CEUX QUI FONT LES RÉVOLUTIONS À MOITIÉ N’ONT FAIT QUE SE CREUSER UN TOMBEAU
$18.95Constatant l’échec du Printemps Érable, qu’adviendrait-il si quatre jeunes refusaient de renoncer à leurs idéaux et de rentrer dans le rang ? Porté par un idéal révolutionnaire qui transcende la crise qui a fracturé le Québec en 2012, le film de Mathieu Denis et Simon Lavoie oppose délibérement l’audace à la raison consensuelle. Dans son propos comme dans sa forme, il ne laissera personne indifférent.
Prix
Prix du meilleur film canadien au TIFF (Toronto)
DANS LES YEUX D’HELGA
$21.95Traduit de l’anglais (États-Unis) par Benjamin Kuntzer
Berlin, printemps 1945. Cerné par les Alliés, Hitler se retranche dans le bunker avec ses proches. Parmi eux, Helga, la fille aînée de Joseph Goebbels. La fillette de douze ans voit et entend presque tout, à travers le prisme de son innocence. Au-delà du portrait intime de l’« oncle Fürher », avec qui elle doit partager chaque jour son goûter, se profilent les ultimes instants du IIIe Reich. En alternant les dix derniers jours d’Helga avec le quotidien du régime nazi de 1936 à 1945, Emma Craigie met en scène le destin tragique d’une enfant broyée par la guerre. Défilent sous nos yeux Albert Speer, la famille Göring, la célèbre aviatrice Hanna Reitsch…
Ce qu’on en dit
« Un livre touchant » Anne-Lovely Étienne, Le Journal de Montréal
« Un univers diabolisé tel que perçu par une enfant pour qui Hitler était un oncle ordinaire. » Jean-François Crépeau, Le Canada français
« Avec une remarquable sobriété, l’auteure nous peint la destinée d’une enfant broyée par la guerre avec les mots qu’aurait pu avoir Helga. Cet exercice périlleux est parfaitement réussi. » Chrystine Brouillet, Salut, Bonjour !
« Extraordinairement raconté » The Times
EN LIBRE ÉQUILIBRE
$29.95Traduit de l’anglais (Canada) par Claire Chabalier et Louise Chabalier
Dans cette autobiographie, Margaret Trudeau parle avec candeur de la maladie qui a silencieusement façonné sa vie tumultueuse. En proie dès l’enfance à de fréquentes sautes d’humeur, Margaret était mal préparée, à vingt-deux ans, au rôle de première dame du Canada. Séduits par sa jeunesse et sa beauté, les Canadiens en sont tombés amoureux, tout comme ils avaient été charmés par son mari, le très charismatique Pierre Elliott Trudeau. Avec les naissances de Justin et de Sacha, le couple paraissait béni des dieux. Cependant, à l’écart des apparitions publiques, Margaret était aux prises avec de graves épisodes dépressifs entrecoupés de crises de manie. Ce comportement inexplicable — y compris pour elle-même — a conduit, deux ans après la naissance de Michel, à la séparation du couple. Puis, graduellement, un fragile équilibre s’est installé, Margaret trouvant le bonheur dans son mariage avec Fried Kemper. En 1998, la mort tragique de Michel, suivie peu après par le décès de Pierre, la plonge dans une insoutenable dépression. La science ayant progressé dans sa compréhension du trouble bipolaire, Margaret peut enfin accepter ce diagnostic et apprendre à vivre avec sa maladie.
Plus de 100 photos
Ce qu’on en dit
« Ce livre-là m’a renversée. Margaret Trudeau nous livre une description poignante de la bipolarité. » Nathalie Petrowski, Radio-Canada
« La vie n’est pas un conte de fées, mais on peut trouver du réconfort, un guide et même du courage à se laisser conter une vraie vie comme celle-ci. » Monique Polak, The Gazette
« Margaret Trudeau lève le voile sur une vie marquée par la maladie mentale et raconte son équilibre retrouvé. » L’actualité
Ce qu’on en dit
« Il y a de fortes chances que cet objet étrange et percutant devienne un film culte. » Nathalie Petrowski, La Presse
« On n’avait pas vu un film québécois aussi artistiquement et intellectuellement ambitieux depuis des lustres. » Chantal Guy, Le Soleil
« Le film dérange et bouscule, et le livre est un complément utile à la compréhension du message. » Jacques Lanctôt, Le Journal de Montréal
« Le scénario déborde le Printemps érable, englobant l’idée même de révolte et certaines critiques de la société québécoise, de la complaisance et des pièges de la modernité. » T’cha Dunlevy, Montreal Gazette