Auteurs
  • L’OMBRE DE LA MONTAGNE

    Traduit de l’anglais (Australie) par Laurent Barucq

    Avec Shantaram, des millions de lecteurs découvraient l’incroyable épopée de Lin, fugitif australien travaillant pour la mafia de Bombay comme faussaire de passeports. Deux ans ont passé et Lin a perdu les deux personnes les plus chères à son cœur : Khaderbhai, son père de substitution, et l’amour de sa vie, Karla, mariée à un magnat de la presse. Dans L’Ombre de la montagne, suite très attendue, Lin doit se frayer un chemin dans les bas-fonds de Bombay, où une nouvelle guerre de gangs fait rage. Les chefs de la mafia sont mêlés à des intrigues toujours plus violentes et un vieil homme mystique remet en cause tout ce que Lin a appris sur l’amour et la vie. Parcours initiatique au rythme effréné, le nouveau roman de Roberts nous fait découvrir une galerie de personnages inoubliables qui survivent dans une Inde aux multiples visages.

    Ce qu’on en dit

    Parmi « les œuvres de fiction qui feront la saison littéraire ». Josée Lapointe, La Presse

    « Tous ceux qui ont dévoré Shantaram […] seront sûrement heureux d’en découvrir la suite. Car depuis 2003, la vie de Gregory David Roberts – alias Lin Ford – n’a jamais cessé de dépasser la fiction. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

    « Lin, un fugitif australien, est encore plus plongé dans l’univers de la pègre de Bombay. Cette ville devient le reflet de son âme tourmentée. » Andréanne Chevalier, Journal Métro

    $38.95
  • DESIGN ?

    Ce livre est une invitation à regarder les choses autrement. Frédéric Metz explique comment le design influence notre vie quotidienne, souvent à notre insu. Pour mieux en saisir la définition, il présente des exemples concrets puisés dans notre environnement. Ainsi, en regardant de près une banale tasse blanche, on découvre qu’il y a 50 ans un designer réputé a pensé à ajouter en dessous trois petites encoches qui facilitent l’égouttement complet de l’eau à la sortie du lave-vaisselle. Une amélioration à peine perceptible qui montre que le bon design repose fréquemment sur d’infimes détails. Ces petites idées ingénieuses, basées sur de la simple logique, font toute la différence. Or, s’il y a de bons designs, il y a aussi de mauvais designs. Qui n’a pas cherché le bouton de sortie dans un ascenseur alors que la marche à suivre devrait être claire au premier coup d’œil ? Partout des indications contradictoires ou indéchiffrables nous font commettre des erreurs. Que ce soit un mode d’emploi, un panneau de signalisation ou un site web, les directives devraient être simples afin de nous procurer une expérience sans souci plutôt que frustrante. Résolument moderne, le design vise le travail bien fait, indémodable, intemporel, car un emballage attirant, un logo remarquable ou un objet conçu intelligemment ne perdent jamais de leur valeur. Le design améliore notre vie. Mieux : il la simplifie.

    Reliure souple, plus de 800 photos

    Ce qu’on en dit

    « Un livre EXTRAORDINAIRE ! » Catherine Perrin, Radio-Canada

    « Après avoir lu Design ?, vous ne verrez plus votre bouilloire de la même façon. » Jean-Christophe Laurence, La Presse

    « Frédéric Metz nous explique, de sa verve colorée, pourquoi le vrai design n’a souvent rien à voir avec les décors sophistiqués d’une blancheur immaculée. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

    $39.95
  • FILM NOIR À ODESSA

    Traduit de l’anglais (Irlande) par Jean Esch

    URSS, 1937 – L’inspecteur Korolev, des affaires criminelles, est tiré du lit en pleine nuit, à l’heure où un citoyen peut craindre de partir pour ne plus jamais revenir. C’est à Odessa, en mission confidentielle, qu’on l’envoie pour enquêter sur le présumé suicide d’une jeune femme un peu trop liée à un haut dirigeant du Parti. Korolev débarque dans une Ukraine ravagée par les politiques de Staline, décor parfait pour La Prairie ensanglantée, le film scénarisé par son ami Babel. Bien malgré lui, il se retrouve aussi mêlé aux embrouilles du « roi des Voleurs » de Moscou. Il lui faudra tout son sang-froid, et l’aide d’une jeune inspectrice de la Milice d’Odessa, pour démasquer les vrais ennemis de la Révolution sans y laisser sa peau.

    Site de l’auteur

    Ce qu’on en dit

    « Ryan nous entraîne au cœur d’une intrigue riche en suspense avec un personnage vulnérable et sympathique. » Norbert Spehner, La Presse

    « L’œuvre qu’est en train de construire William Ryan vaut vraiment le détour. » Catherine Lachaussée, Radio-Canada

    « En plus de réussir à nous tenir en haleine jusqu’à la fin, il nous permet de comprendre ce que les Ukrainiens ont vécu sous le régime stalinien. » Karine Vilder, Le Journal de Montréal

    $9.95
  • SHANTARAM

    SHANTARAM
    Gregory David Roberts
    Australie, 1980. Lin s’évade de prison, et atterrit sous une fausse identité dans les rues fourmillantes de Bombay, où il espère disparaître. Il pénètre peu à peu le monde secret de la « ville dorée », où se côtoient prostituées et religieux, soldats et acteurs, mendiants et gangsters. Fugitif sans famille, Lin cherche inlassablement à donner un sens à sa vie, d’abord en improvisant un dispensaire dans un bidonville, puis à l’échec de celui-ci en faisant ses premières armes dans la mafia de Bombay. Cette quête le conduira jusqu’à la guerre, à la prison et ses tortures, et à une série de trahisons sanglantes. Puis à la rédemption, enfin. Mais les clés du destin de Lin se trouvent entre les mains de son mentor, Khader Khan, parrain de la mafia, à la fois criminel, saint et philosophe, et surtout de Karla, femme mystérieuse, belle et dangereuse dont Lin tombe follement amoureux. Ce roman épique nous plonge dans une Inde fascinante et marque l’entrée en littérature d’une voix extraordinaire.-

    Thriller | 880 pages | 15,2 x 24 cm | 36,95 $ (papier)

    7 février 2007

    ISBN : 978-2-89007-319-6

    Ce qu’on en dit
    « Un pavé littéraire qui vous happe dès les premières lignes et qui ne vous lâche plus. » Christian Desmeules, Le Devoir

    « Un roman-fleuve fascinant et doté d’un humanisme rare. » Éric Paquin, Voir

    « Un récit captivant que d’aucuns qualifient déjà de chef-d’œuvre. » Karine Vilder, Femme Plus

    $36.95
  • LE ROYAUME DES VOLEURS

    Traduit de l’anglais (Irlande) par Jean Esch

    MOSCOU, 1936 – À l’aube des Grandes Purges de Staline, le cadavre mutilé d’une jeune femme est retrouvé sur l’autel d’une église désaffectée. L’inspecteur Korolev, chef de la 4×4 foot jeux de sport section criminelle de la Milice locale, est chargé d’enquêter. Mais dès qu’il comprend que la victime était américaine, le NKVD, la très redoutée police secrète, s’en mêle, épiant ses moindres gestes. Résolu à tout risquer pour découvrir qui se cache derrière ce crime effroyable, Korolev pénètre dans le royaume des Voleurs, ces individus qui règnent sur la pègre moscovite et semblent les seuls à défier le joug du Parti.

    À mesure que d’autres corps sont découverts, la pression venue d’en haut s’accentue et Korolev ne peut que se demander qui sont les véritables criminels dans cette Union soviétique où prédominent la peur, la faim et l’incertitude.

    Site de l’auteur

    Ce qu’on en dit

    « Cette première enquête de l’inspecteur Korolev plonge le lecteur dans l’atmosphère de conjuration qui baigne le Moscou des années 1930. » The Independent

    $9.95