• TRENTE ARPENTS

    Charis Moisan mène une bonne vie de paysan prospère lorsque le malheur entre dans sa vie à cause d’un lopin d’érablière cédé jadis à un voisin. Une terre qui va s’en aller par pelletées, chargée sur des camions. Cela, Moisan ne le veut pas ! Il va affronter la grande ville, les avocats, perdre son procès et, fou de rage et de désespoir, repartir en guerre pour ses trente arpents bien-aimés, trop aimés.

    Format poche

    Ce qu’on en dit

    « Trente arpents, c’est, à mon sens, le plus grand roman écrit au Québec. […] C’est le meilleur. » Denys Arcand, Du côté de chez Catherine

    Prix

    • Prix du Gouverneur général

    • Prix de l’Académie française

    • Prix des Vikings

    • Prix de la province de Québec

    $11.95
  • SAINTE FAMILLE

    Anne Marie Lecomte doit à Margaret Atwood ce premier livre. La grande dame de la littérature, en écoutant la journaliste et mère de famille qui désespérait d’écrire, lui a fourni la clé : « Si vous n’avez pas le temps d’écrire de courtes histoires, écrivez de TRÈS COURTES histoires. » Des histoires, elle en a plein son quotidien : un bungalow « tout à l’envers », un homme « tout à l’endroit », deux enfants et autant de chats. Des caprices de la femme de ménage aux expériences explosives du fiston, des innombrables soupirs aux fous rires plus nombreux encore, Anne Marie tisse au fil de ces petites histoires un portrait irrésistible et touchant de sa sainte famille. On sympathise, on rigole, on se fait du bien en la lisant… et en la relisant !

    Ce qu’on en dit

    « Les chroniques d’Anne Marie Lecomte vous font sourire ? Son recueil vous fera hurler de rire. » Sylvie Galipeau, La Presse

    « Sans prétention, écrit dans un style rafraîchissant, avec humour et sensibilité, les parents se retrouvent indéniablenment dans ces tranches de vie. » Claudia Larochelle, Le Journal de Montréal

    $22.95
  • L’AUTRUCHE CÉLESTE… CINQ ANS PLUS TARD

    Cinq années après qu’elle eut terminé – en des mots fort sereins – la rédaction de L’Autruche Céleste, le ciel tombait sur la tête de l’auteur. Affirmer avec autant de conviction être arrivée à s’affranchir de toute forme de drames était sans doute trop ambitieux au goût de son karma qui s’est chargé de la ramener sur terre, la faisant piquer du nez sur un sol complètement gelé. Ne restait plus qu’un tas de plumes inutiles. L’Autruche étant devenue incapable de faire appel à son sens de l’autodérision salvateur, ses enfants, à peine sortis d’une bruyante adolescence, se retrouvaient du jour au lendemain avec une maman inconnue dont l’activité principale se résumait à pleurer en regardant le plafond. Comme pour une dinde arrosée aux vingt minutes, ils se sont relayés afin de s’assurer que leur mère n’aurait pas l’idée subite de se mettre la tête dans le four… Et puis, tout doucement, les plumes ont repoussé, l’Autruche profitant de cette période hors service pour comprendre un peu plus la vie, faire la paix avec son karma (et autres irritants), réapprendre l’autodérision et, surtout, renouer avec l’inconscience, son alliée la plus précieuse.

    Ce qu’on en dit

    « Un livre plus grave […] où, encore une fois, l’humour tient lieu de véritable bouée de sauvetage. Marie-Claude Fortin, La Presse

    « Doclin risque de connaître le succès grâce à son humour tranchant et son sens de l’observation aiguisé. » Antoine Tanguay, Le Soleil

    $24.95
  • L’AUTRUCHE CÉLESTE

    Postface de Jocelyne Brousseau

    L’Autruche Céleste est une sémillante quadragénaire ayant réalisé que le drame n’est pas génétique, contrairement à ce que son père, l’Ex-Comte Transylvanien, affirmait. Fort de cette faculté de ne plus prendre au sérieux les aléas professionnels, amoureux, financiers, canins, ménagers ou plombiers, l’auteur nous entraîne dans un quotidien truffé d’éclats de rire derrière lesquels transparaît une grande profondeur. Ce récit-Prozac nous rappelle que, si on ne choisit pas ce qui arrive, on peut choisir comment y faire face. On ne s’embête pas avec la Mère Volaille et ses deux ados : Miss Vitriol qui claque les portes et Don Boutons, grand prédateur du garde-manger. Vierge selon les astres, divorcée de l’Ex-époux Clown Célèbre, propriétaire d’un duplex très, très hypothèqué, elle n’a plus peur de rien, car elle est devenue une autruche et adore la vie.

    Édition de poche

    Ce qu’on en dit

    « Un livre formidablement drôle et triste, touchant et tonique, aérien et libérateur. […] À lire impérativement. Bien-être garanti. » Monique Roy, Châtelaine

    « À la fois tonique et tragique, le parcours drôlement émouvant d’une fille pas banale. » Geneviève St-Germain

    « On ne peut s’empêcher de trouver cette autruche sympathique, de compatir à ses malheurs, de louer son courage et de rire non pas à ses dépens, mais avec elle. » Chantal Guy

    $13.95