Traduit de l’anglais (États-Unis) par Anne Muller
Pour une célibataire, assister successivement au mariage de son ex-amant, de sa mère et de sa meilleure amie est une expérience plutôt éprouvante. Ajoutez-y les funérailles d’une vieille connaissance et vous comprendrez qu’Aurora tombe des nues lorsqu’elle apprend que la défunte lui a tout légué : une fortune dont elle ignorait l’existence, des bijoux et… une maison entièrement meublée. À peine remise, la jeune bibliothécaire découvre que cet héritage lui réserve une dernière surprise. Un crâne a été caché dans une banquette, devant la fenêtre du salon. L’ineffable Aurora devra débusquer les secrets de la vieille demoiselle qui l’a choisie comme héritière…
Ce qu’on en dit
« Tandis qu’Aurora dévoile avec désinvolture l’identité du meurtrier, Harris compose des scènes franchement drôles. » Publishers Weekly
« Fidèle à elle-même, Charlaine Harris nous présente une nouvelle héroïne complète, intelligente et attachante. […] Un suspense teinté de quelques gouttes de romance qui nous accroche dès les premières pages. » Aggie Perrin, Le libraire
« On retrouve toute la puissance de l’écrivaine, son goût pour l’humour et pour le mystère, sa plume évocatrice et son grand talent de conteuse. » Marie-France Bornais, Le Journal de Montréal
Ce qu’on en dit
« L’auteur canadien Trevor Cole signe une satire décoiffante à l’humour noir, très noir. » Monique Roy, Châtelaine
« Un roman canadien dont l’humour noir est absolument irrésistible. » Coup de pouce
« Coup de génie ! L’Eugénie pratique est d’une effroyable lucidité. Le courage d’Eugénie nous trouble et, heureusement pour nos amies, peu d’entre nous saurons manifester autant d’altruisme. […] Accro, on ne peut se détacher du fil du suspense. » Nathalie Thibault, Club de lecture Châtelaine
« Le style est vivant, le rythme, soutenu, admirablement rendu par la traductrice. Quand on a l’impression que l’ouvrage a été écrit directement en français, qu’aucune fausse note ne gâche notre plaisir, c’est que la traduction est réussie, et Rachel Martinez a fait ici de l’excellent travail. » Hélène Rioux, Lettres québécoises