• LE PARFUM DE LA BALEINE

    Un couple tente de raviver la flamme en s’offrant un séjour dans un tout-inclus de luxe. Mais les vacances de Judith et Hugo seront vite gâchées par une baleine bleue échouée sur la plage. La carcasse en putréfaction dégage une odeur nauséabonde que la brise tropicale charrie jusqu’aux narines des touristes. La puanteur s’emmêle à différents destins et les imprègne. Et plus elle stagne dans l’air, plus l’illusion du paradis se dissipe.

    Dans ce roman olfactif aux accents allégoriques, Paul Ruban sonde avec humour et tendresse les malaises qui s’installent, en douce, et s’amplifient jusqu’à devenir impossibles à masquer.

    Ce qu’on en dit

    « Vous aimerez votre séjour à l’hôtel Nuevo Gran Palacio, où les personnages sont pittoresques – parfois névrosés – et les rebondissements savoureux. La plume de Paul Ruban est portée par une imagination débridée et un talent fou. » Neil Smith, auteur de Boo et Jones

    « Une approche narrative rafraîchissante et audacieuse. » Laurent Poliquin, Culture et Confiture, Radio-Canada Première

    « Ruban vise juste dès le départ […], sans tomber dans la caricature. […] Ce ne sont pas tous les pots cassés qui sont faits pour être recollés. Ce sympathique roman le démontre avec finesse. » Josée Boileau, Le Journal de Montréal

    « À lire sans faute pour découvrir un écrivain manitobain plutôt créatif ! » Julie Roy, L’Actualité 

    L’un des « titres incontournables » de 2023, selon La Presse :
    « Après un premier recueil de nouvelles qui avait remporté le prix Trillium en 2020, […] Paul Ruban revient cette fois-ci avec un roman à l’humour tout aussi décapant. Et si la littérature est bel et bien une forme de divertissement comme il le croit, on peut dire sans hésiter qu’il a de nouveau réussi son coup avec Le parfum de la baleine… » Laila Maalouf, La Presse

    « Un ouvrage à la fois délicieux et drôle. Un livre qui, sans être moralisateur, sait nous faire réfléchir… » Léa Harvey, Le Soleil

    $24.95
  • CREVAISON EN CORBILLARD

    Dans les trente nouvelles de ce recueil, ce ne sont pas seulement les pneus qui éclatent, mais la vie tout entière. Partout, le vernis craque, les visages se défont, les favoris d’un faux Elvis décollent et l’univers mental d’un astronaute explose en une cascade d’expériences plus comiques que cosmiques. C’est là tout le talent de Paul Ruban : inventer des personnages atypiques qui possèdent un sens de l’humour noir, pince-sans-rire, frisant l’absurde, mais où perce un certain désarroi, voire une profonde détresse. La finesse d’esprit de l’auteur illumine aussi les faits divers qui, sous sa plume, prennent parfois un ton impertinent. Au-delà des exercices de style, ces nouvelles d’une grande inventivité nous rassurent sur la bonté et la malice délicieuse de la nature humaine.

    Lisez une nouvelle.

    Extrait du commentaire du jury – Prix Trillium 2020
    « Crevaison en corbillard est un recueil de nouvelles riche en rebondissements, rempli de vérités et de détresses feutrées, dont le ton oscille entre le commencement et le recommencement, entre la débâcle et la réussite, entre la vie et la mort. L’auteur nous offre des personnages vivants, drôles et plus vrais que nature évoluant dans des intrigues farfelues, insolites et délicieuses dont la frénésie littéraire surprend. Le lecteur sans cesse diverti est témoin d’un foisonnement absolu de l’imagination. »

    Ce qu’on en dit

    « Une diversité fascinante… C’est très, très vivant. » Marie-Christine Blais, Radio-Canada Première

    * * * ½ « Voilà un recueil de nouvelles à savourer à tout moment, premier titre d’un auteur franco-canadien qui, on le souhaite, ne tardera pas à nous régaler à nouveau de ce trait d’esprit. […] À découvrir. » Laila Maalouf, La Presse +

    « Une vive intelligence. » David Bélanger, revue XYZ

    « [Paul Ruban] jongle habilement avec des touches d’humour tour à tour ironique, irrévérencieux, noir ou carrément loufoque. » Valérie Lessard, Radio-Canada Ottawa-Gatineau

    « Des histoires aussi surprenantes les unes que les autres. [Un livre] très réussi. » Patricia Bitu Tshikudi, Radio-Canada Manitoba

    « Une collection de petits plaisirs bien tordus. […] Lisez une de ces nouvelles tous les jours et vous passerez un mois à vous sentir moins seul dans vos propres moments ridicules et difficiles. » Magali Desjardins Potvin, Les libraires

    $26.95
  • L’OMBRE DE LA MONTAGNE

    Traduit de l’anglais (Australie) par Laurent Barucq

    Avec Shantaram, des millions de lecteurs découvraient l’incroyable épopée de Lin, fugitif australien travaillant pour la mafia de Bombay comme faussaire de passeports. Deux ans ont passé et Lin a perdu les deux personnes les plus chères à son cœur : Khaderbhai, son père de substitution, et l’amour de sa vie, Karla, mariée à un magnat de la presse. Dans L’Ombre de la montagne, suite très attendue, Lin doit se frayer un chemin dans les bas-fonds de Bombay, où une nouvelle guerre de gangs fait rage. Les chefs de la mafia sont mêlés à des intrigues toujours plus violentes et un vieil homme mystique remet en cause tout ce que Lin a appris sur l’amour et la vie. Parcours initiatique au rythme effréné, le nouveau roman de Roberts nous fait découvrir une galerie de personnages inoubliables qui survivent dans une Inde aux multiples visages.

    Ce qu’on en dit

    Parmi « les œuvres de fiction qui feront la saison littéraire ». Josée Lapointe, La Presse

    « Tous ceux qui ont dévoré Shantaram […] seront sûrement heureux d’en découvrir la suite. Car depuis 2003, la vie de Gregory David Roberts – alias Lin Ford – n’a jamais cessé de dépasser la fiction. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

    « Lin, un fugitif australien, est encore plus plongé dans l’univers de la pègre de Bombay. Cette ville devient le reflet de son âme tourmentée. » Andréanne Chevalier, Journal Métro

    $38.95
  • SANS MÉNAGEMENT

    Photos de Jacques Nadeau

    Chaque vendredi depuis 20 ans, « le jour le plus délinquant de la semaine », Josée Blanchette offre aux lecteurs du Devoir sa chronique inspirée par l’air du temps (Zeitgest). L’esprit vif et la plume alerte, elle tisse des liens entre les personnalités qu’elle rencontre, ses lectures et ses préoccupations très personnelles, qui font étrangement écho aux nôtres. Ce recueil, illustré des images de son fidèle complice, le photographe Jacques Nadeau, entremêle les sujets tabous qu’elle affectionne : du sexe au mariage, en passant par le deuil, les hommes qu’elle scrute avec une tendre impertinence, son propre personnage de femme et de mère, et toutes sortes de petites expériences qui font le sel de la vie.

    facebook.com/sansmenagement

    Ce qu’on en dit

    « Un bouquin que je trouve fascinant. […] Une écriture très personnelle, très chatoyante, très juste… » René Homier-Roy, Radio-Canada

    « Un portrait impressionniste de Josée Blanchette, que l’on apprivoise, devine puis cerne, un peu, du moins, à travers ses multiples questionnements, dadas et préoccupations. » François Lévesque, Le Devoir

    « Josée Blanchette prête une plume légère aux idées profondes. Sensuelle, coquine ou tragique, elle est toujours ancrée dans le vivant. Et c’est pour ça que je l’aime. » Anaïs Barbeau-Lavalette

    $26.95
  • SHANTARAM

    SHANTARAM
    Gregory David Roberts
    Australie, 1980. Lin s’évade de prison, et atterrit sous une fausse identité dans les rues fourmillantes de Bombay, où il espère disparaître. Il pénètre peu à peu le monde secret de la « ville dorée », où se côtoient prostituées et religieux, soldats et acteurs, mendiants et gangsters. Fugitif sans famille, Lin cherche inlassablement à donner un sens à sa vie, d’abord en improvisant un dispensaire dans un bidonville, puis à l’échec de celui-ci en faisant ses premières armes dans la mafia de Bombay. Cette quête le conduira jusqu’à la guerre, à la prison et ses tortures, et à une série de trahisons sanglantes. Puis à la rédemption, enfin. Mais les clés du destin de Lin se trouvent entre les mains de son mentor, Khader Khan, parrain de la mafia, à la fois criminel, saint et philosophe, et surtout de Karla, femme mystérieuse, belle et dangereuse dont Lin tombe follement amoureux. Ce roman épique nous plonge dans une Inde fascinante et marque l’entrée en littérature d’une voix extraordinaire.-

    Thriller | 880 pages | 15,2 x 24 cm | 36,95 $ (papier)

    7 février 2007

    ISBN : 978-2-89007-319-6

    Ce qu’on en dit
    « Un pavé littéraire qui vous happe dès les premières lignes et qui ne vous lâche plus. » Christian Desmeules, Le Devoir

    « Un roman-fleuve fascinant et doté d’un humanisme rare. » Éric Paquin, Voir

    « Un récit captivant que d’aucuns qualifient déjà de chef-d’œuvre. » Karine Vilder, Femme Plus

    $36.95
  • JE NE SUIS PLUS UNE OIE BLANCHE…

    Avec la collaboration de Caroline-Julie Fortin
    Photos de Dominique Lafond

    Depuis 2005, Josée Blanchette offre aux lecteurs de son blogue une généreuse incursion dans son intimité. Des moments du quotidien qu’on croit banals et qui finissent par ressembler à de la poésie. Des petits récits étonnants, inspirants, et toujours empreints de cet humour qui empêche de se supprimer ! On glisse, l’air de rien, de la provocation étudiée à la philosophie avec son fils, de ses réflexions acides à ses pâmoisons de jouvencelle sur l’amour, d’un party à Westmount squatté en toute lucidité aux épreuves qui font grandir.

    Agrémenté de quelques billets inédits, le livre est illustré de photos de Dominique Lafond prises, pour la plupart, chez l’auteure.

    Illustré de photos

    Ce qu’on en dit

    « On la retrouve telle qu’on la connaît, célibataire en série, épicurienne, maman last call plutôt comblée, confidente qu’on voudrait toutes avoir, avec ce brin de folie qui fait toute la différence. C’est bien tant mieux qu’elle ne soit plus une oie blanche… » Chantal Guy, La Presse

    $28.95