Auteurs
  • GSP : LE SENS DU COMBAT

    Avec Justin Kingsley

    Traduit de l’anglais (Canada) par Rachel Martinez

    Le plus grand atout du Québécois Georges St-Pierre n’est ni sa force ni ses qualités athlétiques, mais plutôt sa profonde détermination. Il a découvert le karaté alors qu’il n’était qu’un petit garçon victime d’intimidation et, par la suite, il n’a jamais abandonné son ambition de devenir le plus grand athlète en arts martiaux mixtes de tous les temps. GSP a gravi un à un les échelons. Après avoir acquis une renommée internationale à titre de champion de l’Ultimate Fighting Championship (UFC), il a été contraint de quitter l’arène pour guérir d’une grave blessure. Comme toutes celles qu’il a dû surmonter, cette épreuve, qui aurait pu anéantir sa carrière, lui a surtout appris à voir en chaque obstacle une occasion de forger son caractère.

    Selon Georges St-Pierre, la vie dans son ensemble est une compétition et il n’en existe pas de métaphore plus éloquente que le parcours d’un combattant. Dans son ouvrage, il explique à cœur ouvert la valeur de la discipline, du risque et même de la peur avec la sagesse d’un homme qui sait que rien n’est acquis : le prochain combat pourrait toujours être le dernier. Il s’inspire de la philosophie orientale, d’athlètes légendaires et d’un cercle restreint de gens de confiance. Éclairé en contrepoint par leur regard, ce livre est un guide qui pourrait transformer la vie du lecteur et l’aider à trouver des moyens d’atteindre ses objectifs les plus ambitieux.

    Postface de Justin

    Ce qu’on en dit

    « Le livre sur les réflexions de Georges St-Pierre est exceptionnel. […] Avec des anecdotes qui rendent le tout passionnant. »
    Réjean Tremblay, Le Journal de Montréal

    « GSP le guerrier se dévoile. » Diane Sauvé, Radio-Canada

    « Le sens du combat raconte le long chemin qui l’a mené au sommet : l’intimidation, la pauvreté, la détermination. » Gabriel Béland, La Presse

    $29.95
  • L’AUTRUCHE CÉLESTE… CINQ ANS PLUS TARD

    Cinq années après qu’elle eut terminé – en des mots fort sereins – la rédaction de L’Autruche Céleste, le ciel tombait sur la tête de l’auteur. Affirmer avec autant de conviction être arrivée à s’affranchir de toute forme de drames était sans doute trop ambitieux au goût de son karma qui s’est chargé de la ramener sur terre, la faisant piquer du nez sur un sol complètement gelé. Ne restait plus qu’un tas de plumes inutiles. L’Autruche étant devenue incapable de faire appel à son sens de l’autodérision salvateur, ses enfants, à peine sortis d’une bruyante adolescence, se retrouvaient du jour au lendemain avec une maman inconnue dont l’activité principale se résumait à pleurer en regardant le plafond. Comme pour une dinde arrosée aux vingt minutes, ils se sont relayés afin de s’assurer que leur mère n’aurait pas l’idée subite de se mettre la tête dans le four… Et puis, tout doucement, les plumes ont repoussé, l’Autruche profitant de cette période hors service pour comprendre un peu plus la vie, faire la paix avec son karma (et autres irritants), réapprendre l’autodérision et, surtout, renouer avec l’inconscience, son alliée la plus précieuse.

    Ce qu’on en dit

    « Un livre plus grave […] où, encore une fois, l’humour tient lieu de véritable bouée de sauvetage. Marie-Claude Fortin, La Presse

    « Doclin risque de connaître le succès grâce à son humour tranchant et son sens de l’observation aiguisé. » Antoine Tanguay, Le Soleil

    $24.95
  • L’AUTRUCHE CÉLESTE

    Postface de Jocelyne Brousseau

    L’Autruche Céleste est une sémillante quadragénaire ayant réalisé que le drame n’est pas génétique, contrairement à ce que son père, l’Ex-Comte Transylvanien, affirmait. Fort de cette faculté de ne plus prendre au sérieux les aléas professionnels, amoureux, financiers, canins, ménagers ou plombiers, l’auteur nous entraîne dans un quotidien truffé d’éclats de rire derrière lesquels transparaît une grande profondeur. Ce récit-Prozac nous rappelle que, si on ne choisit pas ce qui arrive, on peut choisir comment y faire face. On ne s’embête pas avec la Mère Volaille et ses deux ados : Miss Vitriol qui claque les portes et Don Boutons, grand prédateur du garde-manger. Vierge selon les astres, divorcée de l’Ex-époux Clown Célèbre, propriétaire d’un duplex très, très hypothèqué, elle n’a plus peur de rien, car elle est devenue une autruche et adore la vie.

    Édition de poche

    Ce qu’on en dit

    « Un livre formidablement drôle et triste, touchant et tonique, aérien et libérateur. […] À lire impérativement. Bien-être garanti. » Monique Roy, Châtelaine

    « À la fois tonique et tragique, le parcours drôlement émouvant d’une fille pas banale. » Geneviève St-Germain

    « On ne peut s’empêcher de trouver cette autruche sympathique, de compatir à ses malheurs, de louer son courage et de rire non pas à ses dépens, mais avec elle. » Chantal Guy

    $13.95