Est-ce que tout part véritablement de soi ?
Au cours d’une mission à l’étranger, des soldats sont abattus par leurs frères d’armes. Une bavure militaire. Ironie du sort, l’unique survivant est Jérémy Péan, 25 ans, qui s’était pourtant enrôlé pour en finir avec la vie. Fait prisonnier par le plus grand criminel de la planète, Jérémy voit apparaître dans sa cellule une silhouette assise dans la position du lotus. C’est Sacha, le jeune fils du dictateur, qui lui enseignera les leçons d’Un cours en miracles. Sacha veut « réparer » Jérémy, et le monde avec lui. Mais qu’est-ce au juste qu’un miracle ? Un changement de la perception, une correction de la pensée. Et si c’était simplement voir à travers l’amour du cœur et non à travers la peur de l’ego ? Commence alors la transformation de l’esprit de Jérémy.
Pour la première fois, une romancière met en scène Un cours en miracles et raconte l’histoire d’une métamorphose.
Ce qu’on en dit
« A.B. Winter sait exactement comment décortiquer les travers du monde contemporain. […] Philosophie, action suspense : il y a un peu de tout dans le roman. » Marie-France Bornais, Le Journal de Québec
« Ce livre contient de puissantes leçons de vie. A.B. Winter pourrait non seulement changer notre perception de la vie, mais nous éveiller au miracle. C’est le genre d’enseignement que l’on voudrait que tout le monde reçoive. » Christine Michaud
« Un conte philosophique comme sait si bien les écrire A.B. Winter. » Anne Bourgoin, 7 Jours
« Un beau roman ! » Nathalie Roy, Salut, Bonjour ! Week-end, TVA
Ce qu’on en dit
« L’auteur canadien Trevor Cole signe une satire décoiffante à l’humour noir, très noir. » Monique Roy, Châtelaine
« Un roman canadien dont l’humour noir est absolument irrésistible. » Coup de pouce
« Coup de génie ! L’Eugénie pratique est d’une effroyable lucidité. Le courage d’Eugénie nous trouble et, heureusement pour nos amies, peu d’entre nous saurons manifester autant d’altruisme. […] Accro, on ne peut se détacher du fil du suspense. » Nathalie Thibault, Club de lecture Châtelaine
« Le style est vivant, le rythme, soutenu, admirablement rendu par la traductrice. Quand on a l’impression que l’ouvrage a été écrit directement en français, qu’aucune fausse note ne gâche notre plaisir, c’est que la traduction est réussie, et Rachel Martinez a fait ici de l’excellent travail. » Hélène Rioux, Lettres québécoises