Auteurs
  • FAIM DE VIVRE

    « Cuisiner pour quelqu’un est un acte d’amour, un don de soi, quel que soit le plat qu’on choisit de servir. C’est une façon de dire à la personne qui souffre, qui doit affronter les épreuves d’un traitement : “Je t’aime. Je suis là pour toi, tu peux compter sur moi.” »

    Quand le cancer s’invite à table, même un grand chef se sent démuni. Jérôme Ferrer l’a vécu lorsque Virginie, avec qui il s’apprêtait à fonder une famille, a appris qu’elle avait un cancer du poumon de stade 4. Plongé dans un combat injuste, il a affronté la maladie avec les armes qui sont les siennes : le plaisir de cuisiner des plats assaisonnés de souvenirs et de tendresse. Son témoignage est un récit touchant, une réflexion sur le pouvoir d’une simple recette de tomates farcies, une belle histoire d’accompagnement et un généreux hommage à la « faim de vivre » de ceux qui s’aiment.

    Faim de vivre trouvera un bel écho parmi tous ceux qui accompagnent une personne atteinte du cancer et se sentent impuissants à la soutenir.

    Ce qu’on en dit

    « [Jérôme Ferrer] raconte comment il a accompagné ce combat en montagnes russes, et ce que cela implique pour un aidant. » Denis Lévesque, TVA

    « Un livre à lire parce que je pense que ça peut aider et ça fait réfléchir beaucoup. » Paul Arcand, 98,5 FM

    « Un bel accompagnement pour des gens qui vivent le deuil ou qui accompagnent quelqu’un vers la fin, ou pour quelqu’un qui vit ses derniers moments. Très émouvant. » Claudia Larochelle, RDI

    « Celui qui sait plus que personne qu’on peut tout perdre et tout recommencer se raconte dans un livre libérateur. Une expérience partagée, pour qu’elle puisse en aider d’autres. » Manon Chevalier, Le Bel Âge

    $22.95
  • TRENTE ARPENTS

    Charis Moisan mène une bonne vie de paysan prospère lorsque le malheur entre dans sa vie à cause d’un lopin d’érablière cédé jadis à un voisin. Une terre qui va s’en aller par pelletées, chargée sur des camions. Cela, Moisan ne le veut pas ! Il va affronter la grande ville, les avocats, perdre son procès et, fou de rage et de désespoir, repartir en guerre pour ses trente arpents bien-aimés, trop aimés.

    Format poche

    Ce qu’on en dit

    « Trente arpents, c’est, à mon sens, le plus grand roman écrit au Québec. […] C’est le meilleur. » Denys Arcand, Du côté de chez Catherine

    Prix

    • Prix du Gouverneur général

    • Prix de l’Académie française

    • Prix des Vikings

    • Prix de la province de Québec

    $11.95