Traduit de l’anglais (États-Unis) par Sabine Porte
Bienvenue au Cirque des rêves. Sous les chapiteaux rayés de noir et de blanc, c’est une expérience unique, une fête pour les sens où chaque visiteur peut se perdre dans le Dédale de nuages, flâner dans le Jardin des glaces, s’émerveiller devant la contorsionniste au tatouage, se laisser enivrer par les effluves de caramel… Mais, derrière la fumée et les miroirs, la compétition fait rage. Deux jeunes illusionnistes, Celia et Marco, s’affrontent, rivalisant d’audace et d’imagination. Sans connaître l’issue du jeu, ils cèdent à leurs sentiments. Cet amour profond et envoûtant pourrait leur être fatal.
Ce qu’on en dit
« Véritable Roméo et Juliette mêlant réalisme et magie, Le Cirque des rêves est une œuvre inclassable et surprenante. Un spectacle époustouflant. » The Boston Globe
« Le premier roman d’Erin Morgenstern est renversant. Une histoire d’amour magique, pleine de mystère et de poésie… Un best-seller garanti. » Publishers Weekly
« Une tournée vertigineuse dans l’arrière-boutique de la magie
de la vie. » Le Libraire
« Un plaisir de se plonger dans ce roman, auquel la traduction française ajoute une touche d’élégance supplémentaire. Bref, un livre fait sur mesure pour le temps froid, afin de se couper de la réalité en toute sérénité. » Marie-Christine Blais, La Presse
Ce qu’on en dit
« L’auteur canadien Trevor Cole signe une satire décoiffante à l’humour noir, très noir. » Monique Roy, Châtelaine
« Un roman canadien dont l’humour noir est absolument irrésistible. » Coup de pouce
« Coup de génie ! L’Eugénie pratique est d’une effroyable lucidité. Le courage d’Eugénie nous trouble et, heureusement pour nos amies, peu d’entre nous saurons manifester autant d’altruisme. […] Accro, on ne peut se détacher du fil du suspense. » Nathalie Thibault, Club de lecture Châtelaine
« Le style est vivant, le rythme, soutenu, admirablement rendu par la traductrice. Quand on a l’impression que l’ouvrage a été écrit directement en français, qu’aucune fausse note ne gâche notre plaisir, c’est que la traduction est réussie, et Rachel Martinez a fait ici de l’excellent travail. » Hélène Rioux, Lettres québécoises