Préface de Chantal Petitclerc
De l’effort à l’exploit, ce livre relate le parcours d’athlètes résolus à défier à la fois leurs propres limites et celles de la société. Abondamment illustrée de photos d’archives et d’inspirants portraits, cette histoire des parasports commence au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, lorsque le Dr Guttmann, neurochirurgien réfugié en Angleterre, réussit à proposer aux grands blessés une perspective de vie sous la forme d’activités motivantes et à organiser de véritables compétitions internationales. De nombreux sportifs et entraîneurs lui ont depuis emboîté le pas, enrichissant cette aventure de leurs accomplissements, jusqu’à en faire l’immense source de fierté que représente aujourd’hui le sport paralympique.
« En peu de temps, notre mouvement a gagné en crédibilité, en reconnaissance et en appui. Aujourd’hui, nous pouvons vraiment affirmer qu’une médaille paralympique a le même poids qu’une médaille olympique. » Chantal Petitclerc, préfacière
Ce qu’on en dit
« Des origines avant tout médicales du mouvement en Angleterre après la Seconde Guerre mondiale, Au-delà des limites raconte son évolution vers une discipline sportive à part entière, accordant évidemment une place de choix au Québec. […] Très complet et abondamment illustré, [l’ouvrage] ne fait pas l’économie des débats et controverses qui ont marqué le sport adapté au fil des années. » Simon Drouin, La Presse +
« J’ai plongé là-dedans avec beaucoup de plaisir. […] On apprend une tonne de choses. » Isabelle Craig, Médium Large, Radio-Canada
Ce qu’on en dit
« L’auteur canadien Trevor Cole signe une satire décoiffante à l’humour noir, très noir. » Monique Roy, Châtelaine
« Un roman canadien dont l’humour noir est absolument irrésistible. » Coup de pouce
« Coup de génie ! L’Eugénie pratique est d’une effroyable lucidité. Le courage d’Eugénie nous trouble et, heureusement pour nos amies, peu d’entre nous saurons manifester autant d’altruisme. […] Accro, on ne peut se détacher du fil du suspense. » Nathalie Thibault, Club de lecture Châtelaine
« Le style est vivant, le rythme, soutenu, admirablement rendu par la traductrice. Quand on a l’impression que l’ouvrage a été écrit directement en français, qu’aucune fausse note ne gâche notre plaisir, c’est que la traduction est réussie, et Rachel Martinez a fait ici de l’excellent travail. » Hélène Rioux, Lettres québécoises