Trois femmes, trois âges, trois amies que les hasards de l’existence et les épreuves ont rapprochées dans un lieu comme aucun autre. Trois façons d’aimer. Aucune ne semble conduire au bonheur. Séparément, elles sont perdues. Ensemble, elles ont une chance. Accrochées à leurs espoirs face aux tempêtes que leur réserve le destin, avec l’énergie et l’imagination propres à celles qui veulent s’en sortir, elles vont tenter le tout pour le tout. Personne ne dit que ça ne fera pas de dégâts… Fidèle à son humanité et à son humour, grâce à son regard unique fait de sensibilité et d’un exceptionnel sens de l’observation de la nature humaine, Gilles Legardinier nous entraîne cette fois au cœur d’une troupe de théâtre réjouissante, à la croisée des chemins.
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Ce qu’on en dit
« Dans cette intrigue vraiment sympa rédigée de main de maître, trois amies de trois générations différentes se serrent les coudes. Réunies par leur amour du théâtre, elles ont chacune leur vie, chacune leurs épreuves et chacune leur façon d’aimer… qui ne marche pas. » Marie-France Bornais, Le Journal de Montréal
« Gilles Legardinier n’a pas changé sa formule gagnante : personnages attachants, optimistes et prêts à soulever des montagnes pour faire plaisir à l’autre, intrigue sympathique, humour et sens de la formule et, bien sûr, un happy end… Un roman drôle et émouvant sur l’amitié qu’on a du mal à lâcher. Un livre qui fait du bien. » Le Parisien
Ce qu’on en dit
« L’auteur canadien Trevor Cole signe une satire décoiffante à l’humour noir, très noir. » Monique Roy, Châtelaine
« Un roman canadien dont l’humour noir est absolument irrésistible. » Coup de pouce
« Coup de génie ! L’Eugénie pratique est d’une effroyable lucidité. Le courage d’Eugénie nous trouble et, heureusement pour nos amies, peu d’entre nous saurons manifester autant d’altruisme. […] Accro, on ne peut se détacher du fil du suspense. » Nathalie Thibault, Club de lecture Châtelaine
« Le style est vivant, le rythme, soutenu, admirablement rendu par la traductrice. Quand on a l’impression que l’ouvrage a été écrit directement en français, qu’aucune fausse note ne gâche notre plaisir, c’est que la traduction est réussie, et Rachel Martinez a fait ici de l’excellent travail. » Hélène Rioux, Lettres québécoises