Auteurs
  • DES GLAÇONS COMME DU VERRE

    Quand il croise Belle à la manufacture de raquettes où il travaille, Henri devine qu’elle sera la femme de sa vie, mais pas tout de suite. Il est Huron, elle est beauceronne. La musique les unira en leur temps. De leur mariage naîtront cinq garçons et cinq filles. Leur vie, rythmée par les saisons et le territoire, sera bousculée par la maladie et les déchirements à une époque où le ministère des Affaires indiennes avait le bras trop long au sein des communautés autochtones. À coup d’espoir, même fragile comme du verre, se brisant parfois en mille morceaux, Liliane, l’aînée, se battra pour protéger sa fratrie et trouver le chemin de la vérité.

    Isabelle Picard s’est inspirée de son histoire familiale, ancrée dans un épisode troublant de l’histoire canadienne : la rafle des années soixante, ou l’enlèvement à grande échelle d’enfants autochtones au Canada à partir de 1951. Ce roman bouleversant dresse avec pudeur et nuance le portrait lumineux de trois générations désunies par la force, mais déterminées à prouver que les liens du sang, surtout ceux de l’âme, peuvent transcender les déchirures du passé.

    $29.95
  • NINANIMISHKEN : JE MARCHE CONTRE LE VENT

    Issu d’un peuple nomade, Florent Vollant a déroulé sa vie en marchant aux côtés de Justin Kingsley. Le livre s’articule autour de trois périodes d’isolement : le pensionnat à 5 ans, la prison à 18 ans, l’hôpital à 61 ans. Ce récit chuchoté, imprégné des images et mythes de sa culture innue millénaire, offre un témoignage poignant sur les pensionnats et les conséquences de la délocalisation forcée dans les réserves. Un petit xylophone et une chorale ouvriront les portes de la musique à cet élève brillant, aux prises avec une quête d’identité qui marquera l’homme et l’artiste en devenir. Si Florent s’est toujours trouvé face au vent, souvent happé par les tornades (kastin, en innu), les leçons qu’il en a tirées lui ont permis d’avancer. Il nous révèle ses valeurs fondamentales, confie ses amitiés musicales avec les trois Richard (Richard Séguin, Richard Desjardins et Zachary Richard) et sa relation tumultueuse avec Claude McKenzie, avec qui il a formé le duo Kashtin, premier groupe autochtone de renommée internationale. Ardent défenseur de la nature, ambassadeur des Premières Nations et mentor auprès des jeunes, Florent Vollant souhaite, avec ce livre notamment, contribuer à la réconciliation des peuples.

    Ce qu’on en dit

    « Un livre généreux. Un livre essentiel. […] Il y a des images qui nous bouleversent et qui nous habitent longtemps après la lecture. » Émilie Perreault, Il restera toujours la culture, ICI Radio-Canada Première

    « Florent, j’ai appris plein de choses dans votre livre. […] Il y a des passages très émouvants. » Sophie Durocher, QUB radio (balado)

    « Florent Vollant raconte sa vie, sa famille, son enfance, ses bonheurs, ses écueils, ses réussites et ses bouts de vie difficiles dans un livre à lire absolument. » Marie-France Bornais, Le Journal de Québec

    $29.95
  • LE LIVRE DU DON

    Communicateur hors pair, Justin Kingsley s’est intéressé durant toute une année à la place et aux formes du don dans la société actuelle. Animé par la conviction que de précieuses vérités se cachent dans nos histoires très personnelles et uniques, il a interviewé des amis, un champion olympique, une rescapée du génocide rwandais ou même une dame assise près de lui dans l’avion. Son livre compose un récit percutant, souvent touchant, parfois désopilant et, par certains aspects, un peu choquant. Derrière le geste simple, universel et si humain de donner se profilent mille et un sentiments complexes. Car la beauté de l’acte n’exclut pas sa difficulté : donner, c’est recevoir, mais c’est aussi renoncer à une forme de réciprocité. On y croise une multitude de visages qui nous confient leurs histoires : donner la vie ou donner la mort ; offrir sa virginité ou sa bénédiction ; planifier ou questionner son don ; transmettre au suivant un café ou une robe de mariée. Sans jamais sombrer dans le pessimisme ou le cynisme, l’auteur déboulonne nos idées préconçues sur la bonté, la générosité et l’altruisme dans cet ouvrage dont pas un mot n’a été inventé.

    Ce qu’on en dit

    « On peut tous faire un don significatif, on peut tous changer les choses. C’est un peu ça que le livre nous laisse… », Jhade Montpetit, Les malins, R.-C. Ottawa

    « Il y a toutes sortes de façons de donner et je suis certaine que ce livre-là va vous transformer. » Isabelle Racicot, Canal Vie

    « 26 histoires de gens qui se donnent de différentes manières. » Fabrice Vil, Entrée principale, R.-C.

    $24.95
  • BEST-SELLER

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Julie Sibony

    Arthur Pfefferkorn est un professeur d’université aux ambitions littéraires avortées. Lorsque son plus vieil ami, l’auteur de best-sellers William de Nerval, disparaît en mer, des sentiments troubles refont surface. Pfefferkorn se considérait comme l’écrivain, mais de Nerval a tout raflé : la fortune, la gloire, et même la belle Carlotta dont il était si profondément épris. Quand la veuve se rapproche de lui, la tentation est grande de faire main basse sur le dernier manuscrit du disparu. Ce plagiat déclenche une succession d’événements surréalistes qui l’entraînent dans un univers de duplicité et d’intrigues où l’on ne peut faire confiance à personne… ni surtout rien prendre au sérieux. Qu’arrive-t-il lorsqu’un écrivain touche le fond de sa désillusion ? Aux mains des services secrets, jusqu’où peut s’étendre le pouvoir d’un manuscrit ? Un thriller rocambolesque et satirique sur la puissance de l’imagination, les difficultés de l’écriture et la perversité du succès.

    Ce qu’on en dit

    « Un des auteurs de suspense les plus talentueux du moment […]. Un thriller satirique, drôle, hautement addictif. » Marie-France Bornais, Le Journal de Québec / Le Journal de Montréal

    « Jesse Kellerman a beaucoup de talent. » René Homier-Roy, Radio-Canada

    $9.95
  • GSP : LE SENS DU COMBAT

    Avec Justin Kingsley

    Traduit de l’anglais (Canada) par Rachel Martinez

    Le plus grand atout du Québécois Georges St-Pierre n’est ni sa force ni ses qualités athlétiques, mais plutôt sa profonde détermination. Il a découvert le karaté alors qu’il n’était qu’un petit garçon victime d’intimidation et, par la suite, il n’a jamais abandonné son ambition de devenir le plus grand athlète en arts martiaux mixtes de tous les temps. GSP a gravi un à un les échelons. Après avoir acquis une renommée internationale à titre de champion de l’Ultimate Fighting Championship (UFC), il a été contraint de quitter l’arène pour guérir d’une grave blessure. Comme toutes celles qu’il a dû surmonter, cette épreuve, qui aurait pu anéantir sa carrière, lui a surtout appris à voir en chaque obstacle une occasion de forger son caractère.

    Selon Georges St-Pierre, la vie dans son ensemble est une compétition et il n’en existe pas de métaphore plus éloquente que le parcours d’un combattant. Dans son ouvrage, il explique à cœur ouvert la valeur de la discipline, du risque et même de la peur avec la sagesse d’un homme qui sait que rien n’est acquis : le prochain combat pourrait toujours être le dernier. Il s’inspire de la philosophie orientale, d’athlètes légendaires et d’un cercle restreint de gens de confiance. Éclairé en contrepoint par leur regard, ce livre est un guide qui pourrait transformer la vie du lecteur et l’aider à trouver des moyens d’atteindre ses objectifs les plus ambitieux.

    Postface de Justin

    Ce qu’on en dit

    « Le livre sur les réflexions de Georges St-Pierre est exceptionnel. […] Avec des anecdotes qui rendent le tout passionnant. »
    Réjean Tremblay, Le Journal de Montréal

    « GSP le guerrier se dévoile. » Diane Sauvé, Radio-Canada

    « Le sens du combat raconte le long chemin qui l’a mené au sommet : l’intimidation, la pauvreté, la détermination. » Gabriel Béland, La Presse

    $29.95
  • BEAU PARLEUR

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Julie Sibony

    Tout va mal dans la vie de Joseph Geist. Il est fauché, sa thèse de philosophie patine depuis des lustres et sa petite amie vient de le mettre à la porte. Alors qu’il frôle le désespoir, une annonce dans un journal retient son attention : « Cherche quelqu’un pour heures de conversation. » Un boulot de rêve pour Joseph ! Parler, c’est ce qu’il fait le mieux et Alma Spielmann s’avère l’employeuse idéale : vieille dame raffinée, érudite et généreuse qui l’invite même à loger dans sa somptueuse demeure. Seule ombre au tableau, Eric, son neveu bien-aimé, un jeune homme paumé, énigmatique et manipulateur que Joseph prend en grippe instantanément. Pourtant, il est loin de se douter des conséquences néfastes que les manigances d’Eric auront sur le restant de ses jours.

    Ce qu’on en dit

    « Éblouissant ! » The New York Times

    « Très, très bon. Jesse Kellerman a beaucoup de talent. […] On est toujours dans l’histoire et on a vraiment envie de se rendre à la fin. » René-Homier-Roy, Radio-Canada

    « Un polar philosophique et cérébral, vraiment atypique, sur le libre arbitre et la corruption de conscience. » Lisanne Rheault-Leblanc, 7 Jours

    $9.95
  • JUSQU’À LA FOLIE

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Julie Sibony

    Dans une rue sombre de Manhattan, très tard dans la nuit, une jeune femme est agressée par un homme armé d’un couteau. Jonah, un étudiant en médecine surmené, vole à son secours et tue accidentellement l’agresseur. Pendant que les médias font de lui un héros, le procureur s’interroge sur son geste. La victime, quant à elle, veut retrouver son sauveur et tient à lui manifester sa reconnaissance. Les événements s’enchaînent et Jonah est entraîné dans une spirale terrifiante. S’il est vrai qu’aucune mauvaise action ne demeure impunie, le châtiment de Jonah ne fait que commencer.

    Ce qu’on en dit

    « Angoissant au cube ! Quelque chose comme Basic Instinct et Fatal Attraction, mais transposé dans la vie d’un étudiant en médecine surmené. » Marie-Christine Blais, La Presse

    « Jesse Kellerman a un talent remarquable. […] Je vous le conseille vraiment. » René-Homier Roy, Radio-Canada

    « Ce thriller est tellement haletant qu’on ne peut faire autrement que de le dévorer à la vitesse grand V. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

    $9.95