Remède littéraire
Recommandé par les professionnels
du CHU de Québec-Université Laval
Préface du Dr Pierre Audet-Lapointe, fondateur de la Coalition Priorité au Cancer au Québec
« Pour guérir, je dois être toujours positif et je n’y arrive pas ! » La pensée positive en vogue ces dernières années ouvre la porte à la culpabilisation et à bien d’autres émotions négatives. Prenant le contrepied de cette approche, Josée Savard propose d’aborder le cancer suivant la pensée réaliste qui favorise l’adaptation de la personne à la maladie en l’amenant à percevoir sa situation telle qu’elle est, tout en espérant que le meilleur survienne. Cette approche est basée sur les préceptes de la thérapie cognitive-comportementale, celle qui a reçu le plus de preuves scientifiques quant à son efficacité.
Tous les aspects psychologiques liés au diagnostic et au traitement du cancer sont analysés en profondeur : la culpabilité et la dépression, l’anxiété et la peur de la récidive, la colère, l’insomnie, la fatigue et la peur de la mort. L’auteur offre des stratégies concrètes et des conseils pratiques afin de diminuer la détresse psychologique et d’améliorer la qualité de vie.
Ce qu’on en dit
« Un immense pavé dans la mare d’une théorie qui a fait de nombreux adeptes. » Denis Méthot, L’actualité médicale
« Des stratégies pratiques pour s’adapter à la maladie. » Sophie Allard, La Presse
« Enfin. Pas la pensée positive, la pensée réaliste ! Merci ! » Christiane Charette, Radio-Canada
Ce qu’on en dit
« [Un] ouvrage capable de captiver tant le spécialiste que le grand public. » Normand Provencher, Le Soleil
« Un ouvrage superbe, accompagné d’une éblouissante iconographie […] qui se présente sous la forme de dix mini-biographies faisant la part belle à une poignée de ces “remarquables oubliés”… » Louis Hamelin, Le Devoir
« Ces hommes [coureurs de bois] ont laissé une trace profonde, que l’historien s’attache à reconstituer, racontant leurs aventures dans une langue vivante et parfois romanesque. » Philippe Couture, Le Devoir
« Un grand récit ethnographique. » Magazine LIRE
« Après le livre, on n’attend plus que le film, qui serait un anti-western. » Libération
«Les images, les lieux, les hommes, les femmes, les Canayens, les Innus dépeints par [Gilles] Havard et Serge Bourchard, leurs patenteux, leurs aventuriers, resteront dans la mémoire de leurs lecteurs.» Marie-France Bazzo, L’Actualité
« Gilles Havard [offre] au lecteur un récit facile d’accès, vif, plaisant et fourmillant d’anecdotes, sans rien abdiquer cependant de la qualité interprétative qu’on lui connaissait déjà. » Sébastien Jahan, La vie des idées
« Collection d’essais biographiques habilement tissés, L’Amérique fantôme est aussi la démonstration de la proximité entre le meilleur de l’écriture historique et l’art du roman. […] En somme, la richesse des informations partagées dans ce livre savant est réellement stupéfiante et comble de nombreuses lacunes dans les connaissances actuelles . » Benjamin Hoffmann, The Ohio State University