Auteurs
  • CEUX QUI FONT LES RÉVOLUTIONS À MOITIÉ N’ONT FAIT QUE SE CREUSER UN TOMBEAU

    Constatant l’échec du Printemps Érable, qu’adviendrait-il si quatre jeunes refusaient de renoncer à leurs idéaux et de rentrer dans le rang ? Porté par un idéal révolutionnaire qui transcende la crise qui a fracturé le Québec en 2012, le film de Mathieu Denis et Simon Lavoie oppose délibérement l’audace à la raison consensuelle. Dans son propos comme dans sa forme, il ne laissera personne indifférent.

    Ce qu’on en dit

    « Il y a de fortes chances que cet objet étrange et percutant devienne un film culte. » Nathalie Petrowski, La Presse

    « On n’avait pas vu un film québécois aussi artistiquement et intellectuellement ambitieux depuis des lustres. » Chantal Guy, Le Soleil

    « Le film dérange et bouscule, et le livre est un complément utile à la compréhension du message. » Jacques Lanctôt, Le Journal de Montréal

    « Le scénario déborde le Printemps érable, englobant l’idée même de révolte et certaines critiques de la société québécoise, de la complaisance et des pièges de la modernité. » T’cha Dunlevy, Montreal Gazette

    Prix

    Prix du meilleur film canadien au TIFF (Toronto)

    $18.95
  • L’OMBRE DE LA MONTAGNE

    Traduit de l’anglais (Australie) par Laurent Barucq

    Avec Shantaram, des millions de lecteurs découvraient l’incroyable épopée de Lin, fugitif australien travaillant pour la mafia de Bombay comme faussaire de passeports. Deux ans ont passé et Lin a perdu les deux personnes les plus chères à son cœur : Khaderbhai, son père de substitution, et l’amour de sa vie, Karla, mariée à un magnat de la presse. Dans L’Ombre de la montagne, suite très attendue, Lin doit se frayer un chemin dans les bas-fonds de Bombay, où une nouvelle guerre de gangs fait rage. Les chefs de la mafia sont mêlés à des intrigues toujours plus violentes et un vieil homme mystique remet en cause tout ce que Lin a appris sur l’amour et la vie. Parcours initiatique au rythme effréné, le nouveau roman de Roberts nous fait découvrir une galerie de personnages inoubliables qui survivent dans une Inde aux multiples visages.

    Ce qu’on en dit

    Parmi « les œuvres de fiction qui feront la saison littéraire ». Josée Lapointe, La Presse

    « Tous ceux qui ont dévoré Shantaram […] seront sûrement heureux d’en découvrir la suite. Car depuis 2003, la vie de Gregory David Roberts – alias Lin Ford – n’a jamais cessé de dépasser la fiction. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

    « Lin, un fugitif australien, est encore plus plongé dans l’univers de la pègre de Bombay. Cette ville devient le reflet de son âme tourmentée. » Andréanne Chevalier, Journal Métro

    $38.95
  • JE NE SAIS PAS PONDRE L’OEUF, MAIS JE SAIS QUAND IL EST POURRI

    Essai, récit, exercice de réflexion, ce travail journalistique minutieusement documenté aborde la question du cancer à travers l’expérience personnelle de Josée Blanchette et les témoignages qu’elle a reçus. Cette enquête sur un sujet majeur donne la parole à de nombreux spécialistes lucides et parfois critiques. L’auteure remet en question les accointances entre l’oncologie et les compagnies pharmaceutiques, effectue une incursion en médecine intégrative et propose des pistes de prévention et de postvention. Au cœur de sa démarche, elle place le discernement de chaque personne et son pouvoir d’agir.

    Préface du Dr Jean Rochon

    Ce qu’on en dit

    « Le message de Josée Blanchette, dans son livre et à la télé, se résume ainsi : “Informez-vous et posez des questions
    à votre médecin”. » Sophie Durocher, Le Journal de Montréal

    « Un plaidoyer solide. […] Je crois que personne ne restera
    indifférent. » Dr Jean Rochon, préfacier, ex-ministre de la Santé

    « Super intéressant. […] Un travail de recherche, de journaliste. […] Tu vas provoquer une controverse. » Paul Arcand, 98,5 FM

    $26.95
  • SANS MÉNAGEMENT

    Photos de Jacques Nadeau

    Chaque vendredi depuis 20 ans, « le jour le plus délinquant de la semaine », Josée Blanchette offre aux lecteurs du Devoir sa chronique inspirée par l’air du temps (Zeitgest). L’esprit vif et la plume alerte, elle tisse des liens entre les personnalités qu’elle rencontre, ses lectures et ses préoccupations très personnelles, qui font étrangement écho aux nôtres. Ce recueil, illustré des images de son fidèle complice, le photographe Jacques Nadeau, entremêle les sujets tabous qu’elle affectionne : du sexe au mariage, en passant par le deuil, les hommes qu’elle scrute avec une tendre impertinence, son propre personnage de femme et de mère, et toutes sortes de petites expériences qui font le sel de la vie.

    facebook.com/sansmenagement

    Ce qu’on en dit

    « Un bouquin que je trouve fascinant. […] Une écriture très personnelle, très chatoyante, très juste… » René Homier-Roy, Radio-Canada

    « Un portrait impressionniste de Josée Blanchette, que l’on apprivoise, devine puis cerne, un peu, du moins, à travers ses multiples questionnements, dadas et préoccupations. » François Lévesque, Le Devoir

    « Josée Blanchette prête une plume légère aux idées profondes. Sensuelle, coquine ou tragique, elle est toujours ancrée dans le vivant. Et c’est pour ça que je l’aime. » Anaïs Barbeau-Lavalette

    $26.95
  • SHANTARAM

    SHANTARAM
    Gregory David Roberts
    Australie, 1980. Lin s’évade de prison, et atterrit sous une fausse identité dans les rues fourmillantes de Bombay, où il espère disparaître. Il pénètre peu à peu le monde secret de la « ville dorée », où se côtoient prostituées et religieux, soldats et acteurs, mendiants et gangsters. Fugitif sans famille, Lin cherche inlassablement à donner un sens à sa vie, d’abord en improvisant un dispensaire dans un bidonville, puis à l’échec de celui-ci en faisant ses premières armes dans la mafia de Bombay. Cette quête le conduira jusqu’à la guerre, à la prison et ses tortures, et à une série de trahisons sanglantes. Puis à la rédemption, enfin. Mais les clés du destin de Lin se trouvent entre les mains de son mentor, Khader Khan, parrain de la mafia, à la fois criminel, saint et philosophe, et surtout de Karla, femme mystérieuse, belle et dangereuse dont Lin tombe follement amoureux. Ce roman épique nous plonge dans une Inde fascinante et marque l’entrée en littérature d’une voix extraordinaire.-

    Thriller | 880 pages | 15,2 x 24 cm | 36,95 $ (papier)

    7 février 2007

    ISBN : 978-2-89007-319-6

    Ce qu’on en dit
    « Un pavé littéraire qui vous happe dès les premières lignes et qui ne vous lâche plus. » Christian Desmeules, Le Devoir

    « Un roman-fleuve fascinant et doté d’un humanisme rare. » Éric Paquin, Voir

    « Un récit captivant que d’aucuns qualifient déjà de chef-d’œuvre. » Karine Vilder, Femme Plus

    $36.95
  • JE NE SUIS PLUS UNE OIE BLANCHE…

    Avec la collaboration de Caroline-Julie Fortin
    Photos de Dominique Lafond

    Depuis 2005, Josée Blanchette offre aux lecteurs de son blogue une généreuse incursion dans son intimité. Des moments du quotidien qu’on croit banals et qui finissent par ressembler à de la poésie. Des petits récits étonnants, inspirants, et toujours empreints de cet humour qui empêche de se supprimer ! On glisse, l’air de rien, de la provocation étudiée à la philosophie avec son fils, de ses réflexions acides à ses pâmoisons de jouvencelle sur l’amour, d’un party à Westmount squatté en toute lucidité aux épreuves qui font grandir.

    Agrémenté de quelques billets inédits, le livre est illustré de photos de Dominique Lafond prises, pour la plupart, chez l’auteure.

    Illustré de photos

    Ce qu’on en dit

    « On la retrouve telle qu’on la connaît, célibataire en série, épicurienne, maman last call plutôt comblée, confidente qu’on voudrait toutes avoir, avec ce brin de folie qui fait toute la différence. C’est bien tant mieux qu’elle ne soit plus une oie blanche… » Chantal Guy, La Presse

    $28.95