• WAYWARD PINES – 2

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Patrick Imbert

    Nichée au cœur d’un paysage de carte postale, la petite ville de Wayward Pines, Idaho, apparaît comme un nouvel éden â?? si l’on fait abstraction de la clôture électrique et des tireurs embusqués qui en interdisent l’accès, ainsi que de la surveillance implacable que les autorités exercent sur les résidents. Aucun d’eux ne sait comment il est arrivé là. On leur dit où travailler, comment vivre, avec qui se marier. Tous rêvent secrètement de s’évader, mais ceux qui osent le faire sont confrontés à une terrifiante surprise. Ethan Burke a vu le monde en dehors de Wayward Pines, et il est revenu. À présent, c’est lui le shérif, l’un des rares à connaître l’effroyable vérité : Wayward Pines est bien plus qu’une simple ville. Et le monde au-delà est un cauchemar qui défie l’imagination.

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  • WAYWARD PINES – 1

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Patrick Imbert

    Lorsque Ethan Burke se réveille, il ne sait plus qui il est ni où il se trouve. Puis les souvenirs lui reviennent peu à peu : agent des services secrets américains, il est venu dans la petite ville de Wayward Pines, au fin fond de l’Idaho, pour enquêter sur la disparition de deux collègues. Mais, en arrivant, il a eu un accident de voiture.

    Ses blessures sont superficielles, alors pourquoi ne veut-on pas le laisser sortir de l’hôpital ? Pourquoi le shérif, franchement hostile, refuse-t-il de lui rendre son portefeuille et ses affaires ? Et pourquoi Ethan ne peut-il joindre personne à l’extérieur de Wayward Pines ?

    Ce qu’on en dit

    « Stephen King m’effraie avec ce qu’il écrit. Blake Crouch m’effraie avec ce qu’il me laisse imaginer. » The Toronto Sun

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  • LA TÊTE DE L’EMPLOI

    À 50 ans, Bernard se voyait bien parti pour mener la même vie tranquille jusqu’à la fin de ses jours. Mais parfois l’existence réserve des surprises… De catastrophe en loi des séries, l’effet domino peut balayer en un clin d’œil le château de cartes de nos certitudes. Et le moins que l’on puisse dire est que cet homme ordinaire, sympathique au demeurant, n’est pas armé pour affronter ce qui l’attend. Il va devoir traverser ce roman drôle et mélancolique pour tenter de retrouver sa place dans un monde en crise.

    Ce qu’on en dit

    « Toute la richesse de la plume de David Foenkinos, sa grande humanité, sa manière unique de décrire le quotidien se retrouvent dansLa tête de l’emploi, un roman superbe où le tragique et le comique s’imbriquent à la perfection. » Marie-France Bornais, Le Journal de Montréal

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