant laquelle Hayden a abattu le gangster en cavale, Jesse Morel, et n’entend pas clore le dossier avant d’avoir levé le voile sur chaque zone d’ombre. Un rendez-vous chez le notaire pour régler la succession de son père viendra de surcroît ébranler les valeurs et les certitudes d’Owen. Saura-t-il naviguer entre sa vie professionnelle houleuse et sa vie familiale chamboulée par un rapprochement avec Tom, son frère ennemi, désormais chef par intérim des Hells Angels ?

    La tension est à son comble dans ce second volet du diptyque Requiem américain. Jacques Côté y explore avec habileté les mécanismes complexes de la vengeance, et conjugue avec intensité l’action et le suspens.

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  • REQUIEM AMÉRICAIN

    Montréal, au cœur des années 1990. Fraîchement sorti de prison, Marc Hamel, tête dirigeante des Hells Angels, commande un assaut en règle contre les Rock Machine. L’enjeu : étendre son territoire et contrôler le marché de la drogue. L’affrontement des clans ennemis plonge la métropole dans la confusion et le chaos. Les fusillades s’enchaînent, les bombes explosent et les cadavres se multiplient. Afin d’enrayer cette escalade de la violence, Owen Hayden et son équipe du SPCUM doivent frapper vite et fort. Or, pour le lieutenant responsable de l’escouade antigang, la guerre des motards a un visage très intime. Son frère Tom est le bras droit de Marc Hamel. Comment l’aîné, qui s’est rangé du côté de la loi, parviendra-t-il à mater des adversaires aussi féroces, à commencer par ce « Tomgun » Hayden dont il partage le sang ?

    Ce qu’on en dit

    « Un roman policier haletant et résolument montréalais, dont on appréciera indéniablement les nombreuses couches. » Laila Maalouf, La Presse

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  • L’HOMME QUI MARCHE

    Récit écrit avec la collaboration de Géraldine Woessner

    Après la faillite de son entreprise d’enseignes lumineuses, Jean Béliveau est parti sur un coup de tête le jour de ses quarante-cinq ans, le 18 août 2000, de Montréal. Il est rentré chez lui le 16 octobre 2011 après avoir parcouru 75 543 km à travers 64 pays. Il a réussi sans préparation à effectuer la plus longue marche ininterrompue autour du monde et celle-ci a été reconnue par l’Unesco dans le cadre de la décennie internationale dédiée à la paix pour les enfants. Durant ces onze années, le marcheur porte turban et grande barbe au Soudan, mange des insectes en Afrique, du chien en Corée et du serpent en Chine. Il dort sous les ponts, dans des foyers pour sans-abri, voire dans des prisons, mais la plupart du temps chez des gens séduits par son aventure. Ce livre dévoile la belle histoire d’un homme qui a transformé sa vie en une véritable odyssée. Ses nombreux fans ont pu le suivre sur le site Internet que sa compagne Luce a animé pour le soutenir et pourront simultanément le découvrir sur le marché européen. D’autres traductions internationales sont aussi sur la table. Son périple a fait l’objet d’un documentaire, Des ailes aux talons. Depuis son retour, Jean Béliveau donne des conférences et rencontre les jeunes dans les écoles. Il est aussi ambassadeur de Trottibus, un projet de la Société canadienne du cancer.

    Cahier photo

    www.wwwalk.org

    Ce qu’on en dit

    « C’est un récit palpitant. » Denis Lévesque, LCN et TVA

    « Un parcours humain absolument fascinant à la rencontre des peuples du monde. » Marie-France Bornais, Le Journal de Québec

    « On dévore sans se lasser ce pèlerinage dont le déclencheur – une crise existentielle – s’est mué en marche dédiée à la paix pour les enfants. » Josée Blanchette, Le Devoir

    « C’est fantastique parce qu’on a l’impression de voyager avec Jean Béliveau en lisant ce livre très bien écrit. » Robert Frosi, Radio-Canada

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