• PIRE QUE L’ÉTERNITÉ

    Devant la paisible église de La Visitation-de-Yamaska, la voiture d’un sulfureux député du Parti progressiste explose. Aurait-on affaire à une impitoyable vendetta ?

    Pour élucider ce meurtre, la journaliste Gabrielle Maters collabore avec André Portefiori, l’enquêteur au dossier. Celle qui façonne l’actualité à la barre de l’émission Complément d’enquête remonte la piste, dévoilant au passage et pour notre plus grand plaisir les hauts faits de sa carrière, les pires scandales des dernières années et le tumulte de sa vie intime.

    Saga politico-policière, teintée de sang, de sexe et de soirées bien arrosées, ce roman nous plonge dans les eaux troubles de l’énigme meurtrière la plus insolite et perverse du Québec contemporain.

    Une lecture palpitante qui remet en scène plus de trente ans d’histoire en cultivant habilement toute ressemblance avec des faits ou des personnages ayant réellement existé.

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  • LA DISPARITION D’ANNIE THORNE

    Traduit de l’anglais (Grande-Bretagne) par Thibaud Eliroff

    Une nuit, Annie a disparu. Tout le monde imaginait le pire. Et puis, miraculeusement, après quarante-huit heures, l’enfant est revenue. Mais elle ne pouvait pas – ou ne voulait pas – dire ce qui s’était passé. Pour son frère Joe, le pire jour de sa vie ne fut pas celui de sa disparition, mais bien plutôt celui de son retour…

    Des années plus tard, Joe Thorne, la quarantaine, reçoit un courriel énigmatique – « Je sais ce qui est arrivé à votre sœur. » Bien malgré lui, il retourne dans son village natal du Nottinghamshire et se fait embaucher comme professeur d’anglais sur la base d’une fausse lettre de recommandation.

    Ce qu’on en dit

    Quatre étoiles sur cinq. « Un thriller étonnant. […] Chapitre après chapitre, avec une tension dramatique qui ne faiblit jamais, l’auteur ménage le suspense. […] L’épilogue à glacer le sang de cette histoire qui plonge dans l’horreur et le surnaturel (sans les habituels épanchements d’hémoglobine) est sans ambiguïté : La disparition d’Annie Thorne est une œuvre à ranger dans la catégorie “ roman fantastique ” ! Excellent ! » Norbert Spehner, page Facebook

    « UN THRILLER À LIRE SANS FAUTE. Une histoire particulièrement bien menée qui […] ne manque pas de rappeler les meilleurs Stephen King des années 1980. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

    « Digne des meilleurs maîtres du genre. » Norbert Spehner, La Presse

    « Je n’avais pas lu un polar aussi prenant, malin et divertissant depuis longtemps. Vivement recommandé ! » Maxime Chattam

    « Si vous aimez mes livres, vous aimerez ceux de C.J. Tudor. » Stephen King

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  • L’HOMME CRAIE

    « Le problème, c’est que nous n’avons jamais réussi à nous mettre d’accord sur le début. Est-ce quand Gros Gav a reçu le seau de craies pour son anniversaire ? Est-ce quand nous nous sommes mis à nous en servir pour dessiner des bonshommes ? Ou quand ils ont commencé à apparaître d’eux-mêmes ? Est-ce le terrible accident ? Ou quand on a retrouvé le premier cadavre ? »

    Alternant habilement le passé et le présent, L’Homme craie s’inscrit parmi les très grands thrillers. Les personnages ont tous leur part d’ombre, chaque énigme est astucieusement dénouée et les nombreux rebondissements déjoueront les lecteurs les plus perspicaces.

    Ce qu’on en dit

    « UN THRILLER À LIRE SANS FAUTE. Diabolique à souhait, l’histoire de L’homme craie ne s’effacera pas de votre esprit d’un simple coup de brosse. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

    « Les lecteurs se rappelleront certainement des gamins de Stand by Meet même de It. […] Un premier roman vif, astucieusement mené, qui capte habilement l’ambiance insulaire plutôt sinistre d’un petit village. Une nostalgie que goûteront les enfants des années 1980. » Kirkus Reviews

    « Une histoire pour le moins insolite et originale. » Norbert Spehner, La Presse

    « Ce brillant premier roman s’impose d’abord par la qualité de son écriture (et de sa traduction, il faut le souligner) qui réussit à créer un climat de tension étonnant rappelant les plus grands maîtres du genre… » Michel Bélair, Le Devoir

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