Auteurs
  • LE DERNIER MAGICIEN – Tome 2

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Corinne Daniellot

    LE DEUXIÈME VOLET D’UNE TRILOGIE MAGISTRALE.

    En utilisant son affinité pour remonter le temps et dérober le Livre des secrets, Esta croyait libérer les Mages de New York. Elle a plutôt découvert des mensonges, l’assassinat de ses parents et les terribles conséquences de chacun de ses gestes. Mais elle a rencontré Harte, le Magicien, et elle espère récupérer les Artéfacts pour contrôler le sombre pouvoir qui s’est emparé de son compagnon. D’une explosion de train à la magie sulfureuse d’un groupuscule anarchiste, leur quête les entraîne à Saint-Louis, enfiévré par l’Exposition universelle de 1904. En parallèle, Jianyu et Viola, leurs anciens compagnons, doivent poursuivre le combat à New York : contre l’Ordre, les gangs mafieux et des traîtres d’un autre temps…

    $34.95
  • LE DERNIER MAGICIEN – Tome 1

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Corinne Daniellot

    Le premier volet de cette trilogie magistrale,
    entré dans la liste des best-sellers du New York Times,
    vous tiendra en haleine jusqu’à la toute dernière page.

    New York, de nos jours. Les Mages vivent terrés dans Manhattan, piégés par une sombre barrière créée par l’Ordre. Nul ne peut la traverser sans mettre sa vie en péril. Sauf Esta, une jeune fille hors norme qui a le don de figer le temps et de voyager à travers les époques. Elle seule peut se rendre en 1902 pour empêcher le Magicien de se jeter du haut du pont de Brooklyn. Et pour voler l’Ars Arcana : le livre qui contient tous les secrets et pourrait sauver le futur.

    ÉPUISÉ

    Ce qu’on en dit

    « Le Dernier Magicien offre une intrigue riche en thèmes, en ramifications et en rebondissements, entraînant ses lecteurs dans le Manhattan du début du 20e siècle avec ses gangs, ses différentes classes sociales et son immigration massive. […] On ne s’ennuie pas une minute. […] La finale ne donne qu’une envie : lire la suite. » blogue de Sophielit.ca

     

    « Fluide et surprenant, ce livre vous plonge dans un univers de magie et de conspiration dans le New York du début du siècle. Lisa Maxwell éblouit la scène du fantastique avec cette intrigue à couper le souffle. » Laura Beaudoin, Les libraires

    $34.95
  • LA FILLE QUI AIMAIT LES SCIENCES

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Lucile Débrosse

    Ce livre est une multitude. Il est une célébration du génie végétal qui changera à jamais votre façon de voir le monde. Il est le témoignage autobiographique intime et passionné d’une femme qui s’est battue pour devenir ce qu’elle est et s’imposer comme scientifique dans un monde dominé par les hommes. Il est aussi le portrait émouvant d’une indé-fectible amitié entre deux êtres surdoués et fragiles. La géobiologiste Hope Jahren y retrace son parcours, de ses premiers jeux dans le laboratoire de son père au Minnesota jusqu’à ses voyages de terrain avec Bill, son fidèle et brillant collègue, à travers les États-Unis, l’Irlande et la Norvège. Les histoires qu’elle raconte sont des preuves que la curiosité, le travail et l’enthousiasme peuvent déplacer des montagnes.

    Viscéral, lumineux et plein d’humour, c’est un plaidoyer pour l’environnement sous forme d’invitation à l’émerveillement et à la connaissance.

    « Chacun de nous est à la fois impossible et inévitable. Chaque arbre majestueux a d’abord été une simple graine qui a su attendre son heure. »

    VIDÉO : Hope Jahren nous parle de son livre

    Ce qu’on en dit

    « En racontant son expérience personnelle, mine de rien, elle touche à des enjeux sociaux comme la place des femmes dans la science. » Marie-Louise Arsenault, Plus on est de fous, plus on lit !

    « Hope Jahren est la voix que la science attendait… claire, convaincante et sans compromis. » Nature

    « Sincère, drôle, brillant. […] Jahren fait du genre autobiographique quelque chose de remarquable. » The Washington Post

    « Le grand plus de ce livre, c’est qu’il nous permet surtout d’en apprendre énormément sur les plantes et les arbres sans que ce soit pénible ou ennuyeux. Au contraire. L’un des récits autobiographiques les plus originaux qu’il nous ait été donné de lire. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

    « Un livre passionnant, servi par une écriture d’une grande limpidité et d’une grande accessibilité, souvent même portée par un souffle poétique. […] Remarquable à tous égards. » Yvon Poulin, Nuit blanche

    $29.95
  • DESIGN ?

    Ce livre est une invitation à regarder les choses autrement. Frédéric Metz explique comment le design influence notre vie quotidienne, souvent à notre insu. Pour mieux en saisir la définition, il présente des exemples concrets puisés dans notre environnement. Ainsi, en regardant de près une banale tasse blanche, on découvre qu’il y a 50 ans un designer réputé a pensé à ajouter en dessous trois petites encoches qui facilitent l’égouttement complet de l’eau à la sortie du lave-vaisselle. Une amélioration à peine perceptible qui montre que le bon design repose fréquemment sur d’infimes détails. Ces petites idées ingénieuses, basées sur de la simple logique, font toute la différence. Or, s’il y a de bons designs, il y a aussi de mauvais designs. Qui n’a pas cherché le bouton de sortie dans un ascenseur alors que la marche à suivre devrait être claire au premier coup d’œil ? Partout des indications contradictoires ou indéchiffrables nous font commettre des erreurs. Que ce soit un mode d’emploi, un panneau de signalisation ou un site web, les directives devraient être simples afin de nous procurer une expérience sans souci plutôt que frustrante. Résolument moderne, le design vise le travail bien fait, indémodable, intemporel, car un emballage attirant, un logo remarquable ou un objet conçu intelligemment ne perdent jamais de leur valeur. Le design améliore notre vie. Mieux : il la simplifie.

    Reliure souple, plus de 800 photos

    Ce qu’on en dit

    « Un livre EXTRAORDINAIRE ! » Catherine Perrin, Radio-Canada

    « Après avoir lu Design ?, vous ne verrez plus votre bouilloire de la même façon. » Jean-Christophe Laurence, La Presse

    « Frédéric Metz nous explique, de sa verve colorée, pourquoi le vrai design n’a souvent rien à voir avec les décors sophistiqués d’une blancheur immaculée. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

    $39.95