• LÉGENDES

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Natalie Zimmermann

    Qui est vraiment Martin Odum ? Ancien de la CIA devenu détective privé, il est engagé par une jeune femme pour retrouver la trace de son beau-frère, russe émigré en Israël, sans la présence duquel, selon la loi religieuse juive, sa sœur ne peut pas divorcer. Mais au cours de sa recherche de ce personnage insaisissable et menaçant, Odum sera revisité par plusieurs de ses anciennes identités (« légendes », selon le jargon de la CIA), comme celles de Dante Pippen, expert en explosifs de l’armée républicaine irlandaise, et de Lincoln Dittmann, chercheur spécialiste de la Guerre de Sécession.

    D’un continent à l’autre, Odum s’expose à des dangers mortels sur un terrain qui se dérobe constamment sous ses pieds. Son labyrinthe intérieur se révélera aussi périlleux que le monde cruel de l’espionnage international. Sur un grand canevas et un rythme trépidant, Robert Littell déploie encore une fois tous ses talents de conteur inégalé.

    Ce qu’on en dit

    « Dans la foulée de l’extraordinaire Compagnie, monument autour du fonctionnement de la CIA, voilà [Robert Littell] qui reprend du service avec le savoureux Légendes. […] Vissé à son fauteuil, le lecteur n’en perd pas une miette. » Livres Hebdo

    « Littell nous livre une foule d’informations d’initié sur le monde des services secrets dans son superbe nouveau thriller, en y ajoutant une facette résolument comique. » Publishers Weekly

    « Dans cette double enquête, on s’égare avec le même plaisir que Littell a mis de virtuosité à bâtir ce labytinthe à la fois haletant et tragique » Paris Match

    * * * * * « Avec des auteurs comme Littell, le roman d’espionnage a encore de beaux jours devant lui. » Norbert Spehner, La Presse

    $29.95
  • TRENTE ARPENTS

    Charis Moisan mène une bonne vie de paysan prospère lorsque le malheur entre dans sa vie à cause d’un lopin d’érablière cédé jadis à un voisin. Une terre qui va s’en aller par pelletées, chargée sur des camions. Cela, Moisan ne le veut pas ! Il va affronter la grande ville, les avocats, perdre son procès et, fou de rage et de désespoir, repartir en guerre pour ses trente arpents bien-aimés, trop aimés.

    Format poche

    Ce qu’on en dit

    « Trente arpents, c’est, à mon sens, le plus grand roman écrit au Québec. […] C’est le meilleur. » Denys Arcand, Du côté de chez Catherine

    Prix

    • Prix du Gouverneur général

    • Prix de l’Académie française

    • Prix des Vikings

    • Prix de la province de Québec

    $11.95
  • PHILBY

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Cécile Arnaud

    1933. Hitler a commencé son ascension, et l’Europe tremble. Quelques mois après l’incendie du Reichstag, un jeune Anglais, tout juste sorti de Cambridge, part pour Vienne où il s’engage dans la lutte contre le fascisme. Face à la montée des périls, il épouse Litzi Friedman, juive et communiste, et la ramène en sécurité en Angleterre. À Londres, il est recruté par les services secrets soviétiques et puis, plus tard, par les Britanniques. Mais de quel côté vont vraiment ses sympathies ?

    Dans ce roman, on assiste aux débuts fascinants du maître espion Harold Adrian Russell Philby, dit Kim, le plus énigmatique, le plus insondable de ceux qu’on a appelés « les Cinq de Cambridge », qui seront démasqués comme agents soviétiques. Au sein d’une Europe envahie par le spectre de la guerre, c’est un Philby idéaliste qui pose cette interrogation lancinante : du communisme ou du fascisme, quel est le plus grand mal à combattre ? Avec son talent inimitable pour conjuguer Histoire et fiction, mêlant avec art figures historiques et personnages inventés, Robert Littell évoque ces heures critiques du XXe siècle.

    Ce qu’on en dit

    « Une lecture aussi réjouissante que divertissante. » Livres Hebdo

    « Dans un récit fort habilement mené […], Robert Littell avance une hypothèse audacieuse, mais pas totalement invraisemblable. Un agent double ne peut-il pas être en réalité un agent triple ? » Louis-Bernard Robitaille, La Presse

    $29.95
  • L’AUTRUCHE CÉLESTE… CINQ ANS PLUS TARD

    Cinq années après qu’elle eut terminé – en des mots fort sereins – la rédaction de L’Autruche Céleste, le ciel tombait sur la tête de l’auteur. Affirmer avec autant de conviction être arrivée à s’affranchir de toute forme de drames était sans doute trop ambitieux au goût de son karma qui s’est chargé de la ramener sur terre, la faisant piquer du nez sur un sol complètement gelé. Ne restait plus qu’un tas de plumes inutiles. L’Autruche étant devenue incapable de faire appel à son sens de l’autodérision salvateur, ses enfants, à peine sortis d’une bruyante adolescence, se retrouvaient du jour au lendemain avec une maman inconnue dont l’activité principale se résumait à pleurer en regardant le plafond. Comme pour une dinde arrosée aux vingt minutes, ils se sont relayés afin de s’assurer que leur mère n’aurait pas l’idée subite de se mettre la tête dans le four… Et puis, tout doucement, les plumes ont repoussé, l’Autruche profitant de cette période hors service pour comprendre un peu plus la vie, faire la paix avec son karma (et autres irritants), réapprendre l’autodérision et, surtout, renouer avec l’inconscience, son alliée la plus précieuse.

    Ce qu’on en dit

    « Un livre plus grave […] où, encore une fois, l’humour tient lieu de véritable bouée de sauvetage. Marie-Claude Fortin, La Presse

    « Doclin risque de connaître le succès grâce à son humour tranchant et son sens de l’observation aiguisé. » Antoine Tanguay, Le Soleil

    $24.95
  • L’AUTRUCHE CÉLESTE

    Postface de Jocelyne Brousseau

    L’Autruche Céleste est une sémillante quadragénaire ayant réalisé que le drame n’est pas génétique, contrairement à ce que son père, l’Ex-Comte Transylvanien, affirmait. Fort de cette faculté de ne plus prendre au sérieux les aléas professionnels, amoureux, financiers, canins, ménagers ou plombiers, l’auteur nous entraîne dans un quotidien truffé d’éclats de rire derrière lesquels transparaît une grande profondeur. Ce récit-Prozac nous rappelle que, si on ne choisit pas ce qui arrive, on peut choisir comment y faire face. On ne s’embête pas avec la Mère Volaille et ses deux ados : Miss Vitriol qui claque les portes et Don Boutons, grand prédateur du garde-manger. Vierge selon les astres, divorcée de l’Ex-époux Clown Célèbre, propriétaire d’un duplex très, très hypothèqué, elle n’a plus peur de rien, car elle est devenue une autruche et adore la vie.

    Édition de poche

    Ce qu’on en dit

    « Un livre formidablement drôle et triste, touchant et tonique, aérien et libérateur. […] À lire impérativement. Bien-être garanti. » Monique Roy, Châtelaine

    « À la fois tonique et tragique, le parcours drôlement émouvant d’une fille pas banale. » Geneviève St-Germain

    « On ne peut s’empêcher de trouver cette autruche sympathique, de compatir à ses malheurs, de louer son courage et de rire non pas à ses dépens, mais avec elle. » Chantal Guy

    $13.95