Traduit de l’anglais (États-Unis) par Corinne Daniellot
Le premier volet de cette trilogie magistrale,
entré dans la liste des best-sellers du New York Times,
vous tiendra en haleine jusqu’à la toute dernière page.
New York, de nos jours. Les Mages vivent terrés dans Manhattan, piégés par une sombre barrière créée par l’Ordre. Nul ne peut la traverser sans mettre sa vie en péril. Sauf Esta, une jeune fille hors norme qui a le don de figer le temps et de voyager à travers les époques. Elle seule peut se rendre en 1902 pour empêcher le Magicien de se jeter du haut du pont de Brooklyn. Et pour voler l’Ars Arcana : le livre qui contient tous les secrets et pourrait sauver le futur.
ÉPUISÉ
Ce qu’on en dit
« Le Dernier Magicien offre une intrigue riche en thèmes, en ramifications et en rebondissements, entraînant ses lecteurs dans le Manhattan du début du 20e siècle avec ses gangs, ses différentes classes sociales et son immigration massive. […] On ne s’ennuie pas une minute. […] La finale ne donne qu’une envie : lire la suite. » blogue de Sophielit.ca
« Fluide et surprenant, ce livre vous plonge dans un univers de magie et de conspiration dans le New York du début du siècle. Lisa Maxwell éblouit la scène du fantastique avec cette intrigue à couper le souffle. » Laura Beaudoin, Les libraires
Ce qu’on en dit
« L’auteur canadien Trevor Cole signe une satire décoiffante à l’humour noir, très noir. » Monique Roy, Châtelaine
« Un roman canadien dont l’humour noir est absolument irrésistible. » Coup de pouce
« Coup de génie ! L’Eugénie pratique est d’une effroyable lucidité. Le courage d’Eugénie nous trouble et, heureusement pour nos amies, peu d’entre nous saurons manifester autant d’altruisme. […] Accro, on ne peut se détacher du fil du suspense. » Nathalie Thibault, Club de lecture Châtelaine
« Le style est vivant, le rythme, soutenu, admirablement rendu par la traductrice. Quand on a l’impression que l’ouvrage a été écrit directement en français, qu’aucune fausse note ne gâche notre plaisir, c’est que la traduction est réussie, et Rachel Martinez a fait ici de l’excellent travail. » Hélène Rioux, Lettres québécoises