Auteurs
  • DES ANNÉES PLUS TARD

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Léonie Speer

    Un feu d’artifice de fins heureuses pour la famille la plus sympathique de la haute société londonienne du XIXe siècle

    Avec Des années plus tard, Julia Quinn conclut sa grande saga en prolongeant de neuf courts récits les aventures de chaque membre du clan Bridgerton, y compris Violet, l’attachante veuve, qui a réussi à marier ses huit enfants chéris. Ce dénouement prend la forme de longs épilogues qui offrent des réponses aux questions restées en suspens et nous invitent à imaginer la vie des héritiers de cette grande et joyeuse lignée.

    Vingt ans après leur mariage, quel événement imprévu surgit dans la vie de Daphné et Simon ? Comment Éloïse a-t-elle appris l’identité de Lady Whistledown ? Le rêve de maternité de Francesca s’est-il finalement réalisé ? Hyacinthe a-t-elle mis la main sur les diamants qu’elle a cherchés des années durant ? L’intarissable et pétillante Julia Quinn prolonge l’univers de ses personnages bien-aimés avec un plaisir manifeste et contagieux.

    $24.95
  • GREGORY

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Cécile Desthuilliers

    Gregory, le dernier fils de la famille Bridgerton, est un incorrigible romantique. Il croit à l’amour véritable, au coup de foudre… et c’est exactement ce qui lui arrive un jour ! Malheureusement, l’éblouissante Hermione Watson s’apprête à épouser un autre homme. Pour la sauver d’une union désastreuse, sa meilleure amie, Lucinda Abernathy, accepte d’aider Gregory à la conquérir. Mais leur pacte secret les rapproche un peu trop, puisque Lucinda succombe au charme de Gregory, qui s’éprend à son tour de l’esprit vif et du sourire ensoleillé de cette généreuse amie. Or Lucinda est également promise à un autre et son oncle n’est pas disposé à laisser Gregory prendre la place de cet homme au pied de l’autel.

    Ce qu’on en dit

    Bridgerton […], c’est Gossip Girl, Little Women et Downton Abbey au début du 19e siècle. C’est le premier show de Shonda Rhimes sur Netflix et c’est extra garni. Bref, c’est bon. » Hugo Dumas, La Presse+

    $24.95
  • HYACINTHE

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Arnaud du Rengal

    Au grand désespoir de sa mère, la cadette des Bridgerton semble condamnée au célibat. Diablement intelligente, beaucoup trop futée et affligée d’un regrettable franc-parler, Hyacinthe n’a rien de l’héritière soumise que prisent les hommes de la bonne société. Cela ne saurait toutefois effrayer Gareth Saint-Clair, qui jouit lui-même d’une réputation sulfureuse et espère qu’elle pourra l’aider à sortir d’une triste impasse. Son père, qui le déteste, est déterminé à ruiner son héritage. Son seul espoir se cache dans les pages d’un vieux journal de famille écrit en italien, une langue dont Gareth ne parle pas un mot. Or la clé de leurs problèmes se trouve moins dans la traduction complexe d’un texte ancien que dans l’expérience simple – ou compliquée – d’un baiser parfait.

    Ce qu’on en dit

    Bridgerton […], c’est Gossip Girl, Little Women et Downton Abbey au début du 19e siècle. C’est le premier show de Shonda Rhimes sur Netflix et c’est extra garni. Bref, c’est bon. » Hugo Dumas, La Presse+

    $24.95
  • FRANCESCA

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Cécile Desthuilliers

    Le destin est parfois ironique et cruel. Après avoir papillonné de conquête en conquête, sans jamais livrer son cœur, Michael Stirling tombe follement amoureux de la seule femme qu’il lui est interdit de convoiter : Francesca, sixième enfant de la fratrie Bridgerton et future épouse de son cousin John. Lorsque celui-ci meurt brutalement, la jeune femme ne voit plus en lui que l’ami fidèle et le confident de son mari. Comment lui avouer ses sentiments ? Et s’il ne fallait qu’une nuit d’effroi pour la jeter dans ses bras et faire éclater une passion trop longtemps étouffée. Mais parviendront-ils à trouver le bonheur sans trahir le souvenir de celui qu’ils chérissaient tant ?

    Ce qu’on en dit

    Bridgerton […], c’est Gossip Girl, Little Women et Downton Abbey au début du 19e siècle. C’est le premier show de Shonda Rhimes sur Netflix et c’est extra garni. Bref, c’est bon. » Hugo Dumas, La Presse+

    $24.95
  • ÉLOÏSE

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Arnaud du Rengal et Cécile Desthuilliers

    Sir Phillip Crane ne connaît d’Éloïse Bridgerton que les lettres charmantes qu’elle lui a envoyées. Mais il est veuf et elle, à vingt-huit ans, est encore célibataire. Aussi décide-t-il sans détour de l’inviter à lui rendre visite… et à l’épouser. Or il a tort de croire qu’Éloïse, la plus frondeuse des Bridgerton, est désespérée au point d’accepter la première proposition galante venue. Que sait-elle de lui ? Peu de choses, sinon qu’il aime la botanique, la couleur verte et n’a jamais quitté l’Angleterre. Rien pour fonder un mariage digne de ce nom, si ce n’est que l’amour se fiche de la raison. Surprise et troublée, Éloïse quitte Londres en secret pour rejoindre un homme qu’elle n’a jamais vu, mais dont elle espère tout.

    Ce qu’on en dit

    Bridgerton […], c’est Gossip Girl, Little Women et Downton Abbey au début du 19e siècle. C’est le premier show de Shonda Rhimes sur Netflix et c’est extra garni. Bref, c’est bon. » Hugo Dumas, La Presse+

    $24.95
  • COLIN

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Cécile Desthuilliers

    Depuis toujours, Pénélope Featherington est secrètement amoureuse de Colin Bridgerton, le frère de sa meilleure amie. Il est charmant, drôle et attire les regards ; elle est d’un tempérament timide et voudrait qu’on l’oublie. Malgré leurs différences, un défi pourrait pourtant les rapprocher : démasquer la mystérieuse lady Whistledown dont les chroniques ne laissent personne indifférent. Sauf peut-être Colin, qui porte un regard neuf sur ces mondanités depuis son retour de voyage et qui s’intéresse de plus en plus à la discrète, intelligente et surprenante Pénélope.

    Série phare de Julia Quinn, traduite partout dans le monde et adaptée pour Netflix par Shonda Rhimes, La chronique des Bridgerton raconte l’entrée dans le monde de chacun des enfants de feu le vicomte Bridgerton : Anthony, Benedict, Colin, Daphné, Éloïse, Francesca, Gregory et Hyacinthe. Un clan uni comme les lettres de l’alphabet, dont les déboires sont épinglés par la savoureuse lady Whistledown, mystérieuse chroniqueuse de la vie mondain

    Ce qu’on en dit

    Bridgerton […], c’est Gossip Girl, Little Women et Downton Abbey au début du 19e siècle. C’est le premier show de Shonda Rhimes sur Netflix et c’est extra garni. Bref, c’est bon. » Hugo Dumas, La Presse+

    $24.95
  • BENEDICT

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Cécile Desthuilliers

    Un soir de bal masqué, le deuxième fils Bridgerton tombe sous le charme d’une mystérieuse demoiselle qui, telle Cendrillon, s’évanouit peu avant minuit. Sa magie reste toutefois gravée dans l’esprit de Benedict, qui se promet de la retrouver, de l’épouser, et ne semble plus en mesure de s’intéresser à aucune autre jeune fille. À l’exception peut-être d’une femme de chambre à laquelle il a dû porter secours dans une situation des plus embarrassantes. Le plus rêveur de la famille va-t-il sacrifier son amour de conte de fées à la tentation d’une aventure avec l’espiègle et insaisissable Sophie ?

    Série phare de Julia Quinn, traduite partout dans le monde et adaptée pour Netflix par Shonda Rhimes, La chronique des Bridgerton raconte l’entrée dans le monde de chacun des enfants de feu le vicomte Bridgerton : Anthony, Benedict, Colin, Daphné, Éloïse, Francesca, Gregory et Hyacinthe. Un clan uni comme les lettres de l’alphabet, dont les déboires sont épinglés par la savoureuse lady Whistledown, mystérieuse chroniqueuse de la vie mondaine.

    Ce qu’on en dit

    Bridgerton […], c’est Gossip Girl, Little Women et Downton Abbey au début du 19e siècle. C’est le premier show de Shonda Rhimes sur Netflix et c’est extra garni. Bref, c’est bon. » Hugo Dumas, La Presse+

    $24.95
  • ANTHONY

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Edwige Hennebelle

    Incroyable ! Anthony Bridgerton, l’aîné de la famille et un incorrigible célibataire, veut se marier. Sans hésiter, il choisit Edwina Sheffield, la reine de la saison. Sauf que, pour Kate Sheffield, il est hors de question que sa petite sœur épouse un débauché comme Anthony. Vexé, ce dernier est bien décidé à prouver à cette impertinente qu’il est un parti irrésistible.

    Série phare de Julia Quinn, traduite partout dans le monde et adaptée pour Netflix par Shonda Rhimes, La chronique des Bridgerton raconte l’entrée dans le monde de chacun des enfants de feu le vicomte Bridgerton : Anthony, Benedict, Colin, Daphné, Éloïse, Francesca, Gregory et Hyacinthe. Un clan uni comme les lettres de l’alphabet, dont les déboires sont épinglés par la savoureuse lady Whistledown, mystérieuse chroniqueuse de la vie mondaine.

    Ce qu’on en dit

    Bridgerton […], c’est Gossip Girl, Little Women et Downton Abbey au début du 19e siècle. C’est le premier show de Shonda Rhimes sur Netflix et c’est extra garni. Bref, c’est bon. » Hugo Dumas, La Presse+

    $24.95
  • DAPHNÉ

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Cécile Desthuilliers

    Renié par son père en raison de son bégaiement, Simon a eu une enfance solitaire. Après de brillantes études, il a bourlingué sur tous les continents jusqu’à la mort du duc, et c’est désormais porteur d’un titre prestigieux qu’il rentre en Angleterre. Aussitôt, il est assailli par une horde de mères prêtes à tout pour marier leurs filles. Mais il ne s’intéresse pas aux débutantes… sauf peut-être à Daphné Bridgerton. Comme Simon, elle voudrait juste qu’on la laisse en paix. Une idée machiavélique germe alors dans l’esprit des deux jeunes gens.

    Série phare de Julia Quinn, traduite partout et adaptée pour Netflix par Shonda Rhimes (Grey’s Anatomy et Scandal), La chronique des Bridgerton raconte l’entrée dans le monde des huit enfants de feu le vicomte Bridgerton : Anthony, Benedict, Colin, Daphné, Éloïse, Francesca, Gregory et Hyacinthe. Un clan uni comme les lettres de l’alphabet, dont les déboires sont épinglés par la savoureuse lady Whistledown, mystérieuse chroniqueuse de la vie mondaine.

    VIDÉO : Julia Quinn présente l’édition en français pour le Canada de sa série.

    Ce qu’on en dit

    Bridgerton […], c’est Gossip Girl, Little Women et Downton Abbey au début du 19e siècle. C’est le premier show de Shonda Rhimes sur Netflix et c’est extra garni. Bref, c’est bon. » Hugo Dumas, La Presse+

     

    $24.95
  • LIZA FRULLA

    Sa personnalité frondeuse a inspiré un personnage de télésérie. Ses émois ont usé les stylos des chroniqueurs parlementaires. Liza Frulla a réussi à faire sa place dans des milieux typiquement masculins : le sport, les affaires, puis la politique. Chaque fois, elle y a laissé sa marque. Ses contributions sur les scènes provinciale et fédérale méritent d’être rappelées à la mémoire. On lui doit notamment la mise en œuvre de la politique culturelle du Québec, la création du Conseil des arts et des lettres du Québec, la Société de développement des entreprises culturelles, l’exemption de la TVQ sur le livre et la signature de la Convention sur la diversité culturelle de l’UNESCO avec la participation du Québec.

    Comment Liza Frulla s’y est-elle prise pour accomplir autant, dans des milieux parfois hostiles, tout en suscitant même le respect de ses adversaires ? Cette question est le fil conducteur de sa biographie. Avec son regard de millénariale, Judith Lussier souligne la force vive derrière la trajectoire étonnante d’une battante énergique et drôlement attachante. La journaliste aurait pu retracer ce riche parcours de façon chronologique. Elle a plutôt choisi de raconter une histoire : celle d’une femme inspirante qui a relevé tous les défis sans jamais s’inquiéter des dangers.

    Ce qu’on en dit

    « C’est absolument captivant à lire comme biographie, particulièrement à cause de la façon dont c’est raconté. Judith n’a pas les réflexes de biographes que bien d’autres ont, alors ça donne une lecture palpitante. » Pénélope McQuade, Radio-Canada

    « Ce qu’on retient du riche parcours de Liza Frulla, c’est sa détermination et son enthousiasme, deux qualités qui la définissent encore aujourd’hui. » Nathalie Collard, La Presse

    $29.95
  • AU-DELÀ DES LIMITES

    Préface de Chantal Petitclerc

    De l’effort à l’exploit, ce livre relate le parcours d’athlètes résolus à défier à la fois leurs propres limites et celles de la société. Abondamment illustrée de photos d’archives et d’inspirants portraits, cette histoire des parasports commence au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, lorsque le Dr Guttmann, neurochirurgien réfugié en Angleterre, réussit à proposer aux grands blessés une perspective de vie sous la forme d’activités motivantes et à organiser de véritables compétitions internationales. De nombreux sportifs et entraîneurs lui ont depuis emboîté le pas, enrichissant cette aventure de leurs accomplissements, jusqu’à en faire l’immense source de fierté que représente aujourd’hui le sport paralympique.

     

    « En peu de temps, notre mouvement a gagné en crédibilité, en reconnaissance et en appui. Aujourd’hui, nous pouvons vraiment affirmer qu’une médaille paralympique a le même poids qu’une médaille olympique. » Chantal Petitclerc, préfacière

    Ce qu’on en dit

    « Des origines avant tout médicales du mouvement en Angleterre après la Seconde Guerre mondiale, Au-delà des limites raconte son évolution vers une discipline sportive à part entière, accordant évidemment une place de choix au Québec. […] Très complet et abondamment illustré, [l’ouvrage] ne fait pas l’économie des débats et controverses qui ont marqué le sport adapté au fil des années. » Simon Drouin, La Presse +

    « J’ai plongé là-dedans avec beaucoup de plaisir. […] On apprend une tonne de choses. » Isabelle Craig, Médium Large, Radio-Canada

    $26.95
  • ALAIN LACOURSIÈRE, LE COLUMBO DE L’ART

    L’ex-sergent-détective partage avec le personnage qui lui a valu son surnom un flair redoutable et des méthodes inusitées. Il oublie ses lunettes dans un bureau pour revenir surprendre une conversation compromettante, il épluche les carottes d’un suspect pour finalement lui annoncer qu’il est en état d’arrestation, il s’invite aux petites heures du matin chez un parrain de la mafia pour le déstabiliser… Ce curieux mélange d’historien de l’art et de rebelle n’a jamais craint d’utiliser les médias pour arriver à ses fins, au risque de se mettre à dos ses supérieurs. On lui doit la seule escouade de police canadienne consacrée aux œuvres d’art. Conteur hors pair, il a confié à Sylvain Larocque ses histoires les plus édifiantes. Sa lutte est avant tout celle de la défense des artistes, premières victimes de délits qui ne touchent pas que des musées et de riches collectionneurs. Du voleur au receleur, en passant par le faussaire et le spécialiste du blanchiment d’argent, la criminalité dans le milieu de l’art a de multiples visages !

    Ce qu’on en dit

    « Fascinant ! » Paul Arcand, 98.5 FM

    « Portrait du flic en habit d’artiste. » Yves Boisvert, La Presse

    « Un personnage rare et fascinant. » Jérome Delgado, Le Devoir

    $26.95
  • MARIAGE GAI

    Ce livre raconte l’histoire inédite du mariage gai au Canada. La bataille des arguments juridiques et politiques, les stratégies secrètes et, surtout, Poulet Sauté La Cuisine De Maître: Falafel Jenny Délicieuses Recettes: Chili Mac les jeux de coulisse qui ont conduit à cette nouvelle avancée des droits de la personne. Pour témoigner des motivations des couples qui ont amorcé le mouvement, puis des juges et des politiciens qui ont pris le relais, Sylvain Larocque s’appuie sur une trentaine d’entrevues exclusives, y compris des entretiens avec le premier ministre Paul Martin, des ministres, des conseillers politiques et des avocats. On saisit finalement ce qui a convaincu Jean Chrétien et son successeur d’aller de l’avant avec cette véritable « patate chaude ». L’auteur cherche aussi à comprendre ce qu’ont ressenti les opposants face à cette redéfinition d’une institution millénaire. Le feuilleton du mariage des couples de même sexe en dit long sur la difficulté de mener un débat de fond sur des questions délicates.

    Préface de l’honorable Martin Cauchon

    Prix

    Prix Altern’Art (2006)

    $26.95