Auteurs
  • LA FILLE QUI AIMAIT LES SCIENCES

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Lucile Débrosse

    Ce livre est une multitude. Il est une célébration du génie végétal qui changera à jamais votre façon de voir le monde. Il est le témoignage autobiographique intime et passionné d’une femme qui s’est battue pour devenir ce qu’elle est et s’imposer comme scientifique dans un monde dominé par les hommes. Il est aussi le portrait émouvant d’une indé-fectible amitié entre deux êtres surdoués et fragiles. La géobiologiste Hope Jahren y retrace son parcours, de ses premiers jeux dans le laboratoire de son père au Minnesota jusqu’à ses voyages de terrain avec Bill, son fidèle et brillant collègue, à travers les États-Unis, l’Irlande et la Norvège. Les histoires qu’elle raconte sont des preuves que la curiosité, le travail et l’enthousiasme peuvent déplacer des montagnes.

    Viscéral, lumineux et plein d’humour, c’est un plaidoyer pour l’environnement sous forme d’invitation à l’émerveillement et à la connaissance.

    « Chacun de nous est à la fois impossible et inévitable. Chaque arbre majestueux a d’abord été une simple graine qui a su attendre son heure. »

    VIDÉO : Hope Jahren nous parle de son livre

    Ce qu’on en dit

    « En racontant son expérience personnelle, mine de rien, elle touche à des enjeux sociaux comme la place des femmes dans la science. » Marie-Louise Arsenault, Plus on est de fous, plus on lit !

    « Hope Jahren est la voix que la science attendait… claire, convaincante et sans compromis. » Nature

    « Sincère, drôle, brillant. […] Jahren fait du genre autobiographique quelque chose de remarquable. » The Washington Post

    « Le grand plus de ce livre, c’est qu’il nous permet surtout d’en apprendre énormément sur les plantes et les arbres sans que ce soit pénible ou ennuyeux. Au contraire. L’un des récits autobiographiques les plus originaux qu’il nous ait été donné de lire. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

    « Un livre passionnant, servi par une écriture d’une grande limpidité et d’une grande accessibilité, souvent même portée par un souffle poétique. […] Remarquable à tous égards. » Yvon Poulin, Nuit blanche

    $29.95
  • DESIGN ?

    Ce livre est une invitation à regarder les choses autrement. Frédéric Metz explique comment le design influence notre vie quotidienne, souvent à notre insu. Pour mieux en saisir la définition, il présente des exemples concrets puisés dans notre environnement. Ainsi, en regardant de près une banale tasse blanche, on découvre qu’il y a 50 ans un designer réputé a pensé à ajouter en dessous trois petites encoches qui facilitent l’égouttement complet de l’eau à la sortie du lave-vaisselle. Une amélioration à peine perceptible qui montre que le bon design repose fréquemment sur d’infimes détails. Ces petites idées ingénieuses, basées sur de la simple logique, font toute la différence. Or, s’il y a de bons designs, il y a aussi de mauvais designs. Qui n’a pas cherché le bouton de sortie dans un ascenseur alors que la marche à suivre devrait être claire au premier coup d’œil ? Partout des indications contradictoires ou indéchiffrables nous font commettre des erreurs. Que ce soit un mode d’emploi, un panneau de signalisation ou un site web, les directives devraient être simples afin de nous procurer une expérience sans souci plutôt que frustrante. Résolument moderne, le design vise le travail bien fait, indémodable, intemporel, car un emballage attirant, un logo remarquable ou un objet conçu intelligemment ne perdent jamais de leur valeur. Le design améliore notre vie. Mieux : il la simplifie.

    Reliure souple, plus de 800 photos

    Ce qu’on en dit

    « Un livre EXTRAORDINAIRE ! » Catherine Perrin, Radio-Canada

    « Après avoir lu Design ?, vous ne verrez plus votre bouilloire de la même façon. » Jean-Christophe Laurence, La Presse

    « Frédéric Metz nous explique, de sa verve colorée, pourquoi le vrai design n’a souvent rien à voir avec les décors sophistiqués d’une blancheur immaculée. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

    $39.95
  • LÉGENDES

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Natalie Zimmermann

    Qui est vraiment Martin Odum ? Ancien de la CIA devenu détective privé, il est engagé par une jeune femme pour retrouver la trace de son beau-frère, russe émigré en Israël, sans la présence duquel, selon la loi religieuse juive, sa sœur ne peut pas divorcer. Mais au cours de sa recherche de ce personnage insaisissable et menaçant, Odum sera revisité par plusieurs de ses anciennes identités (« légendes », selon le jargon de la CIA), comme celles de Dante Pippen, expert en explosifs de l’armée républicaine irlandaise, et de Lincoln Dittmann, chercheur spécialiste de la Guerre de Sécession.

    D’un continent à l’autre, Odum s’expose à des dangers mortels sur un terrain qui se dérobe constamment sous ses pieds. Son labyrinthe intérieur se révélera aussi périlleux que le monde cruel de l’espionnage international. Sur un grand canevas et un rythme trépidant, Robert Littell déploie encore une fois tous ses talents de conteur inégalé.

    Ce qu’on en dit

    « Dans la foulée de l’extraordinaire Compagnie, monument autour du fonctionnement de la CIA, voilà [Robert Littell] qui reprend du service avec le savoureux Légendes. […] Vissé à son fauteuil, le lecteur n’en perd pas une miette. » Livres Hebdo

    « Littell nous livre une foule d’informations d’initié sur le monde des services secrets dans son superbe nouveau thriller, en y ajoutant une facette résolument comique. » Publishers Weekly

    « Dans cette double enquête, on s’égare avec le même plaisir que Littell a mis de virtuosité à bâtir ce labytinthe à la fois haletant et tragique » Paris Match

    * * * * * « Avec des auteurs comme Littell, le roman d’espionnage a encore de beaux jours devant lui. » Norbert Spehner, La Presse

    $29.95
  • PHILBY

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Cécile Arnaud

    1933. Hitler a commencé son ascension, et l’Europe tremble. Quelques mois après l’incendie du Reichstag, un jeune Anglais, tout juste sorti de Cambridge, part pour Vienne où il s’engage dans la lutte contre le fascisme. Face à la montée des périls, il épouse Litzi Friedman, juive et communiste, et la ramène en sécurité en Angleterre. À Londres, il est recruté par les services secrets soviétiques et puis, plus tard, par les Britanniques. Mais de quel côté vont vraiment ses sympathies ?

    Dans ce roman, on assiste aux débuts fascinants du maître espion Harold Adrian Russell Philby, dit Kim, le plus énigmatique, le plus insondable de ceux qu’on a appelés « les Cinq de Cambridge », qui seront démasqués comme agents soviétiques. Au sein d’une Europe envahie par le spectre de la guerre, c’est un Philby idéaliste qui pose cette interrogation lancinante : du communisme ou du fascisme, quel est le plus grand mal à combattre ? Avec son talent inimitable pour conjuguer Histoire et fiction, mêlant avec art figures historiques et personnages inventés, Robert Littell évoque ces heures critiques du XXe siècle.

    Ce qu’on en dit

    « Une lecture aussi réjouissante que divertissante. » Livres Hebdo

    « Dans un récit fort habilement mené […], Robert Littell avance une hypothèse audacieuse, mais pas totalement invraisemblable. Un agent double ne peut-il pas être en réalité un agent triple ? » Louis-Bernard Robitaille, La Presse

    $29.95