Auteurs
  • NINANIMISHKEN : JE MARCHE CONTRE LE VENT

    Issu d’un peuple nomade, Florent Vollant a déroulé sa vie en marchant aux côtés de Justin Kingsley. Le livre s’articule autour de trois périodes d’isolement : le pensionnat à 5 ans, la prison à 18 ans, l’hôpital à 61 ans. Ce récit chuchoté, imprégné des images et mythes de sa culture innue millénaire, offre un témoignage poignant sur les pensionnats et les conséquences de la délocalisation forcée dans les réserves. Un petit xylophone et une chorale ouvriront les portes de la musique à cet élève brillant, aux prises avec une quête d’identité qui marquera l’homme et l’artiste en devenir. Si Florent s’est toujours trouvé face au vent, souvent happé par les tornades (kastin, en innu), les leçons qu’il en a tirées lui ont permis d’avancer. Il nous révèle ses valeurs fondamentales, confie ses amitiés musicales avec les trois Richard (Richard Séguin, Richard Desjardins et Zachary Richard) et sa relation tumultueuse avec Claude McKenzie, avec qui il a formé le duo Kashtin, premier groupe autochtone de renommée internationale. Ardent défenseur de la nature, ambassadeur des Premières Nations et mentor auprès des jeunes, Florent Vollant souhaite, avec ce livre notamment, contribuer à la réconciliation des peuples.

    Ce qu’on en dit

    « Un livre généreux. Un livre essentiel. […] Il y a des images qui nous bouleversent et qui nous habitent longtemps après la lecture. » Émilie Perreault, Il restera toujours la culture, ICI Radio-Canada Première

    « Florent, j’ai appris plein de choses dans votre livre. […] Il y a des passages très émouvants. » Sophie Durocher, QUB radio (balado)

    « Florent Vollant raconte sa vie, sa famille, son enfance, ses bonheurs, ses écueils, ses réussites et ses bouts de vie difficiles dans un livre à lire absolument. » Marie-France Bornais, Le Journal de Québec

    $29.95
  • L’EUGÉNIE PRATIQUE

    Eugénie vit à Kotemee, la sympathique petite ville canadienne où elle est née. Son père était chef de police et ses frères travaillent tous deux au poste. Marjorie, sa mère, était vétérinaire, mais elle vient de mourir du cancer. Son mari, Milt, est un homme doux sans grande ambition. Quant à Eugénie, elle se passionne pour la céramique et les délicates sculptures végétales qu’elle crée dans sa boutique-atelier de la rue Principale. Cette petite vie innocente aurait bien pu continuer si sa mère ne lui avait pas demandé de prendre soin d’elle durant les longs mois de son agonie. Après les funérailles, Eugénie regrette de n’avoir su lui épargner une fin si pénible. Dans un élan de compassion, elle décide d’éviter à ses meilleures amies la même déchéance et de leur offrir rien de moins qu’une mort parfaite. Car, n’en déplaise à son entourage, la sensibilité et l’altruisme d’Eugénie se doublent d’un certain sens pratique…

    Parmi les meilleurs livres de l’année selon le Globe and Mail

    Ce qu’on en dit

    « L’auteur canadien Trevor Cole signe une satire décoiffante à l’humour noir, très noir. » Monique Roy, Châtelaine

    « Un roman canadien dont l’humour noir est absolument irrésistible. » Coup de pouce

    « Coup de génie ! L’Eugénie pratique est d’une effroyable lucidité. Le courage d’Eugénie nous trouble et, heureusement pour nos amies, peu d’entre nous saurons manifester autant d’altruisme. […] Accro, on ne peut se détacher du fil du suspense. » Nathalie Thibault, Club de lecture Châtelaine

    « Le style est vivant, le rythme, soutenu, admirablement rendu par la traductrice. Quand on a l’impression que l’ouvrage a été écrit directement en français, qu’aucune fausse note ne gâche notre plaisir, c’est que la traduction est réussie, et Rachel Martinez a fait ici de l’excellent travail. » Hélène Rioux, Lettres québécoises

    Prix

    Prix de l’humour Stephen-Leacock

    $9.95
  • L’AUTRE HOMME DE MA VIE

    Traduit de l’anglais (États-Unis) pas Françoise Jaoüen

    Richard Rossi connaît tous les subterfuges pour dissimuler les passions parallèles qui font le piquant de certaines existences. Bien qu’il partage déjà sa vie avec quelqu’un, ce cadre bostonien entretient une relation adultère épisodique mouvementée. Entre péripéties professionnelles, séances à la salle de sport et rendez-vous à l’abri des regards, Richard navigue à vue jusqu’au jour jeux de Taxi jeux de Camion jeux de Parking jeux de Moto où il se rend compte que l’objet de son affection conjugale passe de plus en plus de temps dans l’Ohio… Peuplée d’une savoureuse bande d’amis, de collègues et de coachs personnels, cette comédie de mœurs s’inscrit dans la veine ironique des précédents romans de Stephen McCauley. Si l’on retrouve avec plaisir la fine psychologie et les subtiles reparties de ce maître du comique, L’(autre) homme de ma vie témoigne également d’une inflexion nouvelle de l’œuvre de McCauley, la satire se faisant plus grinçante.

    Ce qu’on en dit

    « Un vif plaisir que cette lecture. » Didier Fessou, Le Soleil

    « Si vous ne connaissez pas Stephen McCauley, vous avez tort ! […] Un roman d’actualité avec beaucoup d’humour, qui pose un regard plein d’empathie sur notre monde. » Jean Fugère, Radio-Canada

    « L’auteur de L’objet de mon affection est à son meilleur avec ce livre drôle et cruel. » Courrier international

    $26.95
  • SEXE ET DÉPENDANCES

    Traduit de l’anglais (États-Unis) par Françoise Jaoüen

    William Collins, agent immobilier à Boston, est adepte des rencontres par Internet. Lassé de cette vie sentimentale dominée par les contacts anonymes, il décide de faire vœu de chasteté. Résolution difficile à tenir, tant les tentations se multiplient pour le détourner de loisirs plus sages comme lire enfin dans son intégralité l’œuvre d’une certaine Simone de Beauvoir… Contacté par Charlotte et Samuel, de nouveaux clients en quête d’un bel appartement en centre-ville, il tente de prendre quelques leçons de bonheur auprès de ce couple qui le fascine. Lorsqu’il commencera à mieux les connaître, la façade ne tardera pas à se lézarder. Dans cette chronique hilarante et touchante de la vie quotidienne d’une Amérique moins sûre d’elle après le 11 septembre, Stephen McCauley utilise astucieusement le thème de l’immobilier comme métaphore du désir de changer de vie. Aussi grand humoriste que fin moraliste, il nous offre une galerie de portraits d’une rare lucidité et nous entraîne une nouvelle fois dans son univers d’une originalité et d’une drôlerie infinies.

    Ce qu’on en dit

    « Ce qui vous fera succomber : l’humour, l’auto-dérision, le ton pas du tout politiquement correct. » Danielle Laurin, Elle Québec

    « On ne doit pas rire avec n’importe qui, avec McCauley, c’est du sérieux. » Libération (France)

    « Dans ses portraits d’une rare lucidité et d’une grande drôlerie, Stephen McCauley met en évidence les failles de la vie de couple et les tiraillements entre l’envie de faire le bien et toutes les autres tentations. » Manon Guilbert, Le Journal de Montréal

    $26.95