• LA REINE CHARLOTTE

    Avant les Bridgerton, l’histoire d’amour qui a tout changé…

    Le 8 septembre 1761, au palais Saint James de Londres, le roi et sa fiancée se voient pour la toute première fois. Ils s’épouseront dans quelques heures…

    Venue d’Allemagne, Charlotte de Mecklembourg-Strelitz est belle, hardie et férocement intelligente. Ce qui ne correspond pas exactement à l’idéal qu’avait en tête l’entourage du jeune monarque. Mais l’audace et l’indépendance sont précisément les qualités dont la princesse aura besoin, car George III a des secrets susceptibles d’ébranler les fondements de la royauté.

    Novice dans son rôle, la jeune femme louvoie dans les intrigues de la Cour en tentant de préserver son cœur, où l’amour fleurit pour cet homme mystérieux qui la tient à distance. Elle est déterminée à se battre – pour elle-même, pour son roi et pour changer la société. Celle qui ne sera plus jamais simplement « Charlotte » doit accomplir le destin qui a fait d’elle… une reine.

    Ce qu’on en dit

    « Avant les Bridgerton, il y eut une histoire d’amour. Formidable, sensuelle, inattendue. » Marie-France Bornais, Le Journal de Montréal

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  • L’Impératrice

    Fidèle à la série Netflix, L’Impératrice est un conte fascinant, enlevé et incroyablement moderne sur la rencontre amoureuse et l’affirmation de sa propre personnalité.

    Bavière 1853. Élisabeth, dite Sissi, est catégorique : elle attendra de rencontrer le grand amour dont parlent les poètes, ou elle ne tombera jamais amoureuse. Ce n’est pas parce que Hélène, sa sœur aînée, suivant scrupuleusement les conseils de leur mère, s’apprête à épouser l’empereur d’Autriche François-Joseph que Sissi devra à son tour se plier à une existence soumise. Elle sait que la vie ne se résume pas aux réceptions et aux corsets. Si seulement on la laissait se faire sa propre expérience !

    Pendant ce temps, en Autriche, l’empereur se remet d’une tentative d’assassinat. Pour tâcher de préserver la paix, Franz remplit de nouveau ses devoirs politiques… et s’engage à courtiser la docile Hélène de Bavière lors des festivités liées à son prochain anniversaire. Quel meilleur moyen de fédérer l’empire qu’en annonçant le nom de la future impératrice ?

    Mais lorsque Sissi et Franz se rencontrent par hasard dans les jardins du palais, à l’égard des regards indiscrets et des critiques incessantes de la cour, leurs affinités ne font pas de doute. Et tandis que leurs conversations illicites prennent une nouvelle dimension, ils vont devoir choisir entre satisfaire les attentes de leur famille et défendre leurs plus intimes convictions…

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  • AUTOBIOGRAPHIE DE L’ÉTRANGER

    « Je n’ai jamais compris cette expression de “chez soi”, se sentir bien “chez soi”. En France, je suis étrangère ; mais je suis étrangère où que j’aille et je n’ai trouvé, hélas, aucun lieu ni même aucun être auprès desquels je puisse entrevoir une forme de repos. Or ce que je découvre en écrivant, c’est qu’il n’y a pas de chez soi. La maison, ce lieu utopique tant espéré, ce sont les livres des autres et peut-être un peu les miens. »

    Partie du Québec depuis dix-sept ans, Marie-Ève Lacasse s’interroge sur les raisons pour lesquelles elle s’est sentie bien souvent « à côté ». Ces marges, c’est à travers l’écriture qu’elle les investit, en explorant son passé et en étudiant de manière sensible cet universel sentiment d’étrangeté. Sans compromis, elle questionne son rapport au corps, à la sexualité et à l’amour pour tenter de comprendre le monde qui l’a faite. Vibrant hommage à la littérature, à son pouvoir d’émerveillement et de consolation, ce récit sonde nos territoires intérieurs et nos liens avec les êtres qui tantôt nous protègent, tantôt nous condamnent.

    Ce qu’on en dit

    « Amour infini pour les mots de Marie-Ève Lacasse. Son plus récent, Autobiographie de l’étranger, est une splendeur d’honnêteté. Elle y parle de son exil, mais surtout de son sentiment d’étrangeté qui, à mes yeux, est universel. Même élégance que dans Peggy dans les phares, mais avec un petit supplément d’âme. » Simon Boulerice, Instagram

    « [Marie-Ève Lacasse] réussit finalement, somptueusement […]. Ce qui ressort surtout, c’est sa sensibilité. La précision de son écriture. La maîtrise des mots. Le travail de moine. » Natalia Wysocka, Le Devoir

    Dominic Tardif, chroniqueur des Libraires, a lu le dernier livre de Marie-Ève Lacasse durant le confinement et il y a trouvé une source d’espoir :
    « C’est donc comme un appel à la lucidité totale, face à soi et face au monde, que j’ai reçu Autobiographie de l’étranger, le cinquième livre de celle qui signait en 2017 le magnifique roman Peggy dans les phares. Un appel à une forme de lucidité à la fois téméraire et salutaire que seule la littérature permettrait. »

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  • PEGGY DANS LES PHARES

    « Depuis que je te connais je vis avec l’inquiétude de te perdre. Pour la drogue, des hommes fantasques, des femmes bouleversantes qui t’emmènent ailleurs, là où je n’ai pas accès. Il y a les rivages poétiques qui ne m’ont jamais enchantée, les bals somptueux où je n’ai pas mes entrées, la rivalité vénéneuse d’un papier imbibé sous la langue et la complicité des piqûres que je n’ai jamais voulu partager. Je suis toujours arrivée à me frayer un chemin jusqu’à toi, conservant comme je le peux une dignité impériale. »

    Mannequin, styliste, journaliste de mode, mariée à un grand résistant puis à Claude Brasseur, Peggy Roche a aussi été pendant vingt ans la compagne discrète de Françoise Sagan. Peggy dans les phares est le roman de cette passion dévorante traversée par les plus grandes figures de la vie littéraire et artistique de l’époque.

    Ce qu’on en dit

    « Femme de l’ombre dans la lumière, Peggy Roche, mannequin chez Givenchy, a vécu un quart de siècle une romance secrète avec Françoise Sagan. » Danielle Laurin, Le Devoir

    « Roman incandescent, d’une écriture conjuguant élégamment effervescence et gravité. » Dominic Tardif, Les Libraires

    « Au détour de cette histoire de l’intime, un portrait du Paris d’après-guerre des plus vivifiants et littéraires. » Jérémy Laniel, Voir

    « Un pur éblouissement. » Martine Desjardins, L’actualité

    « C’est superbement écrit. C’est beau, c’est raffiné, c’est élégant. » Simon Boulerice, Plus on est de fous, plus on lit !, R.-C.

    Prix

    Prix Simone-Veil 2017

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