Auteurs
  • DES ANNÉES PLUS TARD

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Léonie Speer

    Un feu d’artifice de fins heureuses pour la famille la plus sympathique de la haute société londonienne du XIXe siècle

    Avec Des années plus tard, Julia Quinn conclut sa grande saga en prolongeant de neuf courts récits les aventures de chaque membre du clan Bridgerton, y compris Violet, l’attachante veuve, qui a réussi à marier ses huit enfants chéris. Ce dénouement prend la forme de longs épilogues qui offrent des réponses aux questions restées en suspens et nous invitent à imaginer la vie des héritiers de cette grande et joyeuse lignée.

    Vingt ans après leur mariage, quel événement imprévu surgit dans la vie de Daphné et Simon ? Comment Éloïse a-t-elle appris l’identité de Lady Whistledown ? Le rêve de maternité de Francesca s’est-il finalement réalisé ? Hyacinthe a-t-elle mis la main sur les diamants qu’elle a cherchés des années durant ? L’intarissable et pétillante Julia Quinn prolonge l’univers de ses personnages bien-aimés avec un plaisir manifeste et contagieux.

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  • GREGORY

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Cécile Desthuilliers

    Gregory, le dernier fils de la famille Bridgerton, est un incorrigible romantique. Il croit à l’amour véritable, au coup de foudre… et c’est exactement ce qui lui arrive un jour ! Malheureusement, l’éblouissante Hermione Watson s’apprête à épouser un autre homme. Pour la sauver d’une union désastreuse, sa meilleure amie, Lucinda Abernathy, accepte d’aider Gregory à la conquérir. Mais leur pacte secret les rapproche un peu trop, puisque Lucinda succombe au charme de Gregory, qui s’éprend à son tour de l’esprit vif et du sourire ensoleillé de cette généreuse amie. Or Lucinda est également promise à un autre et son oncle n’est pas disposé à laisser Gregory prendre la place de cet homme au pied de l’autel.

    Ce qu’on en dit

    Bridgerton […], c’est Gossip Girl, Little Women et Downton Abbey au début du 19e siècle. C’est le premier show de Shonda Rhimes sur Netflix et c’est extra garni. Bref, c’est bon. » Hugo Dumas, La Presse+

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  • HYACINTHE

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Arnaud du Rengal

    Au grand désespoir de sa mère, la cadette des Bridgerton semble condamnée au célibat. Diablement intelligente, beaucoup trop futée et affligée d’un regrettable franc-parler, Hyacinthe n’a rien de l’héritière soumise que prisent les hommes de la bonne société. Cela ne saurait toutefois effrayer Gareth Saint-Clair, qui jouit lui-même d’une réputation sulfureuse et espère qu’elle pourra l’aider à sortir d’une triste impasse. Son père, qui le déteste, est déterminé à ruiner son héritage. Son seul espoir se cache dans les pages d’un vieux journal de famille écrit en italien, une langue dont Gareth ne parle pas un mot. Or la clé de leurs problèmes se trouve moins dans la traduction complexe d’un texte ancien que dans l’expérience simple – ou compliquée – d’un baiser parfait.

    Ce qu’on en dit

    Bridgerton […], c’est Gossip Girl, Little Women et Downton Abbey au début du 19e siècle. C’est le premier show de Shonda Rhimes sur Netflix et c’est extra garni. Bref, c’est bon. » Hugo Dumas, La Presse+

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  • FRANCESCA

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Cécile Desthuilliers

    Le destin est parfois ironique et cruel. Après avoir papillonné de conquête en conquête, sans jamais livrer son cœur, Michael Stirling tombe follement amoureux de la seule femme qu’il lui est interdit de convoiter : Francesca, sixième enfant de la fratrie Bridgerton et future épouse de son cousin John. Lorsque celui-ci meurt brutalement, la jeune femme ne voit plus en lui que l’ami fidèle et le confident de son mari. Comment lui avouer ses sentiments ? Et s’il ne fallait qu’une nuit d’effroi pour la jeter dans ses bras et faire éclater une passion trop longtemps étouffée. Mais parviendront-ils à trouver le bonheur sans trahir le souvenir de celui qu’ils chérissaient tant ?

    Ce qu’on en dit

    Bridgerton […], c’est Gossip Girl, Little Women et Downton Abbey au début du 19e siècle. C’est le premier show de Shonda Rhimes sur Netflix et c’est extra garni. Bref, c’est bon. » Hugo Dumas, La Presse+

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  • ÉLOÏSE

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Arnaud du Rengal et Cécile Desthuilliers

    Sir Phillip Crane ne connaît d’Éloïse Bridgerton que les lettres charmantes qu’elle lui a envoyées. Mais il est veuf et elle, à vingt-huit ans, est encore célibataire. Aussi décide-t-il sans détour de l’inviter à lui rendre visite… et à l’épouser. Or il a tort de croire qu’Éloïse, la plus frondeuse des Bridgerton, est désespérée au point d’accepter la première proposition galante venue. Que sait-elle de lui ? Peu de choses, sinon qu’il aime la botanique, la couleur verte et n’a jamais quitté l’Angleterre. Rien pour fonder un mariage digne de ce nom, si ce n’est que l’amour se fiche de la raison. Surprise et troublée, Éloïse quitte Londres en secret pour rejoindre un homme qu’elle n’a jamais vu, mais dont elle espère tout.

    Ce qu’on en dit

    Bridgerton […], c’est Gossip Girl, Little Women et Downton Abbey au début du 19e siècle. C’est le premier show de Shonda Rhimes sur Netflix et c’est extra garni. Bref, c’est bon. » Hugo Dumas, La Presse+

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  • COLIN

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Cécile Desthuilliers

    Depuis toujours, Pénélope Featherington est secrètement amoureuse de Colin Bridgerton, le frère de sa meilleure amie. Il est charmant, drôle et attire les regards ; elle est d’un tempérament timide et voudrait qu’on l’oublie. Malgré leurs différences, un défi pourrait pourtant les rapprocher : démasquer la mystérieuse lady Whistledown dont les chroniques ne laissent personne indifférent. Sauf peut-être Colin, qui porte un regard neuf sur ces mondanités depuis son retour de voyage et qui s’intéresse de plus en plus à la discrète, intelligente et surprenante Pénélope.

    Série phare de Julia Quinn, traduite partout dans le monde et adaptée pour Netflix par Shonda Rhimes, La chronique des Bridgerton raconte l’entrée dans le monde de chacun des enfants de feu le vicomte Bridgerton : Anthony, Benedict, Colin, Daphné, Éloïse, Francesca, Gregory et Hyacinthe. Un clan uni comme les lettres de l’alphabet, dont les déboires sont épinglés par la savoureuse lady Whistledown, mystérieuse chroniqueuse de la vie mondain

    Ce qu’on en dit

    Bridgerton […], c’est Gossip Girl, Little Women et Downton Abbey au début du 19e siècle. C’est le premier show de Shonda Rhimes sur Netflix et c’est extra garni. Bref, c’est bon. » Hugo Dumas, La Presse+

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  • BENEDICT

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Cécile Desthuilliers

    Un soir de bal masqué, le deuxième fils Bridgerton tombe sous le charme d’une mystérieuse demoiselle qui, telle Cendrillon, s’évanouit peu avant minuit. Sa magie reste toutefois gravée dans l’esprit de Benedict, qui se promet de la retrouver, de l’épouser, et ne semble plus en mesure de s’intéresser à aucune autre jeune fille. À l’exception peut-être d’une femme de chambre à laquelle il a dû porter secours dans une situation des plus embarrassantes. Le plus rêveur de la famille va-t-il sacrifier son amour de conte de fées à la tentation d’une aventure avec l’espiègle et insaisissable Sophie ?

    Série phare de Julia Quinn, traduite partout dans le monde et adaptée pour Netflix par Shonda Rhimes, La chronique des Bridgerton raconte l’entrée dans le monde de chacun des enfants de feu le vicomte Bridgerton : Anthony, Benedict, Colin, Daphné, Éloïse, Francesca, Gregory et Hyacinthe. Un clan uni comme les lettres de l’alphabet, dont les déboires sont épinglés par la savoureuse lady Whistledown, mystérieuse chroniqueuse de la vie mondaine.

    Ce qu’on en dit

    Bridgerton […], c’est Gossip Girl, Little Women et Downton Abbey au début du 19e siècle. C’est le premier show de Shonda Rhimes sur Netflix et c’est extra garni. Bref, c’est bon. » Hugo Dumas, La Presse+

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  • ANTHONY

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Edwige Hennebelle

    Incroyable ! Anthony Bridgerton, l’aîné de la famille et un incorrigible célibataire, veut se marier. Sans hésiter, il choisit Edwina Sheffield, la reine de la saison. Sauf que, pour Kate Sheffield, il est hors de question que sa petite sœur épouse un débauché comme Anthony. Vexé, ce dernier est bien décidé à prouver à cette impertinente qu’il est un parti irrésistible.

    Série phare de Julia Quinn, traduite partout dans le monde et adaptée pour Netflix par Shonda Rhimes, La chronique des Bridgerton raconte l’entrée dans le monde de chacun des enfants de feu le vicomte Bridgerton : Anthony, Benedict, Colin, Daphné, Éloïse, Francesca, Gregory et Hyacinthe. Un clan uni comme les lettres de l’alphabet, dont les déboires sont épinglés par la savoureuse lady Whistledown, mystérieuse chroniqueuse de la vie mondaine.

    Ce qu’on en dit

    Bridgerton […], c’est Gossip Girl, Little Women et Downton Abbey au début du 19e siècle. C’est le premier show de Shonda Rhimes sur Netflix et c’est extra garni. Bref, c’est bon. » Hugo Dumas, La Presse+

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  • DAPHNÉ

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Cécile Desthuilliers

    Renié par son père en raison de son bégaiement, Simon a eu une enfance solitaire. Après de brillantes études, il a bourlingué sur tous les continents jusqu’à la mort du duc, et c’est désormais porteur d’un titre prestigieux qu’il rentre en Angleterre. Aussitôt, il est assailli par une horde de mères prêtes à tout pour marier leurs filles. Mais il ne s’intéresse pas aux débutantes… sauf peut-être à Daphné Bridgerton. Comme Simon, elle voudrait juste qu’on la laisse en paix. Une idée machiavélique germe alors dans l’esprit des deux jeunes gens.

    Série phare de Julia Quinn, traduite partout et adaptée pour Netflix par Shonda Rhimes (Grey’s Anatomy et Scandal), La chronique des Bridgerton raconte l’entrée dans le monde des huit enfants de feu le vicomte Bridgerton : Anthony, Benedict, Colin, Daphné, Éloïse, Francesca, Gregory et Hyacinthe. Un clan uni comme les lettres de l’alphabet, dont les déboires sont épinglés par la savoureuse lady Whistledown, mystérieuse chroniqueuse de la vie mondaine.

    VIDÉO : Julia Quinn présente l’édition en français pour le Canada de sa série.

    Ce qu’on en dit

    Bridgerton […], c’est Gossip Girl, Little Women et Downton Abbey au début du 19e siècle. C’est le premier show de Shonda Rhimes sur Netflix et c’est extra garni. Bref, c’est bon. » Hugo Dumas, La Presse+

     

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  • L’AUTRE HOMME DE MA VIE

    Traduit de l’anglais (États-Unis) pas Françoise Jaoüen

    Richard Rossi connaît tous les subterfuges pour dissimuler les passions parallèles qui font le piquant de certaines existences. Bien qu’il partage déjà sa vie avec quelqu’un, ce cadre bostonien entretient une relation adultère épisodique mouvementée. Entre péripéties professionnelles, séances à la salle de sport et rendez-vous à l’abri des regards, Richard navigue à vue jusqu’au jour jeux de Taxi jeux de Camion jeux de Parking jeux de Moto où il se rend compte que l’objet de son affection conjugale passe de plus en plus de temps dans l’Ohio… Peuplée d’une savoureuse bande d’amis, de collègues et de coachs personnels, cette comédie de mœurs s’inscrit dans la veine ironique des précédents romans de Stephen McCauley. Si l’on retrouve avec plaisir la fine psychologie et les subtiles reparties de ce maître du comique, L’(autre) homme de ma vie témoigne également d’une inflexion nouvelle de l’œuvre de McCauley, la satire se faisant plus grinçante.

    Ce qu’on en dit

    « Un vif plaisir que cette lecture. » Didier Fessou, Le Soleil

    « Si vous ne connaissez pas Stephen McCauley, vous avez tort ! […] Un roman d’actualité avec beaucoup d’humour, qui pose un regard plein d’empathie sur notre monde. » Jean Fugère, Radio-Canada

    « L’auteur de L’objet de mon affection est à son meilleur avec ce livre drôle et cruel. » Courrier international

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  • SEXE ET DÉPENDANCES

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Françoise Jaoüen

    William Collins, agent immobilier à Boston, est adepte des rencontres par Internet. Lassé de cette vie sentimentale dominée par les contacts anonymes, il décide de faire vœu de chasteté. Résolution difficile à tenir, tant les tentations se multiplient pour le détourner de loisirs plus sages comme lire enfin dans son intégralité l’œuvre d’une certaine Simone de Beauvoir… Contacté par Charlotte et Samuel, de nouveaux clients en quête d’un bel appartement en centre-ville, il tente de prendre quelques leçons de bonheur auprès de ce couple qui le fascine. Lorsqu’il commencera à mieux les connaître, la façade ne tardera pas à se lézarder. Dans cette chronique hilarante et touchante de la vie quotidienne d’une Amérique moins sûre d’elle après le 11 septembre, Stephen McCauley utilise astucieusement le thème de l’immobilier comme métaphore du désir de changer de vie. Aussi grand humoriste que fin moraliste, il nous offre une galerie de portraits d’une rare lucidité et nous entraîne une nouvelle fois dans son univers d’une originalité et d’une drôlerie infinies.

    Ce qu’on en dit

    « Ce qui vous fera succomber : l’humour, l’auto-dérision, le ton pas du tout politiquement correct. » Danielle Laurin, Elle Québec

    « On ne doit pas rire avec n’importe qui, avec McCauley, c’est du sérieux. » Libération (France)

    « Dans ses portraits d’une rare lucidité et d’une grande drôlerie, Stephen McCauley met en évidence les failles de la vie de couple et les tiraillements entre l’envie de faire le bien et toutes les autres tentations. » Manon Guilbert, Le Journal de Montréal

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