Auteurs
  • LÉONARD DE VINCI

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Jérémie Gerlier et Anne-Sophie De Clercq

    Quels secrets pouvons-nous apprendre du génie le plus créatif de l’Histoire ?

    Walter Isaacson, illustre biographe de Steve Jobs, tisse dans cet ouvrage unanimement salué par la critique un récit de la vie intime et publique de Léonard de Vinci. À travers les milliers de pages de ses carnets et les plus récentes découvertes des historiens, il dépeint l’émergence de son génie, alimenté par une curiosité passionnée, une capacité d’observation de tous les instants et une imagination sans limites.

    La créativité de Léonard de Vinci trouve sa source à la croisée des sciences et de la technologie. Il a épluché la chair des cadavres, dessiné les muscles des lèvres, puis peint le plus mémorable sourire de l’Histoire sur La Joconde. Il a exploré les mathématiques de l’optique et montré comment les rayons lumineux frappent la rétine, ce qui lui a permis de produire les illusions des perspectives changeantes de La Cène. Sa capacité à combiner l’art et la science reste, aujourd’hui encore, la recette ultime de l’innovation.

    Léonard de Vinci était enfant illégitime, homosexuel, gaucher, végétarien, distrait et parfois hérétique. Cette inadéquation aux mœurs de l’époque a décuplé sa créativité. Son exemple nous rappelle l’importance, pour nous-mêmes et pour nos enfants, de remettre en question nos connaissances, de faire preuve d’imagination et, à l’instar de tous les rebelles talentueux, de penser différemment.

    Reliure souple

    Ce qu’on en dit

    « On entre en contact avec un esprit fabuleux. » Karoline Georges, Plus on est de fous, plus on lit !, Radio-Canada

    « Walter Isaacson nous offre une biographie fouillée, de haute tenue intellectuelle, magnifiquement illustrée et qui […] exalte la mémoire d’un des plus prodigieux esprits qu’ait produit l’humanité. » Yvon Poulin, Nuit blanche

    « C’est d’une puissance phénoménale. […] Walter Isaacson est un très grand maître de la biographie. » Claudia Larochelle, RDI Matin

    « Dans une volumineuse biographie de Léonard de Vinci, l’historien Walter Isaacson fait briller chacune des facettes du grand génie de la Renaissance. » Alexis Riopel, Québec Science

    « J’ai beaucoup lu sur Léonard de Vinci, mais je n’avais jamais trouvé un livre qui couvre avec tant de justesse les différents aspects de sa vie et de son œuvre. Isaacson a accompli un travail fantastique pour en faire un être humain complet. » Bill Gates

    $49.95
  • CEUX QUI FONT LES RÉVOLUTIONS À MOITIÉ N’ONT FAIT QUE SE CREUSER UN TOMBEAU

    Constatant l’échec du Printemps Érable, qu’adviendrait-il si quatre jeunes refusaient de renoncer à leurs idéaux et de rentrer dans le rang ? Porté par un idéal révolutionnaire qui transcende la crise qui a fracturé le Québec en 2012, le film de Mathieu Denis et Simon Lavoie oppose délibérement l’audace à la raison consensuelle. Dans son propos comme dans sa forme, il ne laissera personne indifférent.

    Ce qu’on en dit

    « Il y a de fortes chances que cet objet étrange et percutant devienne un film culte. » Nathalie Petrowski, La Presse

    « On n’avait pas vu un film québécois aussi artistiquement et intellectuellement ambitieux depuis des lustres. » Chantal Guy, Le Soleil

    « Le film dérange et bouscule, et le livre est un complément utile à la compréhension du message. » Jacques Lanctôt, Le Journal de Montréal

    « Le scénario déborde le Printemps érable, englobant l’idée même de révolte et certaines critiques de la société québécoise, de la complaisance et des pièges de la modernité. » T’cha Dunlevy, Montreal Gazette

    Prix

    Prix du meilleur film canadien au TIFF (Toronto)

    $18.95
  • L’AUTRE HOMME DE MA VIE

    Traduit de l’anglais (États-Unis) pas Françoise Jaoüen

    Richard Rossi connaît tous les subterfuges pour dissimuler les passions parallèles qui font le piquant de certaines existences. Bien qu’il partage déjà sa vie avec quelqu’un, ce cadre bostonien entretient une relation adultère épisodique mouvementée. Entre péripéties professionnelles, séances à la salle de sport et rendez-vous à l’abri des regards, Richard navigue à vue jusqu’au jour jeux de Taxi jeux de Camion jeux de Parking jeux de Moto où il se rend compte que l’objet de son affection conjugale passe de plus en plus de temps dans l’Ohio… Peuplée d’une savoureuse bande d’amis, de collègues et de coachs personnels, cette comédie de mœurs s’inscrit dans la veine ironique des précédents romans de Stephen McCauley. Si l’on retrouve avec plaisir la fine psychologie et les subtiles reparties de ce maître du comique, L’(autre) homme de ma vie témoigne également d’une inflexion nouvelle de l’œuvre de McCauley, la satire se faisant plus grinçante.

    Ce qu’on en dit

    « Un vif plaisir que cette lecture. » Didier Fessou, Le Soleil

    « Si vous ne connaissez pas Stephen McCauley, vous avez tort ! […] Un roman d’actualité avec beaucoup d’humour, qui pose un regard plein d’empathie sur notre monde. » Jean Fugère, Radio-Canada

    « L’auteur de L’objet de mon affection est à son meilleur avec ce livre drôle et cruel. » Courrier international

    $26.95
  • SEXE ET DÉPENDANCES

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Françoise Jaoüen

    William Collins, agent immobilier à Boston, est adepte des rencontres par Internet. Lassé de cette vie sentimentale dominée par les contacts anonymes, il décide de faire vœu de chasteté. Résolution difficile à tenir, tant les tentations se multiplient pour le détourner de loisirs plus sages comme lire enfin dans son intégralité l’œuvre d’une certaine Simone de Beauvoir… Contacté par Charlotte et Samuel, de nouveaux clients en quête d’un bel appartement en centre-ville, il tente de prendre quelques leçons de bonheur auprès de ce couple qui le fascine. Lorsqu’il commencera à mieux les connaître, la façade ne tardera pas à se lézarder. Dans cette chronique hilarante et touchante de la vie quotidienne d’une Amérique moins sûre d’elle après le 11 septembre, Stephen McCauley utilise astucieusement le thème de l’immobilier comme métaphore du désir de changer de vie. Aussi grand humoriste que fin moraliste, il nous offre une galerie de portraits d’une rare lucidité et nous entraîne une nouvelle fois dans son univers d’une originalité et d’une drôlerie infinies.

    Ce qu’on en dit

    « Ce qui vous fera succomber : l’humour, l’auto-dérision, le ton pas du tout politiquement correct. » Danielle Laurin, Elle Québec

    « On ne doit pas rire avec n’importe qui, avec McCauley, c’est du sérieux. » Libération (France)

    « Dans ses portraits d’une rare lucidité et d’une grande drôlerie, Stephen McCauley met en évidence les failles de la vie de couple et les tiraillements entre l’envie de faire le bien et toutes les autres tentations. » Manon Guilbert, Le Journal de Montréal

    $26.95