• MOURIR EN HÉROS

    Tandis que des soldats canadiens rentrent chez eux à la fin de la Grande Guerre, en novembre 1918, l’épidémie de grippe espagnole fait rage dans le monde entier, et n’épargne pas la Saskatchewan. Forte de la création d’un vaccin pour contrer le mal, la docteure Lesley Richardson travaille maintenant d’arrache-pied à la conception de remèdes pour aider à freiner la propagation fulgurante de la maladie.

    La mort s’invite toutefois dans son laboratoire d’une façon bien différente alors que le décès d’un ancien combattant secoue la ville de Regina. Qu’est-il arrivé à Ryan O’Neil ? Quels secrets auraient pu coûter la vie à ce cordonnier de métier revenu du front avec une jambe en moins ?

    Dans ce deuxième opus, Lesley Richardson et l’enquêteur Morley Vines feront de nouveau équipe pour élucider un mystère qui semble lier la petite et la grande histoire.

    Le personnage de Lesley est librement inspiré de Frances Gertrude McGill, la « Sherlock Holmes de la Saskatchewan », une pathologiste remarquable à laquelle cette série rend hommage

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  • LA REINE CHARLOTTE

    Avant les Bridgerton, l’histoire d’amour qui a tout changé…

    Le 8 septembre 1761, au palais Saint James de Londres, le roi et sa fiancée se voient pour la toute première fois. Ils s’épouseront dans quelques heures…

    Venue d’Allemagne, Charlotte de Mecklembourg-Strelitz est belle, hardie et férocement intelligente. Ce qui ne correspond pas exactement à l’idéal qu’avait en tête l’entourage du jeune monarque. Mais l’audace et l’indépendance sont précisément les qualités dont la princesse aura besoin, car George III a des secrets susceptibles d’ébranler les fondements de la royauté.

    Novice dans son rôle, la jeune femme louvoie dans les intrigues de la Cour en tentant de préserver son cœur, où l’amour fleurit pour cet homme mystérieux qui la tient à distance. Elle est déterminée à se battre – pour elle-même, pour son roi et pour changer la société. Celle qui ne sera plus jamais simplement « Charlotte » doit accomplir le destin qui a fait d’elle… une reine.

    Ce qu’on en dit

    « Avant les Bridgerton, il y eut une histoire d’amour. Formidable, sensuelle, inattendue. » Marie-France Bornais, Le Journal de Montréal

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  • LA PATHOLOGISTE

    Penser comme un homme, agir comme une dame, et travailler comme un chien. Frances G. McGill

    Regina (Saskatchewan), été 1918. Dr. Lesley Richardson vient d’accepter d’être la première femme à occuper le poste de médecin légiste de la province et, déjà, deux affaires requièrent sa science. Samuel, l’apprenti du vieux Larson, a été battu à mort dans sa forge durant la nuit et, le même jour, un fermier a découvert des ossements sur sa terre. D’emblée, on présume que ceux-ci appartiennent à Lionel Sanschagrin, un Métis disparu un an auparavant.

    Mais la curiosité de la « Doc » est piquée : pourquoi le jeune forgeron ne s’est-il pas défendu alors qu’il traînait une réputation de bagarreur ? Où sont les os qui permettraient l’identification formelle du squelette ? Bénéficiant de la complicité de Morley Vines, un enquêteur aussi têtu qu’elle, Lesley devra déployer tout l’art naissant de la médecine légale afin de faire parler les morts.

    Le personnage de Lesley est librement inspiré de Frances Gertrude McGill, la « Sherlock Holmes de la Saskatchewan », une pathologiste remarquable à laquelle cette fiction rend hommage.

    Ce qu’on en dit

    « Un roman à cheval entre le polar, le roman d’amour […] et le portrait à teneur féministe. » Châtelaine

    « L’attrait principal du roman réside dans la peinture d’une société où Blancs et Métis se côtoient, où la prohibition crée une nouvelle classe de criminels, où “le bois” continue d’attirer les jeunes hommes épris de liberté. Et surtout, une société où les femmes commencent à jouer un rôle plus public, plus officiel, avec toutes les tensions que cela peut entraîner. » Marie Tison, La Presse

    « Un riche personnage de détective, dans un univers finalement assez inédit. Dans la veine des polars historiques […], Tremblay s’attache à faire vivre une docteure Richardson proche de nous malgré la distance. Elle restitue les gestes et les savoirs de la médecin, ses relations complexes avec l’institution judiciaire, et plus généralement l’ambiance des années 1920 dans l’Ouest canadien. » Marie Saur, Lettres québécoises

    « Inspirée par l’histoire de Frances Gertrude McGill, personnalité canadienne remarquable, mais méconnue, l’écrivaine Elisabeth Tremblay a imaginé une captivante intrigue pour le premier tome de sa nouvelle série, Dr Lesley Richardson enquête. » Marie-France Bornais, Le Journal de Québec

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  • WAYWARD PINES – 2

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Patrick Imbert

    Nichée au cœur d’un paysage de carte postale, la petite ville de Wayward Pines, Idaho, apparaît comme un nouvel éden â?? si l’on fait abstraction de la clôture électrique et des tireurs embusqués qui en interdisent l’accès, ainsi que de la surveillance implacable que les autorités exercent sur les résidents. Aucun d’eux ne sait comment il est arrivé là. On leur dit où travailler, comment vivre, avec qui se marier. Tous rêvent secrètement de s’évader, mais ceux qui osent le faire sont confrontés à une terrifiante surprise. Ethan Burke a vu le monde en dehors de Wayward Pines, et il est revenu. À présent, c’est lui le shérif, l’un des rares à connaître l’effroyable vérité : Wayward Pines est bien plus qu’une simple ville. Et le monde au-delà est un cauchemar qui défie l’imagination.

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  • WAYWARD PINES – 1

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Patrick Imbert

    Lorsque Ethan Burke se réveille, il ne sait plus qui il est ni où il se trouve. Puis les souvenirs lui reviennent peu à peu : agent des services secrets américains, il est venu dans la petite ville de Wayward Pines, au fin fond de l’Idaho, pour enquêter sur la disparition de deux collègues. Mais, en arrivant, il a eu un accident de voiture.

    Ses blessures sont superficielles, alors pourquoi ne veut-on pas le laisser sortir de l’hôpital ? Pourquoi le shérif, franchement hostile, refuse-t-il de lui rendre son portefeuille et ses affaires ? Et pourquoi Ethan ne peut-il joindre personne à l’extérieur de Wayward Pines ?

    Ce qu’on en dit

    « Stephen King m’effraie avec ce qu’il écrit. Blake Crouch m’effraie avec ce qu’il me laisse imaginer. » The Toronto Sun

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