• L’EUGÉNIE PRATIQUE

    Eugénie vit à Kotemee, la sympathique petite ville canadienne où elle est née. Son père était chef de police et ses frères travaillent tous deux au poste. Marjorie, sa mère, était vétérinaire, mais elle vient de mourir du cancer. Son mari, Milt, est un homme doux sans grande ambition. Quant à Eugénie, elle se passionne pour la céramique et les délicates sculptures végétales qu’elle crée dans sa boutique-atelier de la rue Principale. Cette petite vie innocente aurait bien pu continuer si sa mère ne lui avait pas demandé de prendre soin d’elle durant les longs mois de son agonie. Après les funérailles, Eugénie regrette de n’avoir su lui épargner une fin si pénible. Dans un élan de compassion, elle décide d’éviter à ses meilleures amies la même déchéance et de leur offrir rien de moins qu’une mort parfaite. Car, n’en déplaise à son entourage, la sensibilité et l’altruisme d’Eugénie se doublent d’un certain sens pratique…

    Parmi les meilleurs livres de l’année selon le Globe and Mail

    Ce qu’on en dit

    « L’auteur canadien Trevor Cole signe une satire décoiffante à l’humour noir, très noir. » Monique Roy, Châtelaine

    « Un roman canadien dont l’humour noir est absolument irrésistible. » Coup de pouce

    « Coup de génie ! L’Eugénie pratique est d’une effroyable lucidité. Le courage d’Eugénie nous trouble et, heureusement pour nos amies, peu d’entre nous saurons manifester autant d’altruisme. […] Accro, on ne peut se détacher du fil du suspense. » Nathalie Thibault, Club de lecture Châtelaine

    « Le style est vivant, le rythme, soutenu, admirablement rendu par la traductrice. Quand on a l’impression que l’ouvrage a été écrit directement en français, qu’aucune fausse note ne gâche notre plaisir, c’est que la traduction est réussie, et Rachel Martinez a fait ici de l’excellent travail. » Hélène Rioux, Lettres québécoises

    Prix

    Prix de l’humour Stephen-Leacock

    $9.95
  • FILM NOIR À ODESSA

    Traduit de l’anglais (Irlande) par Jean Esch

    URSS, 1937 – L’inspecteur Korolev, des affaires criminelles, est tiré du lit en pleine nuit, à l’heure où un citoyen peut craindre de partir pour ne plus jamais revenir. C’est à Odessa, en mission confidentielle, qu’on l’envoie pour enquêter sur le présumé suicide d’une jeune femme un peu trop liée à un haut dirigeant du Parti. Korolev débarque dans une Ukraine ravagée par les politiques de Staline, décor parfait pour La Prairie ensanglantée, le film scénarisé par son ami Babel. Bien malgré lui, il se retrouve aussi mêlé aux embrouilles du « roi des Voleurs » de Moscou. Il lui faudra tout son sang-froid, et l’aide d’une jeune inspectrice de la Milice d’Odessa, pour démasquer les vrais ennemis de la Révolution sans y laisser sa peau.

    Site de l’auteur

    Ce qu’on en dit

    « Ryan nous entraîne au cœur d’une intrigue riche en suspense avec un personnage vulnérable et sympathique. » Norbert Spehner, La Presse

    « L’œuvre qu’est en train de construire William Ryan vaut vraiment le détour. » Catherine Lachaussée, Radio-Canada

    « En plus de réussir à nous tenir en haleine jusqu’à la fin, il nous permet de comprendre ce que les Ukrainiens ont vécu sous le régime stalinien. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

    $9.95
  • LE ROYAUME DES VOLEURS

    Traduit de l’anglais (Irlande) par Jean Esch

    MOSCOU, 1936 – À l’aube des Grandes Purges de Staline, le cadavre mutilé d’une jeune femme est retrouvé sur l’autel d’une église désaffectée. L’inspecteur Korolev, chef de la 4×4 foot jeux de sport section criminelle de la Milice locale, est chargé d’enquêter. Mais dès qu’il comprend que la victime était américaine, le NKVD, la très redoutée police secrète, s’en mêle, épiant ses moindres gestes. Résolu à tout risquer pour découvrir qui se cache derrière ce crime effroyable, Korolev pénètre dans le royaume des Voleurs, ces individus qui règnent sur la pègre moscovite et semblent les seuls à défier le joug du Parti.

    À mesure que d’autres corps sont découverts, la pression venue d’en haut s’accentue et Korolev ne peut que se demander qui sont les véritables criminels dans cette Union soviétique où prédominent la peur, la faim et l’incertitude.

    Site de l’auteur

    Ce qu’on en dit

    « Cette première enquête de l’inspecteur Korolev plonge le lecteur dans l’atmosphère de conjuration qui baigne le Moscou des années 1930. » The Independent

    $9.95
  • L’AUTRUCHE CÉLESTE… CINQ ANS PLUS TARD

    Cinq années après qu’elle eut terminé – en des mots fort sereins – la rédaction de L’Autruche Céleste, le ciel tombait sur la tête de l’auteur. Affirmer avec autant de conviction être arrivée à s’affranchir de toute forme de drames était sans doute trop ambitieux au goût de son karma qui s’est chargé de la ramener sur terre, la faisant piquer du nez sur un sol complètement gelé. Ne restait plus qu’un tas de plumes inutiles. L’Autruche étant devenue incapable de faire appel à son sens de l’autodérision salvateur, ses enfants, à peine sortis d’une bruyante adolescence, se retrouvaient du jour au lendemain avec une maman inconnue dont l’activité principale se résumait à pleurer en regardant le plafond. Comme pour une dinde arrosée aux vingt minutes, ils se sont relayés afin de s’assurer que leur mère n’aurait pas l’idée subite de se mettre la tête dans le four… Et puis, tout doucement, les plumes ont repoussé, l’Autruche profitant de cette période hors service pour comprendre un peu plus la vie, faire la paix avec son karma (et autres irritants), réapprendre l’autodérision et, surtout, renouer avec l’inconscience, son alliée la plus précieuse.

    Ce qu’on en dit

    « Un livre plus grave […] où, encore une fois, l’humour tient lieu de véritable bouée de sauvetage. Marie-Claude Fortin, La Presse

    « Doclin risque de connaître le succès grâce à son humour tranchant et son sens de l’observation aiguisé. » Antoine Tanguay, Le Soleil

    $24.95
  • L’AUTRUCHE CÉLESTE

    Postface de Jocelyne Brousseau

    L’Autruche Céleste est une sémillante quadragénaire ayant réalisé que le drame n’est pas génétique, contrairement à ce que son père, l’Ex-Comte Transylvanien, affirmait. Fort de cette faculté de ne plus prendre au sérieux les aléas professionnels, amoureux, financiers, canins, ménagers ou plombiers, l’auteur nous entraîne dans un quotidien truffé d’éclats de rire derrière lesquels transparaît une grande profondeur. Ce récit-Prozac nous rappelle que, si on ne choisit pas ce qui arrive, on peut choisir comment y faire face. On ne s’embête pas avec la Mère Volaille et ses deux ados : Miss Vitriol qui claque les portes et Don Boutons, grand prédateur du garde-manger. Vierge selon les astres, divorcée de l’Ex-époux Clown Célèbre, propriétaire d’un duplex très, très hypothèqué, elle n’a plus peur de rien, car elle est devenue une autruche et adore la vie.

    Édition de poche

    Ce qu’on en dit

    « Un livre formidablement drôle et triste, touchant et tonique, aérien et libérateur. […] À lire impérativement. Bien-être garanti. » Monique Roy, Châtelaine

    « À la fois tonique et tragique, le parcours drôlement émouvant d’une fille pas banale. » Geneviève St-Germain

    « On ne peut s’empêcher de trouver cette autruche sympathique, de compatir à ses malheurs, de louer son courage et de rire non pas à ses dépens, mais avec elle. » Chantal Guy

    $13.95