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  • FILM NOIR À ODESSA

    Traduit de l’anglais (Irlande) par Jean Esch

    URSS, 1937 – L’inspecteur Korolev, des affaires criminelles, est tiré du lit en pleine nuit, à l’heure où un citoyen peut craindre de partir pour ne plus jamais revenir. C’est à Odessa, en mission confidentielle, qu’on l’envoie pour enquêter sur le présumé suicide d’une jeune femme un peu trop liée à un haut dirigeant du Parti. Korolev débarque dans une Ukraine ravagée par les politiques de Staline, décor parfait pour La Prairie ensanglantée, le film scénarisé par son ami Babel. Bien malgré lui, il se retrouve aussi mêlé aux embrouilles du « roi des Voleurs » de Moscou. Il lui faudra tout son sang-froid, et l’aide d’une jeune inspectrice de la Milice d’Odessa, pour démasquer les vrais ennemis de la Révolution sans y laisser sa peau.

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    Ce qu’on en dit

    « Ryan nous entraîne au cœur d’une intrigue riche en suspense avec un personnage vulnérable et sympathique. » Norbert Spehner, La Presse

    « L’œuvre qu’est en train de construire William Ryan vaut vraiment le détour. » Catherine Lachaussée, Radio-Canada

    « En plus de réussir à nous tenir en haleine jusqu’à la fin, il nous permet de comprendre ce que les Ukrainiens ont vécu sous le régime stalinien. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

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  • EN LIBRE ÉQUILIBRE

    Traduit de l’anglais (Canada) par Claire Chabalier et Louise Chabalier

    Dans cette autobiographie, Margaret Trudeau parle avec candeur de la maladie qui a silencieusement façonné sa vie tumultueuse. En proie dès l’enfance à de fréquentes sautes d’humeur, Margaret était mal préparée, à vingt-deux ans, au rôle de première dame du Canada. Séduits par sa jeunesse et sa beauté, les Canadiens en sont tombés amoureux, tout comme ils avaient été charmés par son mari, le très charismatique Pierre Elliott Trudeau. Avec les naissances de Justin et de Sacha, le couple paraissait béni des dieux. Cependant, à l’écart des apparitions publiques, Margaret était aux prises avec de graves épisodes dépressifs entrecoupés de crises de manie. Ce comportement inexplicable — y compris pour elle-même — a conduit, deux ans après la naissance de Michel, à la séparation du couple. Puis, graduellement, un fragile équilibre s’est installé, Margaret trouvant le bonheur dans son mariage avec Fried Kemper. En 1998, la mort tragique de Michel, suivie peu après par le décès de Pierre, la plonge dans une insoutenable dépression. La science ayant progressé dans sa compréhension du trouble bipolaire, Margaret peut enfin accepter ce diagnostic et apprendre à vivre avec sa maladie.

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    Ce qu’on en dit

    « Ce livre-là m’a renversée. Margaret Trudeau nous livre une description poignante de la bipolarité. » Nathalie Petrowski, Radio-Canada

    « La vie n’est pas un conte de fées, mais on peut trouver du réconfort, un guide et même du courage à se laisser conter une vraie vie comme celle-ci. » Monique Polak, The Gazette

    « Margaret Trudeau lève le voile sur une vie marquée par la maladie mentale et raconte son équilibre retrouvé. » L’actualité

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  • LE ROYAUME DES VOLEURS

    Traduit de l’anglais (Irlande) par Jean Esch

    MOSCOU, 1936 – À l’aube des Grandes Purges de Staline, le cadavre mutilé d’une jeune femme est retrouvé sur l’autel d’une église désaffectée. L’inspecteur Korolev, chef de la 4×4 foot jeux de sport section criminelle de la Milice locale, est chargé d’enquêter. Mais dès qu’il comprend que la victime était américaine, le NKVD, la très redoutée police secrète, s’en mêle, épiant ses moindres gestes. Résolu à tout risquer pour découvrir qui se cache derrière ce crime effroyable, Korolev pénètre dans le royaume des Voleurs, ces individus qui règnent sur la pègre moscovite et semblent les seuls à défier le joug du Parti.

    À mesure que d’autres corps sont découverts, la pression venue d’en haut s’accentue et Korolev ne peut que se demander qui sont les véritables criminels dans cette Union soviétique où prédominent la peur, la faim et l’incertitude.

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    Ce qu’on en dit

    « Cette première enquête de l’inspecteur Korolev plonge le lecteur dans l’atmosphère de conjuration qui baigne le Moscou des années 1930. » The Independent

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