• L’Impératrice

    Fidèle à la série Netflix, L’Impératrice est un conte fascinant, enlevé et incroyablement moderne sur la rencontre amoureuse et l’affirmation de sa propre personnalité.

    Bavière 1853. Élisabeth, dite Sissi, est catégorique : elle attendra de rencontrer le grand amour dont parlent les poètes, ou elle ne tombera jamais amoureuse. Ce n’est pas parce que Hélène, sa sœur aînée, suivant scrupuleusement les conseils de leur mère, s’apprête à épouser l’empereur d’Autriche François-Joseph que Sissi devra à son tour se plier à une existence soumise. Elle sait que la vie ne se résume pas aux réceptions et aux corsets. Si seulement on la laissait se faire sa propre expérience !

    Pendant ce temps, en Autriche, l’empereur se remet d’une tentative d’assassinat. Pour tâcher de préserver la paix, Franz remplit de nouveau ses devoirs politiques… et s’engage à courtiser la docile Hélène de Bavière lors des festivités liées à son prochain anniversaire. Quel meilleur moyen de fédérer l’empire qu’en annonçant le nom de la future impératrice ?

    Mais lorsque Sissi et Franz se rencontrent par hasard dans les jardins du palais, à l’égard des regards indiscrets et des critiques incessantes de la cour, leurs affinités ne font pas de doute. Et tandis que leurs conversations illicites prennent une nouvelle dimension, ils vont devoir choisir entre satisfaire les attentes de leur famille et défendre leurs plus intimes convictions…

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  • PIRE QUE L’ÉTERNITÉ

    Devant la paisible église de La Visitation-de-Yamaska, la voiture d’un sulfureux député du Parti progressiste explose. Aurait-on affaire à une impitoyable vendetta ?

    Pour élucider ce meurtre, la journaliste Gabrielle Maters collabore avec André Portefiori, l’enquêteur au dossier. Celle qui façonne l’actualité à la barre de l’émission Complément d’enquête remonte la piste, dévoilant au passage et pour notre plus grand plaisir les hauts faits de sa carrière, les pires scandales des dernières années et le tumulte de sa vie intime.

    Saga politico-policière, teintée de sang, de sexe et de soirées bien arrosées, ce roman nous plonge dans les eaux troubles de l’énigme meurtrière la plus insolite et perverse du Québec contemporain.

    Une lecture palpitante qui remet en scène plus de trente ans d’histoire en cultivant habilement toute ressemblance avec des faits ou des personnages ayant réellement existé.

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  • L’EUGÉNIE PRATIQUE

    Eugénie vit à Kotemee, la sympathique petite ville canadienne où elle est née. Son père était chef de police et ses frères travaillent tous deux au poste. Marjorie, sa mère, était vétérinaire, mais elle vient de mourir du cancer. Son mari, Milt, est un homme doux sans grande ambition. Quant à Eugénie, elle se passionne pour la céramique et les délicates sculptures végétales qu’elle crée dans sa boutique-atelier de la rue Principale. Cette petite vie innocente aurait bien pu continuer si sa mère ne lui avait pas demandé de prendre soin d’elle durant les longs mois de son agonie. Après les funérailles, Eugénie regrette de n’avoir su lui épargner une fin si pénible. Dans un élan de compassion, elle décide d’éviter à ses meilleures amies la même déchéance et de leur offrir rien de moins qu’une mort parfaite. Car, n’en déplaise à son entourage, la sensibilité et l’altruisme d’Eugénie se doublent d’un certain sens pratique…

    Parmi les meilleurs livres de l’année selon le Globe and Mail

    Ce qu’on en dit

    « L’auteur canadien Trevor Cole signe une satire décoiffante à l’humour noir, très noir. » Monique Roy, Châtelaine

    « Un roman canadien dont l’humour noir est absolument irrésistible. » Coup de pouce

    « Coup de génie ! L’Eugénie pratique est d’une effroyable lucidité. Le courage d’Eugénie nous trouble et, heureusement pour nos amies, peu d’entre nous saurons manifester autant d’altruisme. […] Accro, on ne peut se détacher du fil du suspense. » Nathalie Thibault, Club de lecture Châtelaine

    « Le style est vivant, le rythme, soutenu, admirablement rendu par la traductrice. Quand on a l’impression que l’ouvrage a été écrit directement en français, qu’aucune fausse note ne gâche notre plaisir, c’est que la traduction est réussie, et Rachel Martinez a fait ici de l’excellent travail. » Hélène Rioux, Lettres québécoises

    Prix

    Prix de l’humour Stephen-Leacock

    $9.95