FILM NOIR À ODESSA
$9.95Traduit de l’anglais (Irlande) par Jean Esch
URSS, 1937 – L’inspecteur Korolev, des affaires criminelles, est tiré du lit en pleine nuit, à l’heure où un citoyen peut craindre de partir pour ne plus jamais revenir. C’est à Odessa, en mission confidentielle, qu’on l’envoie pour enquêter sur le présumé suicide d’une jeune femme un peu trop liée à un haut dirigeant du Parti. Korolev débarque dans une Ukraine ravagée par les politiques de Staline, décor parfait pour La Prairie ensanglantée, le film scénarisé par son ami Babel. Bien malgré lui, il se retrouve aussi mêlé aux embrouilles du « roi des Voleurs » de Moscou. Il lui faudra tout son sang-froid, et l’aide d’une jeune inspectrice de la Milice d’Odessa, pour démasquer les vrais ennemis de la Révolution sans y laisser sa peau.
Ce qu’on en dit
« Ryan nous entraîne au cœur d’une intrigue riche en suspense avec un personnage vulnérable et sympathique. » Norbert Spehner, La Presse
« L’œuvre qu’est en train de construire William Ryan vaut vraiment le détour. » Catherine Lachaussée, Radio-Canada
« En plus de réussir à nous tenir en haleine jusqu’à la fin, il nous permet de comprendre ce que les Ukrainiens ont vécu sous le régime stalinien. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal
GUÉRIR SANS GUERRE
$18.95Préface du Dr Jean Latreille
Guérir sans guerre propose des pistes de réflexion pour reconnaître ses rêves, ses talents, son pouvoir, se réconcilier avec son passé et ses cicatrices, retrouver qui l’on est vraiment. Il incite à faire confiance au guérisseur en soi, car la santé du corps passe par la santé de la tête.
La réaction courante face au cancer est la déclaration de guerre. Johanne Ledoux a plutôt choisi de guérir sans se battre. Après six mois, il n’y avait plus de trace de la maladie. Depuis seize ans, elle partage son expérience de la guérison. En 2000, elle a rassemblé les réflexions, les perspectives, les approches qui l’ont soutenue dans sa démarche, car « le chemin parcouru par l’un peut parfois inspirer l’autre ». Pas de recettes magiques, mais une proposition quotidienne : une citation, une pensée, une intention pour alimenter le désir de guérir. Pas une solution mais un outil, un petit vade-mecum à traîner, aussi bien dans sa poche de pyjama que dans son sac à main, à la maison qu’à l’hôpital. Un bâton de pèlerin sur lequel s’appuyer, le temps d’une courte page, lorsque l’espoir menace de flancher.
Collection « Advenir »
Ce qu’on en dit
« Ce livre peut donner un souffle nouveau à ceux qui ont à affronter ce terrible ennemi qu’est le cancer. » Michelle Coudé-Lord, Le Journal de Montréal
« Le livre de Johanne Ledoux est une invitation à se responsabiliser en se donnant les moyens de mettre en œuvre un processus de guérison, de sortir de la victimisation, de l’auto-violence, de la peur et des croyances mortifères. » Jacques Salomé
« Un livre simple et inspirant tout en petits tableaux, en courts récits, en beaux moments de réflexion. Un livre qui invite à plonger au cœur de soi-même et donne envie de guérir pour vivre mieux, qu’on soit malade ou non. » Suzanne Décarie, Coup de pouce
LE ROYAUME DES VOLEURS
$9.95Traduit de l’anglais (Irlande) par Jean Esch
MOSCOU, 1936 – À l’aube des Grandes Purges de Staline, le cadavre mutilé d’une jeune femme est retrouvé sur l’autel d’une église désaffectée. L’inspecteur Korolev, chef de la 4×4 foot jeux de sport section criminelle de la Milice locale, est chargé d’enquêter. Mais dès qu’il comprend que la victime était américaine, le NKVD, la très redoutée police secrète, s’en mêle, épiant ses moindres gestes. Résolu à tout risquer pour découvrir qui se cache derrière ce crime effroyable, Korolev pénètre dans le royaume des Voleurs, ces individus qui règnent sur la pègre moscovite et semblent les seuls à défier le joug du Parti.
À mesure que d’autres corps sont découverts, la pression venue d’en haut s’accentue et Korolev ne peut que se demander qui sont les véritables criminels dans cette Union soviétique où prédominent la peur, la faim et l’incertitude.
Ce qu’on en dit
« Cette première enquête de l’inspecteur Korolev plonge le lecteur dans l’atmosphère de conjuration qui baigne le Moscou des années 1930. » The Independent