• MOURIR EN HÉROS

    Tandis que des soldats canadiens rentrent chez eux à la fin de la Grande Guerre, en novembre 1918, l’épidémie de grippe espagnole fait rage dans le monde entier, et n’épargne pas la Saskatchewan. Forte de la création d’un vaccin pour contrer le mal, la docteure Lesley Richardson travaille maintenant d’arrache-pied à la conception de remèdes pour aider à freiner la propagation fulgurante de la maladie.

    La mort s’invite toutefois dans son laboratoire d’une façon bien différente alors que le décès d’un ancien combattant secoue la ville de Regina. Qu’est-il arrivé à Ryan O’Neil ? Quels secrets auraient pu coûter la vie à ce cordonnier de métier revenu du front avec une jambe en moins ?

    Dans ce deuxième opus, Lesley Richardson et l’enquêteur Morley Vines feront de nouveau équipe pour élucider un mystère qui semble lier la petite et la grande histoire.

    Le personnage de Lesley est librement inspiré de Frances Gertrude McGill, la « Sherlock Holmes de la Saskatchewan », une pathologiste remarquable à laquelle cette série rend hommage

    $26.95
  • FEU ET SANG – 2

    Le livre qui a inspiré House of the Dragon, la série originale de HBO® diffusée sur Crave.

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Patrick Marcel

    « Puis Viserys de la maison Targaryen, premier du nom, roi des Andals, des Rhoynars et des Premiers Hommes, seigneur des Sept Couronnes et Protecteur du Royaume, ferma les yeux et s’endormit. Il ne s’éveilla jamais. Il avait cinquante-deux ans et avait régné sur la plus grande part de Westeros pendant vingt-six ans. Alors la tempête éclata et les dragons se mirent à danser. »

    $32.95
  • FEU ET SANG – 1

    Le livre qui a inspiré House of the Dragon, la série originale de HBO® diffusée sur Crave.

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Patrick Marcel

    « Au septième jour, une nuée de corbeaux jaillit des tours de Peyredragon pour propager la parole de lord Aegon aux Sept Couronnes de Westeros. Ils volaient vers les sept rois, vers la Citadelle de Villevieille, vers les seigneurs tant petits que grands. Tous apportaient le même message : à compter de ce jour, il n’y aurait plus à Westeros qu’un roi unique. Ceux qui ploieraient le genou devant Aegon de la maison Targaryen conserveraient terres et titres. Ceux qui prendraient les armes contre lui seraient jetés à bas, humiliés et anéantis. »

    Trois cents ans avant les événements du Trône de Fer, Feu et sang raconte l’unification des sept royaumes.

    $32.95
  • LA PATHOLOGISTE

    Penser comme un homme, agir comme une dame, et travailler comme un chien. Frances G. McGill

    Regina (Saskatchewan), été 1918. Dr. Lesley Richardson vient d’accepter d’être la première femme à occuper le poste de médecin légiste de la province et, déjà, deux affaires requièrent sa science. Samuel, l’apprenti du vieux Larson, a été battu à mort dans sa forge durant la nuit et, le même jour, un fermier a découvert des ossements sur sa terre. D’emblée, on présume que ceux-ci appartiennent à Lionel Sanschagrin, un Métis disparu un an auparavant.

    Mais la curiosité de la « Doc » est piquée : pourquoi le jeune forgeron ne s’est-il pas défendu alors qu’il traînait une réputation de bagarreur ? Où sont les os qui permettraient l’identification formelle du squelette ? Bénéficiant de la complicité de Morley Vines, un enquêteur aussi têtu qu’elle, Lesley devra déployer tout l’art naissant de la médecine légale afin de faire parler les morts.

    Le personnage de Lesley est librement inspiré de Frances Gertrude McGill, la « Sherlock Holmes de la Saskatchewan », une pathologiste remarquable à laquelle cette fiction rend hommage.

    Ce qu’on en dit

    « Un roman à cheval entre le polar, le roman d’amour […] et le portrait à teneur féministe. » Châtelaine

    « L’attrait principal du roman réside dans la peinture d’une société où Blancs et Métis se côtoient, où la prohibition crée une nouvelle classe de criminels, où “le bois” continue d’attirer les jeunes hommes épris de liberté. Et surtout, une société où les femmes commencent à jouer un rôle plus public, plus officiel, avec toutes les tensions que cela peut entraîner. » Marie Tison, La Presse

    « Un riche personnage de détective, dans un univers finalement assez inédit. Dans la veine des polars historiques […], Tremblay s’attache à faire vivre une docteure Richardson proche de nous malgré la distance. Elle restitue les gestes et les savoirs de la médecin, ses relations complexes avec l’institution judiciaire, et plus généralement l’ambiance des années 1920 dans l’Ouest canadien. » Marie Saur, Lettres québécoises

    « Inspirée par l’histoire de Frances Gertrude McGill, personnalité canadienne remarquable, mais méconnue, l’écrivaine Elisabeth Tremblay a imaginé une captivante intrigue pour le premier tome de sa nouvelle série, Dr Lesley Richardson enquête. » Marie-France Bornais, Le Journal de Québec

    $26.95
  • L’EUGÉNIE PRATIQUE

    Eugénie vit à Kotemee, la sympathique petite ville canadienne où elle est née. Son père était chef de police et ses frères travaillent tous deux au poste. Marjorie, sa mère, était vétérinaire, mais elle vient de mourir du cancer. Son mari, Milt, est un homme doux sans grande ambition. Quant à Eugénie, elle se passionne pour la céramique et les délicates sculptures végétales qu’elle crée dans sa boutique-atelier de la rue Principale. Cette petite vie innocente aurait bien pu continuer si sa mère ne lui avait pas demandé de prendre soin d’elle durant les longs mois de son agonie. Après les funérailles, Eugénie regrette de n’avoir su lui épargner une fin si pénible. Dans un élan de compassion, elle décide d’éviter à ses meilleures amies la même déchéance et de leur offrir rien de moins qu’une mort parfaite. Car, n’en déplaise à son entourage, la sensibilité et l’altruisme d’Eugénie se doublent d’un certain sens pratique…

    Parmi les meilleurs livres de l’année selon le Globe and Mail

    Ce qu’on en dit

    « L’auteur canadien Trevor Cole signe une satire décoiffante à l’humour noir, très noir. » Monique Roy, Châtelaine

    « Un roman canadien dont l’humour noir est absolument irrésistible. » Coup de pouce

    « Coup de génie ! L’Eugénie pratique est d’une effroyable lucidité. Le courage d’Eugénie nous trouble et, heureusement pour nos amies, peu d’entre nous saurons manifester autant d’altruisme. […] Accro, on ne peut se détacher du fil du suspense. » Nathalie Thibault, Club de lecture Châtelaine

    « Le style est vivant, le rythme, soutenu, admirablement rendu par la traductrice. Quand on a l’impression que l’ouvrage a été écrit directement en français, qu’aucune fausse note ne gâche notre plaisir, c’est que la traduction est réussie, et Rachel Martinez a fait ici de l’excellent travail. » Hélène Rioux, Lettres québécoises

    Prix

    Prix de l’humour Stephen-Leacock

    $9.95