• LA DISPARITION D’ANNIE THORNE

    Traduit de l’anglais (Grande-Bretagne) par Thibaud Eliroff

    Une nuit, Annie a disparu. Tout le monde imaginait le pire. Et puis, miraculeusement, après quarante-huit heures, l’enfant est revenue. Mais elle ne pouvait pas – ou ne voulait pas – dire ce qui s’était passé. Pour son frère Joe, le pire jour de sa vie ne fut pas celui de sa disparition, mais bien plutôt celui de son retour…

    Des années plus tard, Joe Thorne, la quarantaine, reçoit un courriel énigmatique – « Je sais ce qui est arrivé à votre sœur. » Bien malgré lui, il retourne dans son village natal du Nottinghamshire et se fait embaucher comme professeur d’anglais sur la base d’une fausse lettre de recommandation.

    Ce qu’on en dit

    Quatre étoiles sur cinq. « Un thriller étonnant. […] Chapitre après chapitre, avec une tension dramatique qui ne faiblit jamais, l’auteur ménage le suspense. […] L’épilogue à glacer le sang de cette histoire qui plonge dans l’horreur et le surnaturel (sans les habituels épanchements d’hémoglobine) est sans ambiguïté : La disparition d’Annie Thorne est une œuvre à ranger dans la catégorie “ roman fantastique ” ! Excellent ! » Norbert Spehner, page Facebook

    « UN THRILLER À LIRE SANS FAUTE. Une histoire particulièrement bien menée qui […] ne manque pas de rappeler les meilleurs Stephen King des années 1980. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

    « Digne des meilleurs maîtres du genre. » Norbert Spehner, La Presse

    « Je n’avais pas lu un polar aussi prenant, malin et divertissant depuis longtemps. Vivement recommandé ! » Maxime Chattam

    « Si vous aimez mes livres, vous aimerez ceux de C.J. Tudor. » Stephen King

    $29.95
  • L’HOMME CRAIE

    « Le problème, c’est que nous n’avons jamais réussi à nous mettre d’accord sur le début. Est-ce quand Gros Gav a reçu le seau de craies pour son anniversaire ? Est-ce quand nous nous sommes mis à nous en servir pour dessiner des bonshommes ? Ou quand ils ont commencé à apparaître d’eux-mêmes ? Est-ce le terrible accident ? Ou quand on a retrouvé le premier cadavre ? »

    Alternant habilement le passé et le présent, L’Homme craie s’inscrit parmi les très grands thrillers. Les personnages ont tous leur part d’ombre, chaque énigme est astucieusement dénouée et les nombreux rebondissements déjoueront les lecteurs les plus perspicaces.

    Ce qu’on en dit

    « UN THRILLER À LIRE SANS FAUTE. Diabolique à souhait, l’histoire de L’homme craie ne s’effacera pas de votre esprit d’un simple coup de brosse. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

    « Les lecteurs se rappelleront certainement des gamins de Stand by Meet même de It. […] Un premier roman vif, astucieusement mené, qui capte habilement l’ambiance insulaire plutôt sinistre d’un petit village. Une nostalgie que goûteront les enfants des années 1980. » Kirkus Reviews

    « Une histoire pour le moins insolite et originale. » Norbert Spehner, La Presse

    « Ce brillant premier roman s’impose d’abord par la qualité de son écriture (et de sa traduction, il faut le souligner) qui réussit à créer un climat de tension étonnant rappelant les plus grands maîtres du genre… » Michel Bélair, Le Devoir

    $9.95
  • DANS LES YEUX D’HELGA

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Benjamin Kuntzer

    Berlin, printemps 1945. Cerné par les Alliés, Hitler se retranche dans le bunker avec ses proches. Parmi eux, Helga, la fille aînée de Joseph Goebbels. La fillette de douze ans voit et entend presque tout, à travers le prisme de son innocence. Au-delà du portrait intime de l’« oncle Fürher », avec qui elle doit partager chaque jour son goûter, se profilent les ultimes instants du IIIe Reich. En alternant les dix derniers jours d’Helga avec le quotidien du régime nazi de 1936 à 1945, Emma Craigie met en scène le destin tragique d’une enfant broyée par la guerre. Défilent sous nos yeux Albert Speer, la famille Göring, la célèbre aviatrice Hanna Reitsch…

    Ce qu’on en dit

    « Un livre touchant » Anne-Lovely Étienne, Le Journal de Montréal

    « Un univers diabolisé tel que perçu par une enfant pour qui Hitler était un oncle ordinaire. » Jean-François Crépeau, Le Canada français

    « Avec une remarquable sobriété, l’auteure nous peint la destinée d’une enfant broyée par la guerre avec les mots qu’aurait pu avoir Helga. Cet exercice périlleux est parfaitement réussi. » Chrystine Brouillet, Salut, Bonjour !

    « Extraordinairement raconté » The Times

    $21.95
  • SANS MÉNAGEMENT

    Photos de Jacques Nadeau

    Chaque vendredi depuis 20 ans, « le jour le plus délinquant de la semaine », Josée Blanchette offre aux lecteurs du Devoir sa chronique inspirée par l’air du temps (Zeitgest). L’esprit vif et la plume alerte, elle tisse des liens entre les personnalités qu’elle rencontre, ses lectures et ses préoccupations très personnelles, qui font étrangement écho aux nôtres. Ce recueil, illustré des images de son fidèle complice, le photographe Jacques Nadeau, entremêle les sujets tabous qu’elle affectionne : du sexe au mariage, en passant par le deuil, les hommes qu’elle scrute avec une tendre impertinence, son propre personnage de femme et de mère, et toutes sortes de petites expériences qui font le sel de la vie.

    facebook.com/sansmenagement

    Ce qu’on en dit

    « Un bouquin que je trouve fascinant. […] Une écriture très personnelle, très chatoyante, très juste… » René Homier-Roy, Radio-Canada

    « Un portrait impressionniste de Josée Blanchette, que l’on apprivoise, devine puis cerne, un peu, du moins, à travers ses multiples questionnements, dadas et préoccupations. » François Lévesque, Le Devoir

    « Josée Blanchette prête une plume légère aux idées profondes. Sensuelle, coquine ou tragique, elle est toujours ancrée dans le vivant. Et c’est pour ça que je l’aime. » Anaïs Barbeau-Lavalette

    $26.95
  • JE NE SUIS PLUS UNE OIE BLANCHE…

    Avec la collaboration de Caroline-Julie Fortin
    Photos de Dominique Lafond

    Depuis 2005, Josée Blanchette offre aux lecteurs de son blogue une généreuse incursion dans son intimité. Des moments du quotidien qu’on croit banals et qui finissent par ressembler à de la poésie. Des petits récits étonnants, inspirants, et toujours empreints de cet humour qui empêche de se supprimer ! On glisse, l’air de rien, de la provocation étudiée à la philosophie avec son fils, de ses réflexions acides à ses pâmoisons de jouvencelle sur l’amour, d’un party à Westmount squatté en toute lucidité aux épreuves qui font grandir.

    Agrémenté de quelques billets inédits, le livre est illustré de photos de Dominique Lafond prises, pour la plupart, chez l’auteure.

    Illustré de photos

    Ce qu’on en dit

    « On la retrouve telle qu’on la connaît, célibataire en série, épicurienne, maman last call plutôt comblée, confidente qu’on voudrait toutes avoir, avec ce brin de folie qui fait toute la différence. C’est bien tant mieux qu’elle ne soit plus une oie blanche… » Chantal Guy, La Presse

    $28.95