Auteurs
  • UNE PORTE AU FOND DE LA FORÊT

    « Ce qui est imaginaire ne doit pas être confondu avec ce qui n’existe pas. »

    De retour à Montréal, Paul Tremblay découvre une ville envahie par d’étranges petits crabes noirs où les enfants plongent sans raison dans un profond sommeil… Intrigué, le détective se mêle à l’enquête et interroge le médecin qui tente d’élucider cette curieuse épidémie. Un livre trouvé à l’hôpital le conduit jusqu’à Clémence Gripari, une jeune femme qui a repris les rênes de la bouquinerie de son père et rêve de voir lextraordinaire surgir au cœur de son existence. Des pages d’un album rare à l’épais feuillage d’une forêt des Laurentides, jusqu’où ce mystère les conduira-t-il ?

    Ce qu’on en dit

    « Une réflexion sur l’imaginaire. […] Une vraie lettre d’amour à tous les raconteurs. […]. Ce roman se lit vraiment, vraiment très bien. Ça m’a vraiment ravie. Certainement un auteur dont je vais suivre la trajectoire. Un premier essai très réussi. » Karyne Lefebvre, Pénélope, Radio-Canada

    $27.95
  • CEUX QUI FONT LES RÉVOLUTIONS À MOITIÉ N’ONT FAIT QUE SE CREUSER UN TOMBEAU

    Constatant l’échec du Printemps Érable, qu’adviendrait-il si quatre jeunes refusaient de renoncer à leurs idéaux et de rentrer dans le rang ? Porté par un idéal révolutionnaire qui transcende la crise qui a fracturé le Québec en 2012, le film de Mathieu Denis et Simon Lavoie oppose délibérement l’audace à la raison consensuelle. Dans son propos comme dans sa forme, il ne laissera personne indifférent.

    Ce qu’on en dit

    « Il y a de fortes chances que cet objet étrange et percutant devienne un film culte. » Nathalie Petrowski, La Presse

    « On n’avait pas vu un film québécois aussi artistiquement et intellectuellement ambitieux depuis des lustres. » Chantal Guy, Le Soleil

    « Le film dérange et bouscule, et le livre est un complément utile à la compréhension du message. » Jacques Lanctôt, Le Journal de Montréal

    « Le scénario déborde le Printemps érable, englobant l’idée même de révolte et certaines critiques de la société québécoise, de la complaisance et des pièges de la modernité. » T’cha Dunlevy, Montreal Gazette

    Prix

    Prix du meilleur film canadien au TIFF (Toronto)

    $18.95