• WAYWARD PINES – 2

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Patrick Imbert

    Nichée au cœur d’un paysage de carte postale, la petite ville de Wayward Pines, Idaho, apparaît comme un nouvel éden â?? si l’on fait abstraction de la clôture électrique et des tireurs embusqués qui en interdisent l’accès, ainsi que de la surveillance implacable que les autorités exercent sur les résidents. Aucun d’eux ne sait comment il est arrivé là. On leur dit où travailler, comment vivre, avec qui se marier. Tous rêvent secrètement de s’évader, mais ceux qui osent le faire sont confrontés à une terrifiante surprise. Ethan Burke a vu le monde en dehors de Wayward Pines, et il est revenu. À présent, c’est lui le shérif, l’un des rares à connaître l’effroyable vérité : Wayward Pines est bien plus qu’une simple ville. Et le monde au-delà est un cauchemar qui défie l’imagination.

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  • WAYWARD PINES – 1

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Patrick Imbert

    Lorsque Ethan Burke se réveille, il ne sait plus qui il est ni où il se trouve. Puis les souvenirs lui reviennent peu à peu : agent des services secrets américains, il est venu dans la petite ville de Wayward Pines, au fin fond de l’Idaho, pour enquêter sur la disparition de deux collègues. Mais, en arrivant, il a eu un accident de voiture.

    Ses blessures sont superficielles, alors pourquoi ne veut-on pas le laisser sortir de l’hôpital ? Pourquoi le shérif, franchement hostile, refuse-t-il de lui rendre son portefeuille et ses affaires ? Et pourquoi Ethan ne peut-il joindre personne à l’extérieur de Wayward Pines ?

    Ce qu’on en dit

    « Stephen King m’effraie avec ce qu’il écrit. Blake Crouch m’effraie avec ce qu’il me laisse imaginer. » The Toronto Sun

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  • L’AUTRE HOMME DE MA VIE

    Traduit de l’anglais (États-Unis) pas Françoise Jaoüen

    Richard Rossi connaît tous les subterfuges pour dissimuler les passions parallèles qui font le piquant de certaines existences. Bien qu’il partage déjà sa vie avec quelqu’un, ce cadre bostonien entretient une relation adultère épisodique mouvementée. Entre péripéties professionnelles, séances à la salle de sport et rendez-vous à l’abri des regards, Richard navigue à vue jusqu’au jour jeux de Taxi jeux de Camion jeux de Parking jeux de Moto où il se rend compte que l’objet de son affection conjugale passe de plus en plus de temps dans l’Ohio… Peuplée d’une savoureuse bande d’amis, de collègues et de coachs personnels, cette comédie de mœurs s’inscrit dans la veine ironique des précédents romans de Stephen McCauley. Si l’on retrouve avec plaisir la fine psychologie et les subtiles reparties de ce maître du comique, L’(autre) homme de ma vie témoigne également d’une inflexion nouvelle de l’œuvre de McCauley, la satire se faisant plus grinçante.

    Ce qu’on en dit

    « Un vif plaisir que cette lecture. » Didier Fessou, Le Soleil

    « Si vous ne connaissez pas Stephen McCauley, vous avez tort ! […] Un roman d’actualité avec beaucoup d’humour, qui pose un regard plein d’empathie sur notre monde. » Jean Fugère, Radio-Canada

    « L’auteur de L’objet de mon affection est à son meilleur avec ce livre drôle et cruel. » Courrier international

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  • SEXE ET DÉPENDANCES

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Françoise Jaoüen

    William Collins, agent immobilier à Boston, est adepte des rencontres par Internet. Lassé de cette vie sentimentale dominée par les contacts anonymes, il décide de faire vœu de chasteté. Résolution difficile à tenir, tant les tentations se multiplient pour le détourner de loisirs plus sages comme lire enfin dans son intégralité l’œuvre d’une certaine Simone de Beauvoir… Contacté par Charlotte et Samuel, de nouveaux clients en quête d’un bel appartement en centre-ville, il tente de prendre quelques leçons de bonheur auprès de ce couple qui le fascine. Lorsqu’il commencera à mieux les connaître, la façade ne tardera pas à se lézarder. Dans cette chronique hilarante et touchante de la vie quotidienne d’une Amérique moins sûre d’elle après le 11 septembre, Stephen McCauley utilise astucieusement le thème de l’immobilier comme métaphore du désir de changer de vie. Aussi grand humoriste que fin moraliste, il nous offre une galerie de portraits d’une rare lucidité et nous entraîne une nouvelle fois dans son univers d’une originalité et d’une drôlerie infinies.

    Ce qu’on en dit

    « Ce qui vous fera succomber : l’humour, l’auto-dérision, le ton pas du tout politiquement correct. » Danielle Laurin, Elle Québec

    « On ne doit pas rire avec n’importe qui, avec McCauley, c’est du sérieux. » Libération (France)

    « Dans ses portraits d’une rare lucidité et d’une grande drôlerie, Stephen McCauley met en évidence les failles de la vie de couple et les tiraillements entre l’envie de faire le bien et toutes les autres tentations. » Manon Guilbert, Le Journal de Montréal

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