« Que vaudrait une vie sans désirs ? C’est leur variété et leur intensité qui nous poussent à agir et nous donnent le sentiment d’être pleinement vivants. »
Désirer vivre, ce n’est pas simplement être en vie. C’est nous laisser entraîner par l’élan vital qui nous conduit à créer, à aimer, à nous dépasser. C’est nourrir la puissance du désir qui est le moteur de nos existences. Pourtant, au quotidien, nous subissons de nombreuses limitations – « Je ne suis pas capable », « C’est trop risqué », « Ce n’est pas pour moi ». Nous sommes souvent aussi prisonniers des pulsions de notre cerveau primaire et de la propagande consumériste qui nous poussent à acquérir toujours plus. Comment cultiver la force du désir sans tomber dans le piège de l’insatisfaction permanente ou du mimétisme social ? Comment apprendre à orienter nos désirs vers des choses, des activités ou des personnes qui nous font grandir et nous mettent dans la joie ?
De la philosophie aux neurosciences, en passant par la psychologie, la sociologie et l’économie, Frédéric Lenoir revisite toutes les formes de désir, tant matérielles et sexuelles que spirituelles. Il propose un livre lucide et vibrant, au cœur de nos problématiques les plus actuelles. Un ouvrage accessible à toutes et à tous, qui aide non seulement à vivre, mais à vivre aux éclats.
Ce qu’on en dit
« Frédéric Lenoir, avec intelligence et beaucoup de lucidité, invite ses lecteurs à orienter leurs désirs vers des choses, des activités et surtout des gens qui font grandir et créent de la joie. » Marie-France Bornais, Le Journal de Québec
Ce qu’on en dit
« L’auteur canadien Trevor Cole signe une satire décoiffante à l’humour noir, très noir. » Monique Roy, Châtelaine
« Un roman canadien dont l’humour noir est absolument irrésistible. » Coup de pouce
« Coup de génie ! L’Eugénie pratique est d’une effroyable lucidité. Le courage d’Eugénie nous trouble et, heureusement pour nos amies, peu d’entre nous saurons manifester autant d’altruisme. […] Accro, on ne peut se détacher du fil du suspense. » Nathalie Thibault, Club de lecture Châtelaine
« Le style est vivant, le rythme, soutenu, admirablement rendu par la traductrice. Quand on a l’impression que l’ouvrage a été écrit directement en français, qu’aucune fausse note ne gâche notre plaisir, c’est que la traduction est réussie, et Rachel Martinez a fait ici de l’excellent travail. » Hélène Rioux, Lettres québécoises