• AU NOM DU FRÈRE

    Le lieutenant Owen Hayden du SPCUM cherche sans répit quelle organisation criminelle a osé faire exploser sa maison et s’attaquer aux siens. Sa soif de vérité est teintée de colère quand on lui annonce qu’il fait l’objet d’une enquête externe. La SQ veut connaître les détails de la nuit durant laquelle Hayden a abattu le gangster en cavale, Jesse Morel, et n’entend pas clore le dossier avant d’avoir levé le voile sur chaque zone d’ombre. Un rendez-vous chez le notaire pour régler la succession de son père viendra de surcroît ébranler les valeurs et les certitudes d’Owen. Saura-t-il naviguer entre sa vie professionnelle houleuse et sa vie familiale chamboulée par un rapprochement avec Tom, son frère ennemi, désormais chef par intérim des Hells Angels ?

    La tension est à son comble dans ce second volet du diptyque Requiem américain. Jacques Côté y explore avec habileté les mécanismes complexes de la vengeance, et conjugue avec intensité l’action et le suspens.

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  • REQUIEM AMÉRICAIN

    Montréal, au cœur des années 1990. Fraîchement sorti de prison, Marc Hamel, tête dirigeante des Hells Angels, commande un assaut en règle contre les Rock Machine. L’enjeu : étendre son territoire et contrôler le marché de la drogue. L’affrontement des clans ennemis plonge la métropole dans la confusion et le chaos. Les fusillades s’enchaînent, les bombes explosent et les cadavres se multiplient. Afin d’enrayer cette escalade de la violence, Owen Hayden et son équipe du SPCUM doivent frapper vite et fort. Or, pour le lieutenant responsable de l’escouade antigang, la guerre des motards a un visage très intime. Son frère Tom est le bras droit de Marc Hamel. Comment l’aîné, qui s’est rangé du côté de la loi, parviendra-t-il à mater des adversaires aussi féroces, à commencer par ce « Tomgun » Hayden dont il partage le sang ?

    Ce qu’on en dit

    « Un roman policier haletant et résolument montréalais, dont on appréciera indéniablement les nombreuses couches. » Laila Maalouf, La Presse

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  • L’AUTRUCHE CÉLESTE… CINQ ANS PLUS TARD

    Cinq années après qu’elle eut terminé – en des mots fort sereins – la rédaction de L’Autruche Céleste, le ciel tombait sur la tête de l’auteur. Affirmer avec autant de conviction être arrivée à s’affranchir de toute forme de drames était sans doute trop ambitieux au goût de son karma qui s’est chargé de la ramener sur terre, la faisant piquer du nez sur un sol complètement gelé. Ne restait plus qu’un tas de plumes inutiles. L’Autruche étant devenue incapable de faire appel à son sens de l’autodérision salvateur, ses enfants, à peine sortis d’une bruyante adolescence, se retrouvaient du jour au lendemain avec une maman inconnue dont l’activité principale se résumait à pleurer en regardant le plafond. Comme pour une dinde arrosée aux vingt minutes, ils se sont relayés afin de s’assurer que leur mère n’aurait pas l’idée subite de se mettre la tête dans le four… Et puis, tout doucement, les plumes ont repoussé, l’Autruche profitant de cette période hors service pour comprendre un peu plus la vie, faire la paix avec son karma (et autres irritants), réapprendre l’autodérision et, surtout, renouer avec l’inconscience, son alliée la plus précieuse.

    Ce qu’on en dit

    « Un livre plus grave […] où, encore une fois, l’humour tient lieu de véritable bouée de sauvetage. Marie-Claude Fortin, La Presse

    « Doclin risque de connaître le succès grâce à son humour tranchant et son sens de l’observation aiguisé. » Antoine Tanguay, Le Soleil

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  • L’AUTRUCHE CÉLESTE

    Postface de Jocelyne Brousseau

    L’Autruche Céleste est une sémillante quadragénaire ayant réalisé que le drame n’est pas génétique, contrairement à ce que son père, l’Ex-Comte Transylvanien, affirmait. Fort de cette faculté de ne plus prendre au sérieux les aléas professionnels, amoureux, financiers, canins, ménagers ou plombiers, l’auteur nous entraîne dans un quotidien truffé d’éclats de rire derrière lesquels transparaît une grande profondeur. Ce récit-Prozac nous rappelle que, si on ne choisit pas ce qui arrive, on peut choisir comment y faire face. On ne s’embête pas avec la Mère Volaille et ses deux ados : Miss Vitriol qui claque les portes et Don Boutons, grand prédateur du garde-manger. Vierge selon les astres, divorcée de l’Ex-époux Clown Célèbre, propriétaire d’un duplex très, très hypothèqué, elle n’a plus peur de rien, car elle est devenue une autruche et adore la vie.

    Édition de poche

    Ce qu’on en dit

    « Un livre formidablement drôle et triste, touchant et tonique, aérien et libérateur. […] À lire impérativement. Bien-être garanti. » Monique Roy, Châtelaine

    « À la fois tonique et tragique, le parcours drôlement émouvant d’une fille pas banale. » Geneviève St-Germain

    « On ne peut s’empêcher de trouver cette autruche sympathique, de compatir à ses malheurs, de louer son courage et de rire non pas à ses dépens, mais avec elle. » Chantal Guy

    $13.95