David se retrouve un beau matin dans un ascenseur en compagnie d’un vieil homme qui, soudain, brandit un revolver pour se suicider. L’adolescent s’interpose spontanément, sans se douter que son geste va bouleverser le cours de sa vie. Embarqué dans une intrigue aussi surprenante que périlleuse, il renouera le mystérieux lien des origines entre l’être humain et son double – cette alliance sacrée dont parlent les textes les plus anciens de l’humanité.
Mine de rien, David nous raconte sa saisissante histoire sans détour, avec une franchise troublante et un humour gentiment subversif. En chemin, il nous fera rencontrer Iris, petite prostituée de quatorze ans ; Guillaume, l’ami marginal et surdoué qui se console en écoutant le chant des étoiles ; et Gwen, la trop jolie psychologue qui ne sait plus où donner de la tête : doit-elle soigner David et le guérir de ses « hallucinations » ou bien l’accompagner, à ses risques et périls, dans une aventure à nulle autre pareille ?
Édition destinée aux jeunes adultes avec une lettre de l’auteur pour ce lectorat
Ce qu’on en dit
« Ce roman se laisse dévorer avec la même avidité qu’un polar. […] Pierre Billon possède ce que tous les écrivains du monde rêvent de posséder : une imagination sans fond. » Karine Vilder, 7 Jours
Ce qu’on en dit
« L’auteur canadien Trevor Cole signe une satire décoiffante à l’humour noir, très noir. » Monique Roy, Châtelaine
« Un roman canadien dont l’humour noir est absolument irrésistible. » Coup de pouce
« Coup de génie ! L’Eugénie pratique est d’une effroyable lucidité. Le courage d’Eugénie nous trouble et, heureusement pour nos amies, peu d’entre nous saurons manifester autant d’altruisme. […] Accro, on ne peut se détacher du fil du suspense. » Nathalie Thibault, Club de lecture Châtelaine
« Le style est vivant, le rythme, soutenu, admirablement rendu par la traductrice. Quand on a l’impression que l’ouvrage a été écrit directement en français, qu’aucune fausse note ne gâche notre plaisir, c’est que la traduction est réussie, et Rachel Martinez a fait ici de l’excellent travail. » Hélène Rioux, Lettres québécoises