Photos de Jacques Nadeau
Chaque vendredi depuis 20 ans, « le jour le plus délinquant de la semaine », Josée Blanchette offre aux lecteurs du Devoir sa chronique inspirée par l’air du temps (Zeitgest). L’esprit vif et la plume alerte, elle tisse des liens entre les personnalités qu’elle rencontre, ses lectures et ses préoccupations très personnelles, qui font étrangement écho aux nôtres. Ce recueil, illustré des images de son fidèle complice, le photographe Jacques Nadeau, entremêle les sujets tabous qu’elle affectionne : du sexe au mariage, en passant par le deuil, les hommes qu’elle scrute avec une tendre impertinence, son propre personnage de femme et de mère, et toutes sortes de petites expériences qui font le sel de la vie.
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Ce qu’on en dit
« Un bouquin que je trouve fascinant. […] Une écriture très personnelle, très chatoyante, très juste… » René Homier-Roy, Radio-Canada
« Un portrait impressionniste de Josée Blanchette, que l’on apprivoise, devine puis cerne, un peu, du moins, à travers ses multiples questionnements, dadas et préoccupations. » François Lévesque, Le Devoir
« Josée Blanchette prête une plume légère aux idées profondes. Sensuelle, coquine ou tragique, elle est toujours ancrée dans le vivant. Et c’est pour ça que je l’aime. » Anaïs Barbeau-Lavalette
Ce qu’on en dit
« Il y a de fortes chances que cet objet étrange et percutant devienne un film culte. » Nathalie Petrowski, La Presse
« On n’avait pas vu un film québécois aussi artistiquement et intellectuellement ambitieux depuis des lustres. » Chantal Guy, Le Soleil
« Le film dérange et bouscule, et le livre est un complément utile à la compréhension du message. » Jacques Lanctôt, Le Journal de Montréal
« Le scénario déborde le Printemps érable, englobant l’idée même de révolte et certaines critiques de la société québécoise, de la complaisance et des pièges de la modernité. » T’cha Dunlevy, Montreal Gazette