Traduit de l’anglais (Canada) par Michel Saint-Germain avec la collaboration de Louise Chabalier
À Three Pines, durant le week-end de Pâques, tout le monde rajeunit le temps d’une grande chasse aux œufs. Lorsqu’une étrangère qui communique avec les esprits s’arrête au village, les habitants n’y voient encore qu’une occasion de se divertir. Une séance de spiritisme est organisée dans la vieille maison des Hadley, abandonnée en haut de la colline. L’exercice destiné à libérer la demeure du mal qu’elle recèle est tragiquement interrompu par la mort d’une participante. Morte de peur, vraiment ? C’est ce qu’Armand Gamache, l’inspecteur-chef de la Sûreté du Québec, va devoir découvrir en revenant dans les Cantons-de-l’Est avec son équipe. Une chose est sûre : Gamache sait que le mal reste toujours près de nous, tapi dans l’ombre, et qu’en avril l’explosion de vie du printemps fait à tous coups des victimes…
Ce qu’on en dit :
« Je suis tombée sous le charme de ce village en apparence idyllique. » Hélène de Billy, Châtelaine
« Me voici conquise. Par Three Pines et sa communauté anglophone. Par Gamache et ses acolytes. Par la poésie qui règne. Par les considérations sur le genre humain qui parsèment le récit. Par les réflexions senties sur la mort, la vie, l’amour, l’amitié, l’art, le désir de pouvoir. Par l’humour, aussi. Et par l’habileté de la construction, l’entrelacement des fils narratifs. » Danielle Laurin, Le Devoir
« Le 3e roman de Louise Penny, Le mois le plus cruel, est tout juste sorti du four. Je l’attendais impatiemment et je l’ai dévoré comme un bon cupcake maison. […] Quel est le secret de Louise Penny pour nous garder dans un tel état de dépendance ? » Marie-Claude Veilleux, La Tribune
Prix
Prix Agatha
Ce qu’on en dit
« Une aimable auteure canadienne avec un penchant pour le meurtre. » Dan Bilefsky, The New York Times (portrait du samedi)
« Louise Penny, extrêmement habile et méticuleuse dans sa manière de mener le suspense, a exploré pour la première fois un procédé par ellipses dans ce roman qui s’est hissé à la première position du palmarès du New York Times. » Marie-France Bornais, Le Journal de Québec
« Alternant prestement les intrigues, le passé et le présent, [Louise Penny] tisse son récit de manière impressionniste et emporte ainsi le lecteur dans le tourbillon de l’action jusqu’à ce qu’elle dénoue mine de rien tous les fils du mystère. » Manon Dumais, Le Devoir
« [Louise Penny] a fait des dilemmes moraux et de la conscience le cœur du 13e livre de sa série. » Janie Gosselin, La Presse
« La tension n’a jamais été aussi élevée. Un roman méticuleusement construit qui se déploie jusqu’à un point de non-retour et vous laissera le souffle coupé. » Kirkus Review
« Ses livres font du bien, pourtant ils parlent de crimes policiers. » Aline Pinxteren, Le Bel Âge