Fidèle à la série Netflix, L’Impératrice est un conte fascinant, enlevé et incroyablement moderne sur la rencontre amoureuse et l’affirmation de sa propre personnalité.
Bavière 1853. Élisabeth, dite Sissi, est catégorique : elle attendra de rencontrer le grand amour dont parlent les poètes, ou elle ne tombera jamais amoureuse. Ce n’est pas parce que Hélène, sa sœur aînée, suivant scrupuleusement les conseils de leur mère, s’apprête à épouser l’empereur d’Autriche François-Joseph que Sissi devra à son tour se plier à une existence soumise. Elle sait que la vie ne se résume pas aux réceptions et aux corsets. Si seulement on la laissait se faire sa propre expérience !
Pendant ce temps, en Autriche, l’empereur se remet d’une tentative d’assassinat. Pour tâcher de préserver la paix, Franz remplit de nouveau ses devoirs politiques… et s’engage à courtiser la docile Hélène de Bavière lors des festivités liées à son prochain anniversaire. Quel meilleur moyen de fédérer l’empire qu’en annonçant le nom de la future impératrice ?
Mais lorsque Sissi et Franz se rencontrent par hasard dans les jardins du palais, à l’égard des regards indiscrets et des critiques incessantes de la cour, leurs affinités ne font pas de doute. Et tandis que leurs conversations illicites prennent une nouvelle dimension, ils vont devoir choisir entre satisfaire les attentes de leur famille et défendre leurs plus intimes convictions…
Ce qu’on en dit
« L’auteur canadien Trevor Cole signe une satire décoiffante à l’humour noir, très noir. » Monique Roy, Châtelaine
« Un roman canadien dont l’humour noir est absolument irrésistible. » Coup de pouce
« Coup de génie ! L’Eugénie pratique est d’une effroyable lucidité. Le courage d’Eugénie nous trouble et, heureusement pour nos amies, peu d’entre nous saurons manifester autant d’altruisme. […] Accro, on ne peut se détacher du fil du suspense. » Nathalie Thibault, Club de lecture Châtelaine
« Le style est vivant, le rythme, soutenu, admirablement rendu par la traductrice. Quand on a l’impression que l’ouvrage a été écrit directement en français, qu’aucune fausse note ne gâche notre plaisir, c’est que la traduction est réussie, et Rachel Martinez a fait ici de l’excellent travail. » Hélène Rioux, Lettres québécoises