« Ce qui est imaginaire ne doit pas être confondu avec ce qui n’existe pas. »
De retour à Montréal, Paul Tremblay découvre une ville envahie par d’étranges petits crabes noirs où les enfants plongent sans raison dans un profond sommeil… Intrigué, le détective se mêle à l’enquête et interroge le médecin qui tente d’élucider cette curieuse épidémie. Un livre trouvé à l’hôpital le conduit jusqu’à Clémence Gripari, une jeune femme qui a repris les rênes de la bouquinerie de son père et rêve de voir l’extraordinaire surgir au cœur de son existence. Des pages d’un album rare à l’épais feuillage d’une forêt des Laurentides, jusqu’où ce mystère les conduira-t-il ?
Ce qu’on en dit
« Une réflexion sur l’imaginaire. […] Une vraie lettre d’amour à tous les raconteurs. […]. Ce roman se lit vraiment, vraiment très bien. Ça m’a vraiment ravie. Certainement un auteur dont je vais suivre la trajectoire. Un premier essai très réussi. » Karyne Lefebvre, Pénélope, Radio-Canada
Ce qu’on en dit
« Trente arpents, c’est, à mon sens, le plus grand roman écrit au Québec. […] C’est le meilleur. » Denys Arcand, Du côté de chez Catherine