• RÉPARER LE MONDE

    Est-ce que tout part véritablement de soi ?

    Au cours d’une mission à l’étranger, des soldats sont abattus par leurs frères d’armes. Une bavure militaire. Ironie du sort, l’unique survivant est Jérémy Péan, 25 ans, qui s’était pourtant enrôlé pour en finir avec la vie. Fait prisonnier par le plus grand criminel de la planète, Jérémy voit apparaître dans sa cellule une silhouette assise dans la position du lotus. C’est Sacha, le jeune fils du dictateur, qui lui enseignera les leçons d’Un cours en miracles. Sacha veut « réparer » Jérémy, et le monde avec lui. Mais qu’est-ce au juste qu’un miracle ? Un changement de la perception, une correction de la pensée. Et si c’était simplement voir à travers l’amour du cœur et non à travers la peur de l’ego ? Commence alors la transformation de l’esprit de Jérémy.

    Pour la première fois, une romancière met en scène Un cours en miracles et raconte l’histoire d’une métamorphose.

    Ce qu’on en dit

    « A.B. Winter sait exactement comment décortiquer les travers du monde contemporain. […] Philosophie, action suspense : il y a un peu de tout dans le roman. » Marie-France Bornais, Le Journal de Québec

    « Ce livre contient de puissantes leçons de vie. A.B. Winter pourrait non seulement changer notre perception de la vie, mais nous éveiller au miracle. C’est le genre d’enseignement que l’on voudrait que tout le monde reçoive. » Christine Michaud

    « Un conte philosophique comme sait si bien les écrire A.B. Winter. » Anne Bourgoin, 7 Jours

    « Un beau roman ! » Nathalie Roy, Salut, Bonjour ! Week-end, TVA

    $26.95
  • SANS MÉNAGEMENT

    Photos de Jacques Nadeau

    Chaque vendredi depuis 20 ans, « le jour le plus délinquant de la semaine », Josée Blanchette offre aux lecteurs du Devoir sa chronique inspirée par l’air du temps (Zeitgest). L’esprit vif et la plume alerte, elle tisse des liens entre les personnalités qu’elle rencontre, ses lectures et ses préoccupations très personnelles, qui font étrangement écho aux nôtres. Ce recueil, illustré des images de son fidèle complice, le photographe Jacques Nadeau, entremêle les sujets tabous qu’elle affectionne : du sexe au mariage, en passant par le deuil, les hommes qu’elle scrute avec une tendre impertinence, son propre personnage de femme et de mère, et toutes sortes de petites expériences qui font le sel de la vie.

    facebook.com/sansmenagement

    Ce qu’on en dit

    « Un bouquin que je trouve fascinant. […] Une écriture très personnelle, très chatoyante, très juste… » René Homier-Roy, Radio-Canada

    « Un portrait impressionniste de Josée Blanchette, que l’on apprivoise, devine puis cerne, un peu, du moins, à travers ses multiples questionnements, dadas et préoccupations. » François Lévesque, Le Devoir

    « Josée Blanchette prête une plume légère aux idées profondes. Sensuelle, coquine ou tragique, elle est toujours ancrée dans le vivant. Et c’est pour ça que je l’aime. » Anaïs Barbeau-Lavalette

    $26.95
  • JE NE SUIS PLUS UNE OIE BLANCHE…

    Avec la collaboration de Caroline-Julie Fortin
    Photos de Dominique Lafond

    Depuis 2005, Josée Blanchette offre aux lecteurs de son blogue une généreuse incursion dans son intimité. Des moments du quotidien qu’on croit banals et qui finissent par ressembler à de la poésie. Des petits récits étonnants, inspirants, et toujours empreints de cet humour qui empêche de se supprimer ! On glisse, l’air de rien, de la provocation étudiée à la philosophie avec son fils, de ses réflexions acides à ses pâmoisons de jouvencelle sur l’amour, d’un party à Westmount squatté en toute lucidité aux épreuves qui font grandir.

    Agrémenté de quelques billets inédits, le livre est illustré de photos de Dominique Lafond prises, pour la plupart, chez l’auteure.

    Illustré de photos

    Ce qu’on en dit

    « On la retrouve telle qu’on la connaît, célibataire en série, épicurienne, maman last call plutôt comblée, confidente qu’on voudrait toutes avoir, avec ce brin de folie qui fait toute la différence. C’est bien tant mieux qu’elle ne soit plus une oie blanche… » Chantal Guy, La Presse

    $28.95